La diaspora à fortement contribué à l'élection du nouveau président Bassirou Diomaye Faye. Ainsi à l'heure de l'investiture du nouveau président, nous avons donné la parole à celle-ci à travers Boubacar Diallo un sénégalais vivant en Grande Bretagne. En ce sens, ce dernier précise que la lutte a été rude pour la victoire mais aussi la diaspora attend beaucoup de cette élection. Dans cette lancée, il estime que la diaspora attend beaucoup de cette "rupture" tant prônée par le Pastef.
A l'en croire " cette victoire a été plus que brillante. En fait, c'est une suite logique au vue de la campagne qui a montré la volontè des Senegalais à vouloir le changement. Cette volonté est le désir de voir la gestion des affaires de l'Etat changer. Mieux, la restauration de l'Etat de droit dans son ensemble, remettre toutes les institutions qui doivent soutenir un pays pour être un Etat. Bref, cette victoire est comme une délivrance, nous espérons que les maux seront soignés pour tous les Senegalais de tous bords."
Dans la foulée, il précise " la diaspora dans sa majorité n'attendait que les choses se rétablissent pour faire son choix. Il est évident que cette nouvelle donne est considérée comme un facilitateur du retour au bercail. D'ailleurs, nous ne voulons plus vivre ici mais voulons rentrer et vivre chez nous. Et nous sommes confiants que ce régime est obligé de changer pour répondre aux attentes de tous."
Revenant sur les objectifs, il soutient " nous parlerons de développement endogène du Sénégal dans son ensemble. Kolda, Kaffrine, Kédougou ou Bignona, la question est de répartir les richesses du pays de manière équitable. Chaque localité possède des potentialités énormes qu'il faudra valoriser en les transformant sur place ou quelque part dans le pays d'où la complémentarité entre les zones de production et de consommation."
Pour la rupture, il soutient " la rupture n'est pas cassure, ce n'est pas supprimer non plus mais un changement dans la façon de faire les choses. Bien sûr que cette rupture peut avoir différents effets mais si les acteurs utilisent le bon sens et la raison, il va sans dire qu'un entendement équitable sera trouvé et dès lors les choses pourraient reprendre à partir sur de nouvelles bases. D'ailleurs, le premier investisseur d'un pays devrait être ses propres fils qui viendraient, avec l'appui de l' Etat de droit, établir tous les contours de la coopération..."
A l'en croire " cette victoire a été plus que brillante. En fait, c'est une suite logique au vue de la campagne qui a montré la volontè des Senegalais à vouloir le changement. Cette volonté est le désir de voir la gestion des affaires de l'Etat changer. Mieux, la restauration de l'Etat de droit dans son ensemble, remettre toutes les institutions qui doivent soutenir un pays pour être un Etat. Bref, cette victoire est comme une délivrance, nous espérons que les maux seront soignés pour tous les Senegalais de tous bords."
Dans la foulée, il précise " la diaspora dans sa majorité n'attendait que les choses se rétablissent pour faire son choix. Il est évident que cette nouvelle donne est considérée comme un facilitateur du retour au bercail. D'ailleurs, nous ne voulons plus vivre ici mais voulons rentrer et vivre chez nous. Et nous sommes confiants que ce régime est obligé de changer pour répondre aux attentes de tous."
Revenant sur les objectifs, il soutient " nous parlerons de développement endogène du Sénégal dans son ensemble. Kolda, Kaffrine, Kédougou ou Bignona, la question est de répartir les richesses du pays de manière équitable. Chaque localité possède des potentialités énormes qu'il faudra valoriser en les transformant sur place ou quelque part dans le pays d'où la complémentarité entre les zones de production et de consommation."
Pour la rupture, il soutient " la rupture n'est pas cassure, ce n'est pas supprimer non plus mais un changement dans la façon de faire les choses. Bien sûr que cette rupture peut avoir différents effets mais si les acteurs utilisent le bon sens et la raison, il va sans dire qu'un entendement équitable sera trouvé et dès lors les choses pourraient reprendre à partir sur de nouvelles bases. D'ailleurs, le premier investisseur d'un pays devrait être ses propres fils qui viendraient, avec l'appui de l' Etat de droit, établir tous les contours de la coopération..."