Parlant sous le contrôle de son président, Ibrahima Dramé, l’Union nationale des consommateurs du Sénégal (UNCS) informe l’opinion publique et les consommateurs des constats faits sur les marchés du pays relatifs à la disponibilité et aux coûts des denrées dites de premières nécessités.
Après une étude sur le marché, il en revient à l’UNCS de dire que « l’approvisionnement est une réalité vérifiable au niveau national où l'on note une bonne disponibilité et en grande quantité des denrées de consommation courante », rassure -t-il.
Mieux encore, « l’inquiétude qui était crainte, vu qu’en pareille période, l’année dernière, des spéculations et des pénuries avaient chahuté la consommation nationale. Avec des tensions insidieuses sur le sucre surtout, ne s’est pas avérée cette année ».
Seulement, le seul handicap c’est la hausse des prix sur certaines denrées alimentaires. Pour l’UNCS « les directives de l’Etat, via ses services économiques, ne sont pas effectives sur application du moins pour certaines denrées dont surtout le sucre », confirme -t-il.
Fort de constat, « l’UNCS interpelle les services de contrôle des prix à procéder à des visites aléatoires ou ciblées pour constater et le cas échéant, punir ou sinon, prévenir toute spéculation usurière sur ces denrées ».
Et d’ajouter que des retours de nos relais, par exemple le sucre cristallisé, dont le prix du kilogramme est fixé à 575 Fcfa par l’Etat, est proposé à 700 FCFA dans le marché. Ces interventions sont une exigence consumériste pour soulager les poches des consommateurs en cette période où la ferveur religieuse se passerait bien de cette usure spéculative sur certains prix ».
Après une étude sur le marché, il en revient à l’UNCS de dire que « l’approvisionnement est une réalité vérifiable au niveau national où l'on note une bonne disponibilité et en grande quantité des denrées de consommation courante », rassure -t-il.
Mieux encore, « l’inquiétude qui était crainte, vu qu’en pareille période, l’année dernière, des spéculations et des pénuries avaient chahuté la consommation nationale. Avec des tensions insidieuses sur le sucre surtout, ne s’est pas avérée cette année ».
Seulement, le seul handicap c’est la hausse des prix sur certaines denrées alimentaires. Pour l’UNCS « les directives de l’Etat, via ses services économiques, ne sont pas effectives sur application du moins pour certaines denrées dont surtout le sucre », confirme -t-il.
Fort de constat, « l’UNCS interpelle les services de contrôle des prix à procéder à des visites aléatoires ou ciblées pour constater et le cas échéant, punir ou sinon, prévenir toute spéculation usurière sur ces denrées ».
Et d’ajouter que des retours de nos relais, par exemple le sucre cristallisé, dont le prix du kilogramme est fixé à 575 Fcfa par l’Etat, est proposé à 700 FCFA dans le marché. Ces interventions sont une exigence consumériste pour soulager les poches des consommateurs en cette période où la ferveur religieuse se passerait bien de cette usure spéculative sur certains prix ».
Autres articles
-
Justice : l'ancien ministre Birima Mangara convoqué à la Brigade de recherches (BR) de Faidherbe
-
Assemblée nationale : Macky Sall annonce sa démission dès l’installation de la 15e législature
-
Miss Littérature Sénégal 2024: Salamata Ousmane Diallo dévoile les contours de la 1ere édition et sollicite l'appui de l'Etat...
-
Émigration irrégulière : une pirogue en provenance du Sénégal avec des Subsahariens et des Pakistanais débarque sur l'île d'El Hierro
-
Affaire West African Energy : placé sous mandat de dépôt, Samuel Sarr est transféré finalement au pavillon spécial pour des raisons de santé.