Galamment arrivé au pouvoir en Mars 2000, après plus de deux décennies – 26 ans pour dire juste - dans l’opposition faites de souffrances, de privations, de sacrifices (physiques, moraux et financiers), de frustrations difficilement contenues et de tergiversations savamment calculées, Wade n’a depuis (peut-être légitimement) qu’une seule obsession : entrer dans l’histoire par la grande porte à l’instar des Mandela, Hélène. S. Johnson et autres icônes de la realpolitik africaine et ou mondiale.
De compromis en compromis, de reniement en reniement, il se réclame de tout et de rien pourvu que les jalons soient posés et le chemin allègrement balisé vers le Prix Nobel, surtout celui de la Paix, de loin le plus prisé, le plus impressionnant, le plus prestigieux, et le plus marquant. Tantôt digne et légitime héritier du Senghorisme, tantôt aussi sinon plus panafricaniste que NKrumah, tantôt aussi pacifiste que Gandhi, tantôt plus fédérateur qu’un Mandéla, il tisse lentement mais sûrement sa toile tel Azingo (l’araignée chez les pygmées négrilles du Gabon) guettant inlassablement les mouches, proies alléchantes qui voltigent autour de lui (ici toutes les distinctions honorifiques et glorifiantes possibles).
Pourtant, je disais dans une contribution parue dans l’hebdomadaire Les Opinions que « Wade n’est pas Gandhi, il n’en a pas la carrure et le poids philosophique (la patience et l’humilité) ; Wade n’est pas Mandela, il n’en aura jamais l’envergure politique (la faculté de partager et de renoncer) ; Wade n’est pas Senghor qu’il jalouse dans ses actes de tous les jours, il n’en aura jamais l’halo (le fait de marquer l’histoire du Monde Noir). L’assimiler à de pareilles icônes, c’est le pousser et ou le réconforter petit à petit mais sûrement dans son égotisme surdimensionné qui finira forcément par l’emporter comme feuille morte au vent…. ».
Il veut son Nobel pour égaler un Mandéla au summum de la béatitude. Il veut son Prix pour titiller un Gandhi au firmament de l’immortalité. Il veut son César pour figurer mieux que Senghor vis –à –vis de qui il nourrit un complexe d’infériorité obsédant. Wade court derrière le Nobel pour dépasser un Diouf pour lequel il n’a que inimitié, rancune et hostilité car ne lui pardonnant pas de s’être immiscé entre lui et Senghor pour la succession qu’il croyait pendant longtemps acquise.
Que ne fera t- il alors pour s’attirer le respect et la sympathie du monde et particulièrement des *électeurs- allocataires* de ce prestigieux oscar du côté de la Norvège ?
Pour ma part je suis aujourd’hui persuadé que notre Gorgui National ne s’accrocherait pas ainsi au pouvoir, au risque d’enflammer le pays, si cette grande distinction lui tombait dessus. Et pourtant, il aura depuis, beaucoup travaillé, beaucoup combiné, beaucoup manœuvré pour y arriver. Mais, hélas !
Pendant presque 11 ans, le Président de tous les Sénégalais aura prétendu de toutes ses forces à ce fameux prix, à cette exaltante distinction, à cette consécration sublime qui automatiquement le différencierait de ses compères africains de plus en plus asphyxiants à l’image d’un Compaoré qui lui a bouché les horizons et qui l’a empêché de dérouler à sa guise. Dans une course effrénée contre la montre, Wade a multiplié les initiatives diplomatiques, les plans, les prophéties et autres conjectures dont il a lui seul le secret : il fallait impérativement plier le monde, son monde pour assouvir ses ambitions, ses prétentions quitte à se dédire et ou à se compromettre. Pendant longtemps, il a sauté et ou a interféré sur tous les événements malheureux (en Afrique ou ailleurs) pour y trouver l’occasion d’asseoir une visibilité que beaucoup prennent pour hypocrite et sournoise.
