Le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, a visité vendredi après-midi, les bâtiments des anciennes emprises de l’Armée française au Sénégal et a décidé de les affecter aux enseignants du supérieur et aux officiers de l’Armée nationale.
Cependant, d’autres bâtiments seront loués aux Eléments français au Sénégal (EFS) selon un tarif du loyer majoré, a indiqué Me Wade sur la télévision nationale (RTS1).
Les emprises concernées se trouvent à Bel-Air, Mermoz et à la cité Claudel. Le président a émis le voeu de loger notamment les assistants à l’université et les officiers qui logent à l’Immeuble Air France à Dakar.
Une page de l’histoire de la coopération militaire entre de le Sénégal s’est tournée le 31 juillet 2011 avec le départ de 900 des 1.200 militaires des Forces françaises du Cap-Vert (FFCV) qui ont laissé la place à 300 hommes représentants les Eléments français au Sénégal (EFS).
Cette nouvelle donne s’inscrit dans le cadre de la reprise des bases militaires françaises décidée en avril 2010 par le Sénégal.
Ces bases terrestre, aérienne et navale étaient installées au Sénégal après l’indépendance en 1960 et suite aux accords militaires signé en 1974. Dakar était la troisième base permanente française en Afrique, avec Libreville et Djibouti.
Les 300 Eléments Français au Sénégal vont constituer ‘’une plateforme de coopération militaire opérationnelle bilatérale et régionale’’ pour les armées de 15 pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
( APS )
Cependant, d’autres bâtiments seront loués aux Eléments français au Sénégal (EFS) selon un tarif du loyer majoré, a indiqué Me Wade sur la télévision nationale (RTS1).
Les emprises concernées se trouvent à Bel-Air, Mermoz et à la cité Claudel. Le président a émis le voeu de loger notamment les assistants à l’université et les officiers qui logent à l’Immeuble Air France à Dakar.
Une page de l’histoire de la coopération militaire entre de le Sénégal s’est tournée le 31 juillet 2011 avec le départ de 900 des 1.200 militaires des Forces françaises du Cap-Vert (FFCV) qui ont laissé la place à 300 hommes représentants les Eléments français au Sénégal (EFS).
Cette nouvelle donne s’inscrit dans le cadre de la reprise des bases militaires françaises décidée en avril 2010 par le Sénégal.
Ces bases terrestre, aérienne et navale étaient installées au Sénégal après l’indépendance en 1960 et suite aux accords militaires signé en 1974. Dakar était la troisième base permanente française en Afrique, avec Libreville et Djibouti.
Les 300 Eléments Français au Sénégal vont constituer ‘’une plateforme de coopération militaire opérationnelle bilatérale et régionale’’ pour les armées de 15 pays de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
( APS )