Les rapports entre consommateurs et Flex eau ne sont apparemment plus au beau fixe. Selon le coordonnateur régional de l’Union nationale des consommateurs du Sénégal (UNCS) et secrétaire national délégué à l’environnement, l’assainissement et au développement durable, Adnane Déme, « Flex eau ne respecte pas ses engagements avec les populations mais également avec l’OFOR. Le rapport 2015-2019 de la cour des comptes montre que l’entreprise chargée de la gestion de la distribution du liquide précieux dans le monde rural n’est pas en règle avec les services de l’Etat ».
Pis, poursuit-il, Flex Eau a décidé de collaborer avec des délégataires. «Cela démontre que Flex Eau a montré ses limites et n’est pas en mesure de répondre aux attentes des populations», a-t-il soutenu. Pour attirer l’attention de l’Etat, nous avons décidé d’organiser une grande marche de protestation de cinq jours avec les populations de Kaolack et Kaffrine. Poursuivant, M. Déme informe que « depuis plus d’un an près de 300 demandes de branchements rien que dans le département de Kaolack n’ont toujours pas été réglées». Aussi, pour le coordonnateur de l’UNCS, « Flex Eau ne respecte pas les clauses du contrat qui le lie avec les populations ».
Il ajoute : « Cette entreprise n’a pas les capacités financières et surtout techniques pour faire une bonne gestion comme le souhaite le nouveau régime pour alléger la souffrance des populations. C’est pourquoi nous invitons les nouvelles autorités à annuler le contrat reliant Flex Eau à DSP OFOR. Car, Flex eau ne cesse de montrer les limites de ses capacités ».
Cependant, Adnane Déme a notamment déploré un manque de considération notoire lors de l’atelier de concertation sur la gestion de l’eau organisé à Kaolack. «Toutes les personnes convoquées ont eu à prendre la parole sauf les représentants des associations qui défendent les populations qui ont, en vain, demandé à prendre parole afin d’éclairer la lanterne des différents participants sur la mauvaise gestion de Flex Eau dans le monde rural», regrette-t-il.
Pis, poursuit-il, Flex Eau a décidé de collaborer avec des délégataires. «Cela démontre que Flex Eau a montré ses limites et n’est pas en mesure de répondre aux attentes des populations», a-t-il soutenu. Pour attirer l’attention de l’Etat, nous avons décidé d’organiser une grande marche de protestation de cinq jours avec les populations de Kaolack et Kaffrine. Poursuivant, M. Déme informe que « depuis plus d’un an près de 300 demandes de branchements rien que dans le département de Kaolack n’ont toujours pas été réglées». Aussi, pour le coordonnateur de l’UNCS, « Flex Eau ne respecte pas les clauses du contrat qui le lie avec les populations ».
Il ajoute : « Cette entreprise n’a pas les capacités financières et surtout techniques pour faire une bonne gestion comme le souhaite le nouveau régime pour alléger la souffrance des populations. C’est pourquoi nous invitons les nouvelles autorités à annuler le contrat reliant Flex Eau à DSP OFOR. Car, Flex eau ne cesse de montrer les limites de ses capacités ».
Cependant, Adnane Déme a notamment déploré un manque de considération notoire lors de l’atelier de concertation sur la gestion de l’eau organisé à Kaolack. «Toutes les personnes convoquées ont eu à prendre la parole sauf les représentants des associations qui défendent les populations qui ont, en vain, demandé à prendre parole afin d’éclairer la lanterne des différents participants sur la mauvaise gestion de Flex Eau dans le monde rural», regrette-t-il.