Au sortir du match nul contre l’Iran (1-1), Formose Mendy, titularisé pour la première fois en tant que latéral droit, est plus ou moins satisfait. Toutefois, le défenseur Amiénois regrette comme la plupart de ses coéquipiers, le manque de réalisme des Lions…
« Ce match ne pouvait pas se dérouler autrement. Dans le football, il faut savoir faire la différence quand on a l’occasion de le faire. On aurait pu tuer le match dès le début… Il n’y a pas de quoi s’inquiéter, je pense que c’est du football, on avait deux matches de préparation, on a réussi à avoir quatre points. Il y a plein d’enseignements à tirer au sortir de ces rencontres, c’est à nous de continuer le travail. »
Pas totalement libéré dans le couloir droit, pour sa première titularisation, après une entrée en jeu face à la Bolivie, Formose préfère ne pas trop se focaliser sur la prochaine liste de joueurs qui sera dévoilée au mois de novembre, en vue du mondial.
« Pour la liste du mondial on verra… Le plus important c’est de continuer à travailler et faire ce qu’il faut pour faire partie de la sélection. Il s’agit assurément d’un rêve de gamin, le simple fait de porter le maillot de l’équipe nationale est un immense privilège. Nous sommes là pour apprendre et progresser auprès de nos aînés, pour le reste on verra… »
« Ce match ne pouvait pas se dérouler autrement. Dans le football, il faut savoir faire la différence quand on a l’occasion de le faire. On aurait pu tuer le match dès le début… Il n’y a pas de quoi s’inquiéter, je pense que c’est du football, on avait deux matches de préparation, on a réussi à avoir quatre points. Il y a plein d’enseignements à tirer au sortir de ces rencontres, c’est à nous de continuer le travail. »
Pas totalement libéré dans le couloir droit, pour sa première titularisation, après une entrée en jeu face à la Bolivie, Formose préfère ne pas trop se focaliser sur la prochaine liste de joueurs qui sera dévoilée au mois de novembre, en vue du mondial.
« Pour la liste du mondial on verra… Le plus important c’est de continuer à travailler et faire ce qu’il faut pour faire partie de la sélection. Il s’agit assurément d’un rêve de gamin, le simple fait de porter le maillot de l’équipe nationale est un immense privilège. Nous sommes là pour apprendre et progresser auprès de nos aînés, pour le reste on verra… »