La cérémonie d’ouverture du Festival international de littérature de Dakar (FILID) a eu lieu ce mercredi 29 mai 2024. Sous la houlette du représentant du ministre de la Culture et des Sports, du conseiller technique à la primature et de nombreux invités, la leçon inaugurale a été prononcée par Coudy Kane, professeur à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar. À l’entame de son propos, cette dernière a remercié l’initiateur de ce programme et les autorités venus assister à cet événement qui revêt d’une importance capitale. Dans une réflexion approfondie, elle est revenue sur le thème « le livre, mémoire des civilisations » qui est un centre d’intérêt qui s’inscrit autour de l’actualité.
Le professeur a ainsi proposé quelques pistes pour le développement du livre.
Parlant sous le contrôle du ministre de la culture et des sports, le Dr Salif Diédhiou a exprimé sa joie d’avoir représenté le ministre Khady Diène Gaye et le secrétaire d’État à la culture, M. Bacary Sarr pour le démarrage officiel de la troisième édition du FILID. .Sans pour autant oublier de remercier les professeurs et les personnalités (écrivains, éditeurs, chercheurs, poètes, directeurs, chefs de service ambassadeurs etc…).
Selon le conseiller technique à la primature, il est une nécessité de travailler ensemble pour un environnement propice à l’épanouissement de la littérature pour préserver le patrimoine littéraire. À cet effet, il a rassuré les acteurs littéraires de l’accompagnement des nouvelles autorités en leur faveur, car « l’État du Sénégal souhaite surtout que le livre joue son rôle de produit industriel permettant aux auteurs de vivre de leur art et à toute la chaîne du livre de bénéficier des retombées du développement du livre et de la lecture ».
Dans la même veine, le département de la jeunesse, des sports et de la culture observe avec intérêt la mise en œuvre de projets privés visant à prolonger et à amplifier l’intervention de l’État par la multiplication de foires et salons, de festivals ou de prix littéraires. À l’en croire « Le ministre de la Culture serait enchanté de compter le festival international de littérature de Dakar comme une plateforme inscrite dans l’agenda culturel national ».
Il a ainsi exprimé sa gratitude envers l’initiateur avant de lui réaffirmer l’accompagnement du ministre de tutelle pour la réussite de cette activité.
Le professeur a ainsi proposé quelques pistes pour le développement du livre.
Parlant sous le contrôle du ministre de la culture et des sports, le Dr Salif Diédhiou a exprimé sa joie d’avoir représenté le ministre Khady Diène Gaye et le secrétaire d’État à la culture, M. Bacary Sarr pour le démarrage officiel de la troisième édition du FILID. .Sans pour autant oublier de remercier les professeurs et les personnalités (écrivains, éditeurs, chercheurs, poètes, directeurs, chefs de service ambassadeurs etc…).
Selon le conseiller technique à la primature, il est une nécessité de travailler ensemble pour un environnement propice à l’épanouissement de la littérature pour préserver le patrimoine littéraire. À cet effet, il a rassuré les acteurs littéraires de l’accompagnement des nouvelles autorités en leur faveur, car « l’État du Sénégal souhaite surtout que le livre joue son rôle de produit industriel permettant aux auteurs de vivre de leur art et à toute la chaîne du livre de bénéficier des retombées du développement du livre et de la lecture ».
Dans la même veine, le département de la jeunesse, des sports et de la culture observe avec intérêt la mise en œuvre de projets privés visant à prolonger et à amplifier l’intervention de l’État par la multiplication de foires et salons, de festivals ou de prix littéraires. À l’en croire « Le ministre de la Culture serait enchanté de compter le festival international de littérature de Dakar comme une plateforme inscrite dans l’agenda culturel national ».
Il a ainsi exprimé sa gratitude envers l’initiateur avant de lui réaffirmer l’accompagnement du ministre de tutelle pour la réussite de cette activité.