Interrogée sur la fermeture des universités, la directrice d'Intelligence Magazine a rappelé "le danger de la fuite des cerveaux qui guette notre pays, au moment où celui-ci envisage de démarrer sa production de gaz et de pétrole."
Avant de préciser : "Ce qui peut pousser un État à fermer les universités, je ne le sais pas, même si cela doit être la dernière option. Oui, on nous presse d’appeler à l’ouverture du campus. Imaginez que nous le fassions, que ça le soit demain et qu’il y ait par malheur une tragédie. Nous le porterions sur notre conscience".
Et de conclure : "Rien ne me fait plus mal que de savoir que cette université est fermée. Vous savez bien que vous prêchez une convaincue..."