La possibilité d’adopter les enfants de son conjoint et le devoir de fidélité : deux points qui ne feront finalement pas partie du texte présenté par le gouvernement italien. Deux points qui posaient problème, d’abord parmi la frange catholique du Parti démocrate, le parti au pouvoir dirigé par Matteo Renzi, et puis aussi chez ses alliés de centre droit.
Le texte permet au conjoint étranger d’obtenir un titre de séjour, de prendre le nom de son compagnon. Il rend obligatoire l’assistance morale et matérielle réciproque et il autorise aussi le droit de visite à l’hôpital. Et puis, malgré le souhait des centristes, les demandes d’adoption pourront toujours être jugées au cas par cas. Certaines ont d’ailleurs été récemment validées par des tribunaux.
Reste maintenant le passage devant la Chambre des députés. Une étape qui devrait être une formalité grâce à la majorité plus solide de Matteo Renzi.
« C’est une journée qui restera dans l’histoire de notre pays », a déclaré l’homme politique, après le vote au Sénat. Il espère obtenir l’adoption définitive de cette loi d’ici deux mois.
Le texte permet au conjoint étranger d’obtenir un titre de séjour, de prendre le nom de son compagnon. Il rend obligatoire l’assistance morale et matérielle réciproque et il autorise aussi le droit de visite à l’hôpital. Et puis, malgré le souhait des centristes, les demandes d’adoption pourront toujours être jugées au cas par cas. Certaines ont d’ailleurs été récemment validées par des tribunaux.
Reste maintenant le passage devant la Chambre des députés. Une étape qui devrait être une formalité grâce à la majorité plus solide de Matteo Renzi.
« C’est une journée qui restera dans l’histoire de notre pays », a déclaré l’homme politique, après le vote au Sénat. Il espère obtenir l’adoption définitive de cette loi d’ici deux mois.