La première journée des « mercredis de la Police » a été lancée cet après midi dans l’enceinte de la police nationale avec la présence de l’administration policière. Le directeur général de la police nationale a assisté à cette initiative qui, selon lui vient à point. « La gouvernance sécuritaire et l’approche collaborative de la sécurité » a été le thème auquel plusieurs panelistes ont apporté leur point de vue. Un sujet qui a également permis à tous les intervenants, de faire un tour d’horizon sur les relations entre la politicienne et la communauté dans le cadre de la gestion commune du renseignement, de l’approche, de la responsabilité et de la manière avec laquelle, la police doit collaborer avec sa commune. Comme il le disait lors de sa prise de service, Mame Seydou Ndour avec estimé que la police doit être réconciliée avec sa population.
Une approche multidisciplinaire du traitement de ce sujet qui a enregistré l'intervention de sociologues, l'intervention de praticiens, comme des policiers, mais aussi de professeurs d'université, de militaires, de membres des forces de sécurité et de défense. Et il est ressorti de toutes ces interventions des points positifs sur lesquels le directeur général de la police nationale entend, avec ses collaborateurs, s’appuyer pour mener leur action au sein de la communauté.
Mame Seydou Ndour a, par ailleurs, salué cette touche critique faite à la police nationale à travers ce panel: « Nous n'avons pas été tendres avec nous-mêmes. Il y a eu des critiques qui ont été formulées. Nous ne sommes pas prêts à recevoir des critiques. Nous en avons hâte et nous essayons d’y remédier. Je voudrais simplement dire ici que de tels exercices se poursuivront. Ce sont des exercices scientifiques, académiques et opérationnels qui continueront à nous guider dans nos actions quotidiennes, dans notre manière de faire de la sécurité, dans l'offre de sécurité que nous allons apporter à la population » a indiqué le DGPN qui salue aussi la participation des populations.
À travers ces « mercredis de la police », il s’agira au moins tous les mois ou tous les deux mois, de tenir un mercredi sur une période de trois à six mois peut-être avant de récupérer et de faire le même exercice chaque année. Cela va permettre de donner la parole aux gens pour qu'ils nous disent ce qu'ils pensent de la police nationale mais aussi de donner la parole aux FDS pour qu’ils puissent s'exprimer.
Une approche multidisciplinaire du traitement de ce sujet qui a enregistré l'intervention de sociologues, l'intervention de praticiens, comme des policiers, mais aussi de professeurs d'université, de militaires, de membres des forces de sécurité et de défense. Et il est ressorti de toutes ces interventions des points positifs sur lesquels le directeur général de la police nationale entend, avec ses collaborateurs, s’appuyer pour mener leur action au sein de la communauté.
Mame Seydou Ndour a, par ailleurs, salué cette touche critique faite à la police nationale à travers ce panel: « Nous n'avons pas été tendres avec nous-mêmes. Il y a eu des critiques qui ont été formulées. Nous ne sommes pas prêts à recevoir des critiques. Nous en avons hâte et nous essayons d’y remédier. Je voudrais simplement dire ici que de tels exercices se poursuivront. Ce sont des exercices scientifiques, académiques et opérationnels qui continueront à nous guider dans nos actions quotidiennes, dans notre manière de faire de la sécurité, dans l'offre de sécurité que nous allons apporter à la population » a indiqué le DGPN qui salue aussi la participation des populations.
À travers ces « mercredis de la police », il s’agira au moins tous les mois ou tous les deux mois, de tenir un mercredi sur une période de trois à six mois peut-être avant de récupérer et de faire le même exercice chaque année. Cela va permettre de donner la parole aux gens pour qu'ils nous disent ce qu'ils pensent de la police nationale mais aussi de donner la parole aux FDS pour qu’ils puissent s'exprimer.