La diplomatie Sénégalaise uniquement instrumentalisée à cette fin, ne savait plus ou donner de la tête : tatillonne à souhait et peu inspirée, elle a recherché vainement sa virginité et son lustre d’antan. Que l’Union Africaine bannisse les coups de forces, cela n’a pu empêcher Wade de légitimer puis de faire légitimer un putschiste en Mauritanie, par le biais d’acrobaties diplomatiques sans précédent dans l’histoire du continent. Grisé par cette pseudo réussite, il s’embarquait aussitôt dans le cas Guinéen poussant petit à petit mais inexorablement le naïf Capitaine Dadis au banc des accusés du monde civilisé et à un suicide politique certain et irrévocable. Nous n’oublierons pas que la paix de la diplomatie Sénégalaise avait fini de pousser Nino Viéra de la Guinée Bissau à la tombe. En Côte d’Ivoire, le régime avait vite fait de se reprendre et à inviter la diplomatie Sénégalaise à plier bagages et à dégager même si l’armée nationale y avait joué une partition salvatrice aux premières heures de la crise. Le fait de prendre très tôt position contre le hold – up de Gbagbo et pour la cause de Ouattara, en sus de plaire à la France et au monde occidental, entrait aussi dans une logique de montrer le courroux du Sénégal et de son chef pour avoir été vivement écartés au profit du Faso dans les négociations lors de la longue crise ivoirienne.
On ne force pas le destin avec moult palabres sur des vœux pieux comme le NEPAD, la Fracture Numérique et avec des distinctions secondaires comme les Honoris Causas d’Universités en panne d’excellence. Pire encore, avec des rêves utopiques (parce que mythiques) comme le Grand Retour en Afrique des noirs de la Diaspora. Le tremblement de terre en Haïti que nous avions tous déploré en son temps, ne devait pas être un fond de commerce pour des desseins inavoués mais plutôt l’occasion de montrer une sincère compassion et une véritable solidarité envers ces frères de sang. Une seule résolution vide, irrationnelle et plutôt émotive à l’Union Africaine ne pouvait agréer et suffire à la situation catastrophique que vivent depuis lors les centaines de milliers de sinistrés Haïtiens ; ils attendaient plus de nous ; plus en tout cas qu’une invitation platonique au retour au bercail que tout (la culture, le mode de vie, les conditions sociologiques et économiques) semble contrarier d’avance (les quelques centaines de frères Haïtiens qui vivent depuis parmi nous en ont fait l’amer constat). Cessons de rêver et soyons plus pragmatiques dans nos décisions ! On ne se fait pas une réputation et un nom d’avec la misère des autres. Décidément la quête du Nobel a su nous coûter cher.
Le dépensier et incongru Sommet de l’OCI, avait, en son temps, donné des idées, des idées fallacieuses de régler la question Palestinienne qui dépasse de très loin nos modestes capacités mais Wade se sentait investi d’une mission. La réussite dans d’une telle mission lui ouvrait indéniablement les portes qui mènent au Nobel de ses rêves. Le dialogue Islamo –chrétien a longtemps été un cheval de bataille (malheureusement freiné par le fameux et lamentable épisode qui faillit indisposer et traumatiser à jamais nos frères Chrétiens lors de sa rencontre avec les enseignants libéraux au Cices) pour se positionner et se démarquer des plus radicaux et des plus intolérants. .Aujourd’hui il s’insurge contre AL Qaydda au Maghreb pour encore marquer des points précieux pour et dans le décompte final. Même le sang de son ami Kadhafi passe pour une offrande à l’autel des intérêts français, des intérêts du monde occidental dont le soutien et la compréhension sont de mises pour un Nobel. Que dire maintenant de la fameuse théorie sur le droit d’ingérence humanitaire ou sécuritaire ! je donne volontiers ma langue au chat.
