Tous alignés dans une ruelle du marché central de la ville sainte de Tivaouane, la discussion entre collègues de travail bat son plein. Cet endroit est sans doute le point de rencontre ou devons-nous dire le garage des conducteurs de « Jakarta ». À la rencontre de ces jeunes, ils ont saisi l’occasion pour décrire leur situation mais aussi le ralentissement de leur business dû au report du Gamou durant ces deux dernières années. Mais leurs maux ne se limitent pas là. Plus d’un ont dénoncé avec ardeur le comportement « abusif » des policiers de la ville de Tivaouane, qui les arrêtent comme bon leur semble sans aucun motif valable pour ensuite les forcer à payer la somme de 6. 000f. Ces jeunes interpellent vivement
les autorités pour que des solutions soit apportées au plus vite...
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