À l’instar de la communauté internationale, les femmes de la sphère ministérielle Ousmane Tanor Dieng de Diamniadio ont célébré la journée des droits de la femme. Une occasion saisie par les travailleuses des ministères de l’Élevage, des Mines, de l’Agriculture et de la Microfinance d’organiser un symposium qui avait pour thème : « L'inclusion numérique, gage de développement de l'autonomisation de la femme. »
Selon Léna Diédhiou, coordinatrice de la cellule genre et équité au ministère des Mines et de la Géologie, le thème n’est pas fortuit au moment où l’internet est au cœur du développement. « Nous avons constaté que les femmes accusent beaucoup de retard à entrer dans le numérique. Un problème de moyen se pose, un problème d'accompagnement se pose, un problème d'information se pose également. Et c'est pourquoi nous avons voulu insister sur cet aspect. Tout le monde a constaté que les droits des femmes ne sont pas bien pris en compte. Et c'est bien pourquoi des femmes se sont levées dans le monde entier pour revendiquer la reconnaissance de leurs droits… », a-t-elle souligné.
À l’en croire, les hommes ont un rôle important à jouer dans ce processus. « Ils doivent nous aider pour que nous les femmes, nous puissions vraiment intégrer le numérique. Une meilleure inclinaison des femmes dans le numérique. Mais cette inclusion ne veut pas dire tout prendre en compte. Parce qu’il y a un volet qui est le volet de l'insécurité digitale. Et il faudrait que tout le monde fasse vraiment attention, surtout les filles. Dans cette activité nous avons des doléances à poser. Par exemple, nous avons une crèche qui a été construite à Diamniadio au niveau de la sphère. Et je ne dirais pas malheureusement, mais nous avons en tout cas besoin des accompagnements. Parce qu’on ne peut pas porter son bébé au dos sans véhicule pour venir jusqu'à Diamniadio avec l'enclavement. On revendique aussi une meilleure intégration des femmes au niveau des postes de décision. C'est vrai qu’il y a des femmes qui sont nommées Dg, directrice. Mais il y a toujours besoin à mieux faire. Parce que nous subissons la même formation, la même éducation. Nous souhaitons vraiment avoir plus d'opportunités pour que les femmes puissent mieux s'affirmer... », annonce Mme Diédhiou. Ces travailleuses demandent ainsi un meilleur accompagnement pour les femmes.
Selon Léna Diédhiou, coordinatrice de la cellule genre et équité au ministère des Mines et de la Géologie, le thème n’est pas fortuit au moment où l’internet est au cœur du développement. « Nous avons constaté que les femmes accusent beaucoup de retard à entrer dans le numérique. Un problème de moyen se pose, un problème d'accompagnement se pose, un problème d'information se pose également. Et c'est pourquoi nous avons voulu insister sur cet aspect. Tout le monde a constaté que les droits des femmes ne sont pas bien pris en compte. Et c'est bien pourquoi des femmes se sont levées dans le monde entier pour revendiquer la reconnaissance de leurs droits… », a-t-elle souligné.
À l’en croire, les hommes ont un rôle important à jouer dans ce processus. « Ils doivent nous aider pour que nous les femmes, nous puissions vraiment intégrer le numérique. Une meilleure inclinaison des femmes dans le numérique. Mais cette inclusion ne veut pas dire tout prendre en compte. Parce qu’il y a un volet qui est le volet de l'insécurité digitale. Et il faudrait que tout le monde fasse vraiment attention, surtout les filles. Dans cette activité nous avons des doléances à poser. Par exemple, nous avons une crèche qui a été construite à Diamniadio au niveau de la sphère. Et je ne dirais pas malheureusement, mais nous avons en tout cas besoin des accompagnements. Parce qu’on ne peut pas porter son bébé au dos sans véhicule pour venir jusqu'à Diamniadio avec l'enclavement. On revendique aussi une meilleure intégration des femmes au niveau des postes de décision. C'est vrai qu’il y a des femmes qui sont nommées Dg, directrice. Mais il y a toujours besoin à mieux faire. Parce que nous subissons la même formation, la même éducation. Nous souhaitons vraiment avoir plus d'opportunités pour que les femmes puissent mieux s'affirmer... », annonce Mme Diédhiou. Ces travailleuses demandent ainsi un meilleur accompagnement pour les femmes.
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