On semble en effet, chercher encore à vouloir améliorer, réparer, bricoler ce qui existe et qui s’avère pourtant chaque jour toujours plus insuffisant et coûteux à la nation, alors qu’il s’agirait pour résoudre ces problèmes structurels, à oser innover, c’est-à-dire d’abord et surtout, donner à la SENELEC les moyens d’une nouvelle mission : celle de développer de façon rapide, massive et volontariste, au bénéfice des particuliers et des entreprises, l’usage de l’électricité solaire en premier lieu (puisque le Sénégal est l’un des pays les plus ensoleillé au monde,) et de l’électricité par l’éolien individualisé ensuite, (puisque toute la côte sénégalaise bénéficie une grande partie de l’année d’une brise maritime importante).
Les progrès réalisés ces dernières années dans ces technologies, l’existence sur le marché mondial de fournisseurs potentiels en concurrence, (Chinois, allemand, américains …) permettraient l’achat rapide et surtout en masse, donc à prix raisonnable, des matériels nécessaires dont une partie non négligeable de particuliers et d’entreprises disposant déjà de revenus réguliers pourraient très vite bénéficier ( notamment en s’acquittant s’ils le souhaitent sur plusieurs mois ou plusieurs années des frais d’achat, d’installation et d’entretien) .
Les fournisseurs de matériaux (panneaux solaires, batteries, éoliennes) pourraient aussi être intéressés à passer des contrats avec l’Etat pour faire fabriquer ces matériels au Sénégal, créant ainsi un bassin d’emplois et même intéressé à former sur quelques moins les techniciens sénégalais de la SENELEC aptes à réaliser dans les règles de l’art l’installation, l’entretien et la réparation des matériels. Ce qui serait un plus économique et social non négligeable.
Par ailleurs la dépense initiale, importante et à renouveler chaque année, restant remboursable sur plusieurs années à l’Etat, par les entreprises et les particuliers bénéficiaires, serait aussi en partie compensée par la diminution relative des importations de plus en plus couteuse de pétrole et aurait un autre bénéfice décisif à terme, celui de faire baisser sur le niveau de pollution de nos villes … et de diminuer ainsi les risques avérés des maladies respiratoires liées à cette pollution….
Mais je laisse aux économistes patentés, aux techniciens et aux écologistes le soin de défendre cette réforme….s’ils en ont le désir et si leur liens avec les partis en charge de la gestion du bien commun des habitants, les y conduisent.
Les progrès réalisés ces dernières années dans ces technologies, l’existence sur le marché mondial de fournisseurs potentiels en concurrence, (Chinois, allemand, américains …) permettraient l’achat rapide et surtout en masse, donc à prix raisonnable, des matériels nécessaires dont une partie non négligeable de particuliers et d’entreprises disposant déjà de revenus réguliers pourraient très vite bénéficier ( notamment en s’acquittant s’ils le souhaitent sur plusieurs mois ou plusieurs années des frais d’achat, d’installation et d’entretien) .
Les fournisseurs de matériaux (panneaux solaires, batteries, éoliennes) pourraient aussi être intéressés à passer des contrats avec l’Etat pour faire fabriquer ces matériels au Sénégal, créant ainsi un bassin d’emplois et même intéressé à former sur quelques moins les techniciens sénégalais de la SENELEC aptes à réaliser dans les règles de l’art l’installation, l’entretien et la réparation des matériels. Ce qui serait un plus économique et social non négligeable.
Par ailleurs la dépense initiale, importante et à renouveler chaque année, restant remboursable sur plusieurs années à l’Etat, par les entreprises et les particuliers bénéficiaires, serait aussi en partie compensée par la diminution relative des importations de plus en plus couteuse de pétrole et aurait un autre bénéfice décisif à terme, celui de faire baisser sur le niveau de pollution de nos villes … et de diminuer ainsi les risques avérés des maladies respiratoires liées à cette pollution….
Mais je laisse aux économistes patentés, aux techniciens et aux écologistes le soin de défendre cette réforme….s’ils en ont le désir et si leur liens avec les partis en charge de la gestion du bien commun des habitants, les y conduisent.
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