« Effectivement, il y a eu main dans la surface de réparation. Quand il y a main dans la surface de réparation, il y a penalty effectivement. Dieu merci nous avons une assistance vidéo qui rectifie les choses. C’est cela l’importance », dira Alioum Alioum dans des propos relayés par Wiwsport.
En effet, l’arbitre de la finale s’est appesanti sur l’aide de la VAR pour aller s’enquérir de la situation. L’arbitre camerounais juge alors l’action. Au ralenti, il a une autre estimation de sa décision.
« Nous avons pris cette décision mon assistant et moi. Il m’a donné, il m’a filé l’information qu’il y’avait main et moi aussi de ma position, de profil, j’avais une idée de main. Mais on ne savait pas vraiment si cette main était anormale et si elle était décollée du corps. J’ai pris la décision de siffler un penalty, mais après l’assistant de la vidéo m’a envoyé voir l’image. J’ai revu l’image et je suis revenu sur ma décision. Il n’y avait pas penalty, la main n’était pas décollée du corps », assure-t-il.
En effet, l’arbitre de la finale s’est appesanti sur l’aide de la VAR pour aller s’enquérir de la situation. L’arbitre camerounais juge alors l’action. Au ralenti, il a une autre estimation de sa décision.