Un Prix Nobel vaut ici beaucoup de manœuvres et de torsions diplomatiques et parfois même des renoncements douloureux comme le sacrifice des cadres Sénégalais à la tête des institutions internationales. Cet empressement à montrer une disponibilité et un attachement au consensus ne trompe plus personne, mieux d’autres en tirent profit. De Dakar, l’ouest africain a fini d’élire domicile à Ouaga pour laver, chaque fois que besoin se fait sentir, son linge sale. Depuis lors, Compaoré jubile et prend un malin plaisir à couper l’herbe sous les pieds d’un Wade que la baraka semble quitté jour après jour. Le Togo, le Niger, la Côte d’Ivoire et la Guinée - chacun en ce qui le concernait à un moment crucial de son existence – étaient partis régler leurs affaires internes sous l’œil « éclairé » d’un Compaoré devenu par la force des choses incontournable dans le règlement des conflits sous - régionaux au grand damne d’un Wade complètement abasourdi. Peut-être que Gadio (longtemps le meilleur Ministre des Affaires Etrangères de tous les temps selon Sa Majesté infaillible) a payé en son temps pour cela, en plus du fait que Monsieur le Président n’a jamais encore eu – par ses entreprises - ses entrées fracassantes à la Maison Blanche où tout ce décide.
Pourtant chers compatriotes, il y a certainement une vie après le pouvoir et même hors des rouages de ce même pouvoir. Sinon, des hommes et des femmes comme Desmond Tutu ne marqueraient en rien l’histoire de l’humanité. Ils ont eu la reconnaissance de tous, de toute l’humanité pour leurs vertus supérieures ; en termes plus clairs, pour leur sens aigu du partage, du pardon, de la réconciliation mais surtout de renoncement. Parce que justement le seul exercice du pouvoir peut jouer des tours car se révélant très souvent le lit doré de toutes les dérives qui excluent certains hommes d’Etat des belles pages de l’histoire (Mobutu, Kadhafi, Gbagbo, Hitler…)
Que l’on ne désespère pas : la géopolitique mondiale a ses mystères et peut, à tout moment (bien qu’il ne lui reste que quelques 3 mois au pouvoir) trouver à notre cher Président une occasion infaillible de s’affirmer et de saisir à deux mains ce fameux trophée qui manque si cruellement à son riche et enviable palmarès. Ah ! Que les empêcheurs de tourner en rond comme Compaoré périssent à jamais. Amen !
AMADOU FALL Enseignant à GUINGUINEO
TEL : 775457544/766887279
Zemaria64@yahoo.fr / zemazia64@hotmail.fr
De compromis en compromis, de reniement en reniement, il se réclame de tout et de rien pourvu que les jalons soient posés et le chemin allègrement balisé vers le Prix Nobel, surtout celui de la Paix, de loin le plus prisé, le plus impressionnant, le plus prestigieux, et le plus marquant. Tantôt digne et légitime héritier du Senghorisme, tantôt aussi sinon plus panafricaniste que NKrumah, tantôt aussi pacifiste que Gandhi, tantôt plus fédérateur qu’un Mandéla, il tisse lentement mais sûrement sa toile tel Azingo (l’araignée chez les pygmées négrilles du Gabon) guettant inlassablement les mouches, proies alléchantes qui voltigent autour de lui (ici toutes les distinctions honorifiques et glorifiantes possibles).
Pourtant, je disais dans une contribution parue dans l’hebdomadaire Les Opinions que « Wade n’est pas Gandhi, il n’en a pas la carrure et le poids philosophique (la patience et l’humilité) ; Wade n’est pas Mandela, il n’en aura jamais l’envergure politique (la faculté de partager et de renoncer) ; Wade n’est pas Senghor qu’il jalouse dans ses actes de tous les jours, il n’en aura jamais l’halo (le fait de marquer l’histoire du Monde Noir). L’assimiler à de pareilles icônes, c’est le pousser et ou le réconforter petit à petit mais sûrement dans son égotisme surdimensionné qui finira forcément par l’emporter comme feuille morte au vent…. ».
