Jamel Debbouze est un homme heureux. Et surtout amoureux. Mélissa Theuriau a changé sa vie, et il aimerait bien que ça change encore plus.
Son enfance au sein d’une famille nombreuse a dû apporter beaucoup de bonheur à Jamel Debbouze parce qu’il voudrait la même chose pour son fils Léon, 2 ans et demi, et sa petite sœur qui naîtra en octobre prochain. Dans le portrait de Libération qui lui est consacré, l’humoriste s’imagine père de « huit enfants, une vraie grande famille… ». Rien que ça. « Enfin, à cinq, je laisse ma femme tranquille ». Bon. On ne sait pas si Mélissa Theuriau est sur la même longueur d’ondes (elle est toujours à l’antenne sur M6 et ni elle ni Jamel ne semblent vouloir arrêter de travailler), mais son époux affirme qu’ils forment une équipe soudée.
Il est d’ailleurs en admiration devant elle, depuis le premier jour. « Ce que j’ai d’abord vu, c’est une gentillesse, une tendresse à casser les murs. Et puis, après, c’est agréable de discuter avec quelqu’un d’intelligent ». Une déclaration d’amour en bonne et due forme. Même si parfois, ils « se fritent, c’est passionné ». « Mélissa, c’est aussi ma pote, c’est ça qui est cool, révèle Jamel. On se dit les trucs. […] On est dans des rapports normaux, sains, et ça trace ».
De toute façon, avec Jamel, il faut que ça avance : « Ma hantise, c’est de devenir mou, confesse-t-il. Quand on est de plus en plus installé, on a l’impression qu’il y a moins d’efforts à produire ». Depuis qu’il est père, l’humoriste avoue qu’il a mûri et arrêté de jouer les fous du volant. Désormais, il regarde de chaque côté « douze fois avant de traverser la rue ».
Assagi le Jamel ? Pas pour autant. Il a ses petites habitudes. « Il m’arrive de fumer un joint de temps en temps et j’adore ça, ça soulage mes douleurs… » Il sait que c’est illégal, alors il milite pour la dépénalisation. La prochaine fois qu’on croise Mélissa, il faudra lui demander si elle y goûte un peu elle aussi. A priori, en ce moment, mieux vaut éviter, grossesse oblige. Conclusion de Jamel : « Avant, j’avais un moteur, c’était la honte. Maintenant, c’est l’amour ». Trop mignon.
( avec voici )
( avec voici )