En partenariat avec le NIYEL, la direction de l'assainissement du Sénégal a tenu une cérémonie de présentation d'un documentaire intitulé "Voisins des Eaux Usées".
Ce film documentaire réalisé par un jeune habitant de Pikine (Saint-Louis) qui s'inscrit dans le cadre du programme "Clap assainissement" mis en œuvre par l'ONG NIYEL, vise à dépeindre les mauvaises attitudes des populations, particulièrement en cette période hivernale où l'on constate avec regret, des habitants qui continuent de déverser les eaux usées domestiques dans les canaux avec leurs conséquences multiples et variées. Une façon également, pour le jeune cinéaste Doudou Diop et ses alliés d'interpeller les décideurs politiques face à l'urgente nécessité de trouver des solutions durables aux problèmes d'hygiène et d'assainissement.
"Nous organisons cette première nationale dans le cadre d'un programme plus régional qui touche 7 pays de l'Afrique Francophone qui a travaillé aussi avec 9 jeunes cinéastes africains pour justement retracer à quoi ressemble l'assainissement, selon eux. Le projet dans son ensemble cherche à renforcer l'engagement des décideurs. L'engagement politique autour de l'assainissement pour arriver à une meilleure gestion de l'assainissement pour les communautés au-delà des politiques", a souligné Leatitia Badalo, de la direction du plaidoyer et de l'impact à NIYEL en sollicitant la contribution et l'engagement de l’État ainsi que toutes autres couches de la société pour permettre de vivre pleinement ou d'avoir accès pleinement à l'assainissement.
"Je pense qu'on est en train de secouer, il y a de bonnes bases, mais on est en train de secouer pour permettre à nos décideurs de penser à des choses auxquelles ils ne pensaient pas, de sortir du cadre carré dans lequel ils ont l'habitude de travailler mais de penser à d'autres éléments tels les questions de diversité, les questions économiques, environnementales, sanitaires", a poursuivi Leatitia Badalo.
C'est un élément de plaidoyer également pour permettre à l'ensemble des acteurs de pouvoir prendre conscience de ce que vivent certaines communautés au niveau local. Selon le directeur de l'assainissement Omar Sène, "au-delà de tout ce qu'on est en train de faire, il faut attirer l'attention sur le fait qu'il y a nécessité de changer de paradigme. Ce film là nous interpelle nous tous, autant que nous sommes, décideurs, collectivités territoriales, ONG, populations, communautés, tout le monde doit changer de paradigme pour voir comment appréhender ces préoccupations de nos communautés pour améliorer nos interventions", a t-il exhorté en rappelant que beaucoup d'efforts ont été faits. Et avec l'avènement des ONG nous avons engagé de nouveaux défis à mobiliser et beaucoup de financements...
"Nous organisons cette première nationale dans le cadre d'un programme plus régional qui touche 7 pays de l'Afrique Francophone qui a travaillé aussi avec 9 jeunes cinéastes africains pour justement retracer à quoi ressemble l'assainissement, selon eux. Le projet dans son ensemble cherche à renforcer l'engagement des décideurs. L'engagement politique autour de l'assainissement pour arriver à une meilleure gestion de l'assainissement pour les communautés au-delà des politiques", a souligné Leatitia Badalo, de la direction du plaidoyer et de l'impact à NIYEL en sollicitant la contribution et l'engagement de l’État ainsi que toutes autres couches de la société pour permettre de vivre pleinement ou d'avoir accès pleinement à l'assainissement.
"Je pense qu'on est en train de secouer, il y a de bonnes bases, mais on est en train de secouer pour permettre à nos décideurs de penser à des choses auxquelles ils ne pensaient pas, de sortir du cadre carré dans lequel ils ont l'habitude de travailler mais de penser à d'autres éléments tels les questions de diversité, les questions économiques, environnementales, sanitaires", a poursuivi Leatitia Badalo.
C'est un élément de plaidoyer également pour permettre à l'ensemble des acteurs de pouvoir prendre conscience de ce que vivent certaines communautés au niveau local. Selon le directeur de l'assainissement Omar Sène, "au-delà de tout ce qu'on est en train de faire, il faut attirer l'attention sur le fait qu'il y a nécessité de changer de paradigme. Ce film là nous interpelle nous tous, autant que nous sommes, décideurs, collectivités territoriales, ONG, populations, communautés, tout le monde doit changer de paradigme pour voir comment appréhender ces préoccupations de nos communautés pour améliorer nos interventions", a t-il exhorté en rappelant que beaucoup d'efforts ont été faits. Et avec l'avènement des ONG nous avons engagé de nouveaux défis à mobiliser et beaucoup de financements...
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