DAKARACTU.COM - La cérémonie d’installation de la coalition s’est ouverte ce samedi au Méridien Président. Une occasion pour le président de Rewmi, Idrissa Seck, de déclarer qu’il envisage à travers cette vaste coalition «de rassembler pour gagner, rassembler pour gouverner et rassembler pour servir.» Ce rassemblement, déclare le candidat à la présidence, se matérialise par la mise en place d’une «équipe qui se construit et qui est exceptionnelle à tous égards». Car, explique-t-il, elle allie jeunesse et expérience, compétences du secteur privé et du secteur public, hommes et femmes évoluant dans le pays comme dans la diaspora, nourris du savoir-être de notre culture et des outils conçus dans les plus grandes universités du monde. Conscient des enjeux qui l’attendent une fois élu à la tête du Sénégal, Idrissa Seck dit bien comprendre le désarroi des femmes du Gnombato.
«Que dire des dizaines de milliers de jeunes du Sine, du Saloum, du Cayor, du Njambuur, du Fouta, du Sénégal oriental et de la Casamance qui risquent leur vie dans des pirogues de fortune pour fuir la misère ?», s’interroge le président de la Coalition Idi4President qui marque "toute sa sensibilité aux cris des élèves, pieds trempés dans l’eau, écoutant un maître qui réclame son salaire, pendant que des milliards de francs sont dépensés dans des festivités mondaines. Cette sensibilité va également à l’endroit des travailleurs dans les rizières de l’Anambé, de Kolda, de Vélingara comme dans la vallée du Walo, aux pêcheurs de Guet Ndar, de Kayar et de Mbour affrontant l’océan, risquant tous les jours leurs vies, sur des pirogues mal équipées, ceux des usines de Taïba, des Mines de Saraya ou encore aux agents de la Sonatel luttant pour sauver leur entreprise". «Je veux leur dire à tous que leur colère est ma colère, leur souffrance est ma souffrance», conclut Idrissa Seck.
«Que dire des dizaines de milliers de jeunes du Sine, du Saloum, du Cayor, du Njambuur, du Fouta, du Sénégal oriental et de la Casamance qui risquent leur vie dans des pirogues de fortune pour fuir la misère ?», s’interroge le président de la Coalition Idi4President qui marque "toute sa sensibilité aux cris des élèves, pieds trempés dans l’eau, écoutant un maître qui réclame son salaire, pendant que des milliards de francs sont dépensés dans des festivités mondaines. Cette sensibilité va également à l’endroit des travailleurs dans les rizières de l’Anambé, de Kolda, de Vélingara comme dans la vallée du Walo, aux pêcheurs de Guet Ndar, de Kayar et de Mbour affrontant l’océan, risquant tous les jours leurs vies, sur des pirogues mal équipées, ceux des usines de Taïba, des Mines de Saraya ou encore aux agents de la Sonatel luttant pour sauver leur entreprise". «Je veux leur dire à tous que leur colère est ma colère, leur souffrance est ma souffrance», conclut Idrissa Seck.