''Je voudrais saluer toute la population de Darou Moukhty et la remercier pour l'exceptionnel accueil qu'elle m'a réservé''... voilà qui a servi d'entame à Idrissa Seck juste après s'être longuement entretenu avec Serigne Modou Kara Mbacké Abdou Khoudoss.
Sa visite à Touba, au vu de la dernière actualité relative aux enlèvements présumés d'enfants et au meurtre du jeune Fallou Bâ, égorgé et abandonné dans une maison inhabitée à Touba Keur Niang, ne pouvait manquer de servir de bon prétexte pour la presse d'interpeller le patron de Rewmi sur l'insécurité des populations dans la cité. Idrissa Seck ne se fera, ainsi, guère prier pour qualifier ces actes de barbares et de regrettables.
''Je trouve cela ignoble, inacceptable, insupportable. Toute forme de violence exercée sur des êtres humains est répugnante. Mais elle l'est davantage lorsque ça s'attaque à des enfants. Je rappelle simplement que le pouvoir, ni les biens terrestres ne doivent justifier qu'on s'en prenne à des enfants. ''
Toutefois, il pointera son doigt accusateur sur l'État du Sénégal qui manque, selon lui, de satisfaire à certains de ses devoirs. '' La responsabilité première de l'État est de garantir la sécurité. À l'origine, 3.000 ans avant notre ère, le premier État fondé en Egypte l'avait été simplement pour garantir la sécurité aux paysans qui, chassés du désert, étaient obligés de se retrouver autour du Nil pour pouvoir cultiver. Et pour pouvoir semer, cultiver, récolter, on a besoin de paix. La fonction première d'un État est de garantir la paix et la sécurité aux hommes et à leurs biens. Voilà le rôle fondamental de l'État. Et sur ce rôle, notre État a failli. ''
Interpellé sur l'accusation portée contre les hommes qui auraient l'ignoble attitude de sacrifier des enfants à chaque approche d'élections, Idrissa Seck choisira de ne rien relativiser. '' Au-delà même de cette violence exercée sur les enfants, je pense que les gens doivent se convaincre qu'en dernier ressort c'est Dieu qui accorde le pouvoir à qui il veut . ''
Élu Président de République à l'issue de l'élection de 2019, Idy définit Ici sa première préoccupation. '' Ce sera de mettre de l'ordre au Sénégal. Une autorité ne peut pas être faible. ''
Sa visite à Touba, au vu de la dernière actualité relative aux enlèvements présumés d'enfants et au meurtre du jeune Fallou Bâ, égorgé et abandonné dans une maison inhabitée à Touba Keur Niang, ne pouvait manquer de servir de bon prétexte pour la presse d'interpeller le patron de Rewmi sur l'insécurité des populations dans la cité. Idrissa Seck ne se fera, ainsi, guère prier pour qualifier ces actes de barbares et de regrettables.
''Je trouve cela ignoble, inacceptable, insupportable. Toute forme de violence exercée sur des êtres humains est répugnante. Mais elle l'est davantage lorsque ça s'attaque à des enfants. Je rappelle simplement que le pouvoir, ni les biens terrestres ne doivent justifier qu'on s'en prenne à des enfants. ''
Toutefois, il pointera son doigt accusateur sur l'État du Sénégal qui manque, selon lui, de satisfaire à certains de ses devoirs. '' La responsabilité première de l'État est de garantir la sécurité. À l'origine, 3.000 ans avant notre ère, le premier État fondé en Egypte l'avait été simplement pour garantir la sécurité aux paysans qui, chassés du désert, étaient obligés de se retrouver autour du Nil pour pouvoir cultiver. Et pour pouvoir semer, cultiver, récolter, on a besoin de paix. La fonction première d'un État est de garantir la paix et la sécurité aux hommes et à leurs biens. Voilà le rôle fondamental de l'État. Et sur ce rôle, notre État a failli. ''
Interpellé sur l'accusation portée contre les hommes qui auraient l'ignoble attitude de sacrifier des enfants à chaque approche d'élections, Idrissa Seck choisira de ne rien relativiser. '' Au-delà même de cette violence exercée sur les enfants, je pense que les gens doivent se convaincre qu'en dernier ressort c'est Dieu qui accorde le pouvoir à qui il veut . ''
Élu Président de République à l'issue de l'élection de 2019, Idy définit Ici sa première préoccupation. '' Ce sera de mettre de l'ordre au Sénégal. Une autorité ne peut pas être faible. ''
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