Il veut son Nobel pour égaler un Mandéla au summum de la béatitude. Il veut son Prix pour titiller un Gandhi au firmament de l’immortalité. Il veut son César pour figurer mieux que Senghor vis –à –vis de qui il nourrit un complexe d’infériorité obsédant. Wade court derrière le Nobel pour dépasser un Diouf pour lequel il n’a que inimitié, rancune et hostilité car ne lui pardonnant pas de s’être immiscé entre lui et Senghor pour la succession qu’il croyait pendant longtemps acquise.
Que ne fera t- il alors pour s’attirer le respect et la sympathie du monde et particulièrement des *électeurs- allocataires* de ce prestigieux oscar du côté de la Norvège ?
Pour ma part je suis aujourd’hui persuadé que notre Gorgui National ne s’accrocherait pas ainsi au pouvoir, au risque d’enflammer le pays, si cette grande distinction lui tombait dessus. Et pourtant, il aura depuis, beaucoup travaillé, beaucoup combiné, beaucoup manœuvré pour y arriver. Mais, hélas !
Pendant presque 11 ans, le Président de tous les Sénégalais aura prétendu de toutes ses forces à ce fameux prix, à cette exaltante distinction, à cette consécration sublime qui automatiquement le différencierait de ses compères africains de plus en plus asphyxiants à l’image d’un Compaoré qui lui a bouché les horizons et qui l’a empêché de dérouler à sa guise. Dans une course effrénée contre la montre, Wade a multiplié les initiatives diplomatiques, les plans, les prophéties et autres conjectures dont il a lui seul le secret : il fallait impérativement plier le monde, son monde pour assouvir ses ambitions, ses prétentions quitte à se dédire et ou à se compromettre. Pendant longtemps, il a sauté et ou a interféré sur tous les événements malheureux (en Afrique ou ailleurs) pour y trouver l’occasion d’asseoir une visibilité que beaucoup prennent pour hypocrite et sournoise.
La diplomatie Sénégalaise uniquement instrumentalisée à cette fin, ne savait plus ou donner de la tête : tatillonne à souhait et peu inspirée, elle a recherché vainement sa virginité et son lustre d’antan. Que l’Union Africaine bannisse les coups de forces, cela n’a pu empêcher Wade de légitimer puis de faire légitimer un putschiste en Mauritanie, par le biais d’acrobaties diplomatiques sans précédent dans l’histoire du continent. Grisé par cette pseudo réussite, il s’embarquait aussitôt dans le cas Guinéen poussant petit à petit mais inexorablement le naïf Capitaine Dadis au banc des accusés du monde civilisé et à un suicide politique certain et irrévocable. Nous n’oublierons pas que la paix de la diplomatie Sénégalaise avait fini de pousser Nino Viéra de la Guinée Bissau à la tombe. En Côte d’Ivoire, le régime avait vite fait de se reprendre et à inviter la diplomatie Sénégalaise à plier bagages et à dégager même si l’armée nationale y avait joué une partition salvatrice aux premières heures de la crise. Le fait de prendre très tôt position contre le hold – up de Gbagbo et pour la cause de Ouattara, en sus de plaire à la France et au monde occidental, entrait aussi dans une logique de montrer le courroux du Sénégal et de son chef pour avoir été vivement écartés au profit du Faso dans les négociations lors de la longue crise ivoirienne.
On ne force pas le destin avec moult palabres sur des vœux pieux comme le NEPAD, la Fracture Numérique et avec des distinctions secondaires comme les Honoris Causas d’Universités en panne d’excellence. Pire encore, avec des rêves utopiques (parce que mythiques) comme le Grand Retour en Afrique des noirs de la Diaspora. Le tremblement de terre en Haïti que nous avions tous déploré en son temps, ne devait pas être un fond de commerce pour des desseins inavoués mais plutôt l’occasion de montrer une sincère compassion et une véritable solidarité envers ces frères de sang. Une seule résolution vide, irrationnelle et plutôt émotive à l’Union Africaine ne pouvait agréer et suffire à la situation catastrophique que vivent depuis lors les centaines de milliers de sinistrés Haïtiens ; ils attendaient plus de nous ; plus en tout cas qu’une invitation platonique au retour au bercail que tout (la culture, le mode de vie, les conditions sociologiques et économiques) semble contrarier d’avance (les quelques centaines de frères Haïtiens qui vivent depuis parmi nous en ont fait l’amer constat). Cessons de rêver et soyons plus pragmatiques dans nos décisions ! On ne se fait pas une réputation et un nom d’avec la misère des autres. Décidément la quête du Nobel a su nous coûter cher.
