DAKARACTU.COM Ils ont visiblement attendu le passage de la « bourrasque » du décret N°2013-587 du 02 mai 2013 portant suspension pour une année renouvelable de l'exportation de la ferraille et des sous-produits ferreux collectés au Sénégal, pour reprendre du service. Ils, d’après
‘’Sud Quotidien’’ qui rapporte l’info, ce sont les traders indiens et des intermédiaires sénégalais qui collectent et exportent frauduleusement par voies détournées, des quantités importantes de la précieuse ferraille. La principale industrie, la Société métallurgique d’Afrique (SOMETA) qui emploie plus de 500 sénégalais dans son activité, subit à nouveau les contrecoups de ces exportations frauduleuses.
D’après nos confrères, la matière première prendrait d’autres destinations hors de nos frontières, par les bons soins de traders identifiés comme des Indiens en complicité avec des intermédiaires sénégalais collecteurs. Pour avoir effectué les constats d’huissier nécessaires par procès-verbal en date du 17 décembre 2013, les services de ladite SOMETA auraient pu identifier que le principal acteur de cette violation du décret ne serait autre qu’un Indien qui répondrait au nom de Abdel Karim.
Ainsi à plusieurs endroits de la ville, les constats d’huissier ont-ils pu identifier des entrepôts de ferraille détenus par des Indiens. Il en est ainsi du dépôt à Colobane détenu par deux d'entre eux, de même que deux dépôts à Hann plage desquels ils auraient chassé l’huissier, d’un dépôt à Yarakh toujours géré par un des leurs, d’un grand dépôt à Thiaroye Azur entre autres.
Aussi, sur la base de ces éléments, une plainte de la part de la société SOMETA serait actuellement sur la table du Procureur de la République et une autre sur celui du ministre de la Justice Garde des sceaux selon « Sud quotidien ».
‘’Sud Quotidien’’ qui rapporte l’info, ce sont les traders indiens et des intermédiaires sénégalais qui collectent et exportent frauduleusement par voies détournées, des quantités importantes de la précieuse ferraille. La principale industrie, la Société métallurgique d’Afrique (SOMETA) qui emploie plus de 500 sénégalais dans son activité, subit à nouveau les contrecoups de ces exportations frauduleuses.
D’après nos confrères, la matière première prendrait d’autres destinations hors de nos frontières, par les bons soins de traders identifiés comme des Indiens en complicité avec des intermédiaires sénégalais collecteurs. Pour avoir effectué les constats d’huissier nécessaires par procès-verbal en date du 17 décembre 2013, les services de ladite SOMETA auraient pu identifier que le principal acteur de cette violation du décret ne serait autre qu’un Indien qui répondrait au nom de Abdel Karim.
Ainsi à plusieurs endroits de la ville, les constats d’huissier ont-ils pu identifier des entrepôts de ferraille détenus par des Indiens. Il en est ainsi du dépôt à Colobane détenu par deux d'entre eux, de même que deux dépôts à Hann plage desquels ils auraient chassé l’huissier, d’un dépôt à Yarakh toujours géré par un des leurs, d’un grand dépôt à Thiaroye Azur entre autres.
Aussi, sur la base de ces éléments, une plainte de la part de la société SOMETA serait actuellement sur la table du Procureur de la République et une autre sur celui du ministre de la Justice Garde des sceaux selon « Sud quotidien ».
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