Que devient « Mbolom Wade » : le label sous lequel Pape Samba Mboup et Cie ont participé aux législatives de juillet 2017 pour ne récolter que trois pelés et un tondu, après leur exclusion du Parti démocratique sénégalais quelques mois plus tôt ?
Si on en reparle, c’est parce qu’il est prêté au parrain et bailleur de cette coalition de circonstance, Samuel Sarr en l’occurrence, l’intention de se présenter à la présidentielle de 2019. Jusque-là rien de grave ! Le hic : il court dans les salons dakarois une persistante rumeur présentant le président Macky Sall comme celui qui tire les ficelles par derrière pour se servir de ce faux-nez aux fins d’endiguer la concurrence du Pds et celle de Idrissa Seck. Selon les recoupements effectués par nos soins auprès de l’entourage de premier cercle du chef de l’Etat, le leader de l’Alliance pour la République n’est concerné ni de près, ni de loin par ces manœuvres.
En réalité, parmi les frustrés du parti sopiste, ceux qui ne sont pas nés de la dernière pluie en politique et qui ont blanchi sous le harnais du Parti démocratique sénégalais avant de rejoindre Macky, savent que l’ex-ministre de l’Energie, qui n’a jamais été qu’un homme de cabinet sans base politique réelle, n’est pas ce cheval de Troie sur lequel miserait le chef de l’Etat pour espérer éclipser la bande à Karim Wade. Qui plus est, en témoins des revirements spectaculaires de Samuel qui avait soutenu Talla Sylla, avant la nomination de celui qui a été rendu célèbre par l’assassinat de Me Babacar Sèye au poste de directeur général de la SENELEC en 2003, ces ex-libéraux évitent soigneusement d’être sacrifiés sur l’autel d’intérêts financiers obscurs.
Malheureusement, à côté de ces avertis, il y a des naïfs, plus nombreux ceux-là, qui croient que le président de la République est derrière le « Wadiste éternel » que le patron du Pds et son fils ne voudraient plus voir, même en peinture, pour des raisons connues.
Ainsi, Macky Sall est invité à surveiller ses arrières sous peine de perdre une bonne partie de son électorat libéral potentiel. Son nom est utilisé, peut-être dans son dos, pour légitimer un jeu d’ombres qui commence à faire des victimes. Le réveil risque d’être fatal et brutal, car à l’heure des désillusions, les demeurés lui reprocheront son silence.
Si on en reparle, c’est parce qu’il est prêté au parrain et bailleur de cette coalition de circonstance, Samuel Sarr en l’occurrence, l’intention de se présenter à la présidentielle de 2019. Jusque-là rien de grave ! Le hic : il court dans les salons dakarois une persistante rumeur présentant le président Macky Sall comme celui qui tire les ficelles par derrière pour se servir de ce faux-nez aux fins d’endiguer la concurrence du Pds et celle de Idrissa Seck. Selon les recoupements effectués par nos soins auprès de l’entourage de premier cercle du chef de l’Etat, le leader de l’Alliance pour la République n’est concerné ni de près, ni de loin par ces manœuvres.
En réalité, parmi les frustrés du parti sopiste, ceux qui ne sont pas nés de la dernière pluie en politique et qui ont blanchi sous le harnais du Parti démocratique sénégalais avant de rejoindre Macky, savent que l’ex-ministre de l’Energie, qui n’a jamais été qu’un homme de cabinet sans base politique réelle, n’est pas ce cheval de Troie sur lequel miserait le chef de l’Etat pour espérer éclipser la bande à Karim Wade. Qui plus est, en témoins des revirements spectaculaires de Samuel qui avait soutenu Talla Sylla, avant la nomination de celui qui a été rendu célèbre par l’assassinat de Me Babacar Sèye au poste de directeur général de la SENELEC en 2003, ces ex-libéraux évitent soigneusement d’être sacrifiés sur l’autel d’intérêts financiers obscurs.
Malheureusement, à côté de ces avertis, il y a des naïfs, plus nombreux ceux-là, qui croient que le président de la République est derrière le « Wadiste éternel » que le patron du Pds et son fils ne voudraient plus voir, même en peinture, pour des raisons connues.
Ainsi, Macky Sall est invité à surveiller ses arrières sous peine de perdre une bonne partie de son électorat libéral potentiel. Son nom est utilisé, peut-être dans son dos, pour légitimer un jeu d’ombres qui commence à faire des victimes. Le réveil risque d’être fatal et brutal, car à l’heure des désillusions, les demeurés lui reprocheront son silence.