Le dépensier et incongru Sommet de l’OCI, avait, en son temps, donné des idées, des idées fallacieuses de régler la question Palestinienne qui dépasse de très loin nos modestes capacités mais Wade se sentait investi d’une mission. La réussite dans d’une telle mission lui ouvrait indéniablement les portes qui mènent au Nobel de ses rêves. Le dialogue Islamo –chrétien a longtemps été un cheval de bataille (malheureusement freiné par le fameux et lamentable épisode qui faillit indisposer et traumatiser à jamais nos frères Chrétiens lors de sa rencontre avec les enseignants libéraux au Cices) pour se positionner et se démarquer des plus radicaux et des plus intolérants. .Aujourd’hui il s’insurge contre AL Qaydda au Maghreb pour encore marquer des points précieux pour et dans le décompte final. Même le sang de son ami Kadhafi passe pour une offrande à l’autel des intérêts français, des intérêts du monde occidental dont le soutien et la compréhension sont de mises pour un Nobel. Que dire maintenant de la fameuse théorie sur le droit d’ingérence humanitaire ou sécuritaire ! je donne volontiers ma langue au chat.
Un Prix Nobel vaut ici beaucoup de manœuvres et de torsions diplomatiques et parfois même des renoncements douloureux comme le sacrifice des cadres Sénégalais à la tête des institutions internationales. Cet empressement à montrer une disponibilité et un attachement au consensus ne trompe plus personne, mieux d’autres en tirent profit. De Dakar, l’ouest africain a fini d’élire domicile à Ouaga pour laver, chaque fois que besoin se fait sentir, son linge sale. Depuis lors, Compaoré jubile et prend un malin plaisir à couper l’herbe sous les pieds d’un Wade que la baraka semble quitté jour après jour. Le Togo, le Niger, la Côte d’Ivoire et la Guinée - chacun en ce qui le concernait à un moment crucial de son existence – étaient partis régler leurs affaires internes sous l’œil « éclairé » d’un Compaoré devenu par la force des choses incontournable dans le règlement des conflits sous - régionaux au grand damne d’un Wade complètement abasourdi. Peut-être que Gadio (longtemps le meilleur Ministre des Affaires Etrangères de tous les temps selon Sa Majesté infaillible) a payé en son temps pour cela, en plus du fait que Monsieur le Président n’a jamais encore eu – par ses entreprises - ses entrées fracassantes à la Maison Blanche où tout ce décide.
Pourtant chers compatriotes, il y a certainement une vie après le pouvoir et même hors des rouages de ce même pouvoir. Sinon, des hommes et des femmes comme Desmond Tutu ne marqueraient en rien l’histoire de l’humanité. Ils ont eu la reconnaissance de tous, de toute l’humanité pour leurs vertus supérieures ; en termes plus clairs, pour leur sens aigu du partage, du pardon, de la réconciliation mais surtout de renoncement. Parce que justement le seul exercice du pouvoir peut jouer des tours car se révélant très souvent le lit doré de toutes les dérives qui excluent certains hommes d’Etat des belles pages de l’histoire (Mobutu, Kadhafi, Gbagbo, Hitler…)
Que l’on ne désespère pas : la géopolitique mondiale a ses mystères et peut, à tout moment (bien qu’il ne lui reste que quelques 3 mois au pouvoir) trouver à notre cher Président une occasion infaillible de s’affirmer et de saisir à deux mains ce fameux trophée qui manque si cruellement à son riche et enviable palmarès. Ah ! Que les empêcheurs de tourner en rond comme Compaoré périssent à jamais. Amen !
AMADOU FALL Enseignant à GUINGUINEO
TEL : 775457544/766887279
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