François Hollande a exprimé peu après midi «son entière solidarité avec le peuple belge» après les attentats meurtriers de Bruxelles, qui ont eu lieu mardi matin.
«A travers les attentats de Bruxelles, c’est toute l’Europe qui est frappée», a-t-il écrit dans un communiqué. «Ce qui exige d’elle qu’elle prenne les dispositions indispensables face à la gravité de la menace. La France qui a été elle-même attaquée en janvier et novembre dernier y prend toute sa part. Elle poursuivra de manière implacable la lutte contre le terrorisme, aussi bien sur le plan international qu’intérieur», poursuit-il. Il a ensuite pris la parole, dénonçant «une menace globale qui exige d'y répondre globalement». Désormais, «la France et la Belgique sont liées par l'horreur».
«Nous sommes en guerre, nous subissons depuis plusieurs mois en Europe des actes de guerre», a, de son côté, réagi Manuel Valls. «Face à cette guerre, il faut une mobilisation de tous les instants», a-t-il poursuivi. en exprimant sa «solidarité» et sa «compassion» aux victimes et à la Belgique. Le premier ministre s'exprimait à son arrivée à la réunion des députés socialistes à l'Assemblée, après une réunion d'urgence à l'Elysée qui a débouché sur de nouveaux renforcements des mesures de sécurité en France.
«A travers les attentats de Bruxelles, c’est toute l’Europe qui est frappée», a-t-il écrit dans un communiqué. «Ce qui exige d’elle qu’elle prenne les dispositions indispensables face à la gravité de la menace. La France qui a été elle-même attaquée en janvier et novembre dernier y prend toute sa part. Elle poursuivra de manière implacable la lutte contre le terrorisme, aussi bien sur le plan international qu’intérieur», poursuit-il. Il a ensuite pris la parole, dénonçant «une menace globale qui exige d'y répondre globalement». Désormais, «la France et la Belgique sont liées par l'horreur».
«Nous sommes en guerre, nous subissons depuis plusieurs mois en Europe des actes de guerre», a, de son côté, réagi Manuel Valls. «Face à cette guerre, il faut une mobilisation de tous les instants», a-t-il poursuivi. en exprimant sa «solidarité» et sa «compassion» aux victimes et à la Belgique. Le premier ministre s'exprimait à son arrivée à la réunion des députés socialistes à l'Assemblée, après une réunion d'urgence à l'Elysée qui a débouché sur de nouveaux renforcements des mesures de sécurité en France.