Face à la persistance de la migration irrégulière, l’heure est aux stratégies de dissuasion pour freiner les départs massifs des candidats à l’aventure périlleuse. C’est dans ce contexte que l’Organisation Internationale pour les Migrations en collaboration avec le gouvernement du Sénégal et d’autres partenaires ont jugé prioritaire de revoir le document de la Politique Nationale de Migration du Sénégal (PNMS) pour ainsi y intégrer les nouveaux paradigmes et évolutions enregistrées depuis 2018.
En atelier ce 23 août, les acteurs ont partagé les orientations du nouveau document dont la coordination institutionnelle de mise à jour a été pilotée par le cabinet du Premier ministre.
« Au regard de la recrudescence des départs de candidats à l’immigration irrégulière par voie maritime avec leur lots de drames humains, l’adoption de la Politique Nationale de Migration du Sénégal (PNMS) constitue une priorité de premier plan pour l’État du Sénégal dont les efforts en matière de politiques publiques destinées aux migrations sont déjà perceptibles », a expliqué le représentant de la primature à cette rencontre, Alassane W. Sall. Selon lui, l’État du Sénégal s’est engagé à mettre en place une politique globale coordonnée et inclusive à même de combattre le phénomène mais également de tirer le maximum de profit des opportunités offertes par la migration.
Pour sa part, l’OIM croit qu’il est fondamental de tenir compte dans cette mise à jour du document de PNMS, les droits du migrant.
« Au cœur de toute politique migratoire doit se trouver les droits fondamentaux des migrants. Le Sénégal, un adhérent au traité et pacte international lié au droit international de la migration, démontre son engagement envers les normes de dignité, d’équité et de non discrimination quel que soit le statut migratoire », a indiqué la Cheffe de mission de l’OIM au Sénégal, Valeria Falaschi.
En atelier ce 23 août, les acteurs ont partagé les orientations du nouveau document dont la coordination institutionnelle de mise à jour a été pilotée par le cabinet du Premier ministre.
« Au regard de la recrudescence des départs de candidats à l’immigration irrégulière par voie maritime avec leur lots de drames humains, l’adoption de la Politique Nationale de Migration du Sénégal (PNMS) constitue une priorité de premier plan pour l’État du Sénégal dont les efforts en matière de politiques publiques destinées aux migrations sont déjà perceptibles », a expliqué le représentant de la primature à cette rencontre, Alassane W. Sall. Selon lui, l’État du Sénégal s’est engagé à mettre en place une politique globale coordonnée et inclusive à même de combattre le phénomène mais également de tirer le maximum de profit des opportunités offertes par la migration.
Pour sa part, l’OIM croit qu’il est fondamental de tenir compte dans cette mise à jour du document de PNMS, les droits du migrant.
« Au cœur de toute politique migratoire doit se trouver les droits fondamentaux des migrants. Le Sénégal, un adhérent au traité et pacte international lié au droit international de la migration, démontre son engagement envers les normes de dignité, d’équité et de non discrimination quel que soit le statut migratoire », a indiqué la Cheffe de mission de l’OIM au Sénégal, Valeria Falaschi.
Autres articles
-
Macky Sall intègre le conseil de la Fondation Mo Ibrahim : « Un acte d’élévation qui honore le Sénégal », se félicite l’APR
-
Entretien / Corruption, mal-gouvernance et transparence : « Il faut d’abord changer les mentalités pour réussir le combat » (Amadou Maleine Niang, ONG IBP)
-
Abdou Mbow exige "un minimum de respect" du Premier ministre envers les représentants du peuple
-
Géomètre-Expert : « Un métier agressé par des non-professionnels » selon Lamine Fall, président de l’Ordre des Géomètres du Sénégal
-
CNDH : Amsatou Sow Sidibé nommée présidente pour un mandat de 6 ans