Journée mondiale du travail invisible : Ses activités quotidiennes que l'on ne reconnaît pas économiquement


En c𝐞 𝟒 𝐚𝐯𝐫𝐢𝐥,  coïncidant avec la fête de l’indépendance du Sénégal, est 𝐜é𝐥é𝐛𝐫é 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐢𝐚𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧é𝐞 𝐝𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧é𝐞 𝐚𝐮 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥 𝐢𝐧𝐯𝐢𝐬𝐢𝐛𝐥𝐞. 𝐂'𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐚𝐭𝐞 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐚𝐭𝐭𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐮𝐱 𝐚𝐜𝐭𝐢𝐯𝐢𝐭é𝐬 𝐧𝐨𝐧-𝐩𝐫𝐨𝐟𝐞𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐧𝐢 𝐫é𝐦𝐮𝐧é𝐫ée𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐢𝐩𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 à 𝐥𝐚 𝐬𝐭𝐚𝐭𝐢𝐬𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 é𝐜𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝'𝐮𝐧𝐞 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐝𝐞𝐦𝐚𝐧𝐝𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐥'𝐢𝐧𝐝𝐢𝐯𝐢𝐝𝐮 𝐮𝐧 𝐥𝐚𝐛𝐞𝐮𝐫 𝐢𝐦𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭. 
 
Le temps est à la reconnaissance, et certainement aux remerciements. En effet, en cette journée du 4 avril 2024, certaines occupations auxquelles s'adonnent sérieusement bien des personnes, sans pour autant jouir d'une quelconque compensation, sortent de l'ombre pour mettre en lumière leur valeur sociétale. 
 
𝗙𝗲𝗺𝗺𝗲 𝗮𝘂 𝗳𝗼𝘆𝗲𝗿
 
La femme pour beaucoup doit être capable de tout. C'est une image très enracinée dans la mentalité africaine. Sa capacité au sein de son foyer doit se révéler dans sa force physique, de ce qui en vient aux tâches ménagères, au soin des enfants et de son époux, et doit également se montrer à travers sa résilience psychologique. Un engagement fort qu'elle consacre entièrement à autrui, tel un service.
 
Selon la sociologue Raby Diallo Kane, être une femme au foyer devrait être considéré comme un travail à part entière. "Être femme au foyer, par choix ou non, est un métier. Je reste persuadée que c’est l’État qui doit considérer ces femmes comme des acteurs économiques à part entière", a-t-elle une fois argumenté sur iRadio, ajoutant que la rémunération devrait avoisiner les 500 mille par mois au Sénégal.
 
𝗟𝗲𝘀 𝗯é𝗻é𝘃𝗼𝗹𝗲𝘀 
 
Le bénévolat est une activité généreuse qui n'attend absolument rien d'autrui que sa satisfaction. D'après France Volontaires, le Sénégal se place d'ailleurs comme étant "un pays précurseur en matière de volontariat, et ce par la présence de presque tous les corps volontaires internationaux..."
 
 
 
Vendredi 5 Avril 2024
Chancelle