Les pays en développement francophones qui participent au processus de négociations et parties prenantes de la mise en œuvre de l’Accord de Paris ont souhaité un appui technique et le partage d’expériences entre pays, dans le cadre d’ateliers régionaux regroupant les différents acteurs nationaux impliqués dans le processus de mise en œuvre des CPDN. Selon une note remise à la presse, c’est à cet effet, que l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), à travers son organe subsidiaire l’Institut de la Francophonie pour le Développement Durable (IFDD), avec le Soutien d’Environnement Canada a pris l’initiative d’organiser à Dakar, un atelier régional sur «les lignes directrices pour la mise en œuvre des CDN dans le cadre d’un processus national inclusif et multi-acteurs», organisé en partenariat avec le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable du Sénégal (MEDD) et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
Une rencontre pour travailler sur les approches méthodologiques permettant une transition réussie des CPDNs vers les CDNs.
Le secrétaire général du ministère de l’environnement et du développement durable, Ramatoulaye Ndiaye a lors de l’ouverture souligné que la préparation des CPDN/CDN n’a pas été une tâche facile avec, des contraintes considérables aussi le ministre de prôner donc à l’heure de cheminer vers la réactualisation des CPDN en CDN, « une meilleure prise en charge de ces problématiques ».
D’autant plus que les CDN assurera t’elle, constituent incontestablement un cadre favorable au relèvement des ambitions. « Elles seront aussi déterminantes dans l’accès aux financements et pour la mise en œuvre de la transition vers un développement résilient et sobre en carbone. Elles restent, sous le nouveau régime climatique, un mécanisme d’orientations et d’affinement des politiques d’adaptation, d’atténuation et de déploiement des énergies renouvelables, en particulier dans les pays africains ».
« Les CDN sont une opportunité pour les États africains de renforcer leur action climatique et de mettre en cohérence l’agenda climat avec les agendas politiques préexistants, comme celui du développement et des Objectifs de Développement Durable » a ajouté le SG, notant que l’atelier de Dakar pour les pays africains francophones, revêt donc une importance toute particulière notamment pour la mise en cohérence dans les lignes directrices qui devront guider l’élaboration des CDN.
Une bonne maitrise des concepts, des enjeux et de la portée de la Contribution Déterminée au niveau National (CDN) sont donc nécessaires pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris et ainsi augmenter son niveau d’ambition a dit pour sa part Jean pierre Ndoutoum directeur de l'IFDD (institut de la francophonie pour le développement durable). Il a en outre émis le souhait que cette rencontre de deux jours soit un cadre de partage d’expériences entre pays francophones de la région, de sorte que ceux qui sont plus avancés dans ce processus inspirent les autres pays et dégager ensemble des pistes de coopération.
Une rencontre pour travailler sur les approches méthodologiques permettant une transition réussie des CPDNs vers les CDNs.
Le secrétaire général du ministère de l’environnement et du développement durable, Ramatoulaye Ndiaye a lors de l’ouverture souligné que la préparation des CPDN/CDN n’a pas été une tâche facile avec, des contraintes considérables aussi le ministre de prôner donc à l’heure de cheminer vers la réactualisation des CPDN en CDN, « une meilleure prise en charge de ces problématiques ».
D’autant plus que les CDN assurera t’elle, constituent incontestablement un cadre favorable au relèvement des ambitions. « Elles seront aussi déterminantes dans l’accès aux financements et pour la mise en œuvre de la transition vers un développement résilient et sobre en carbone. Elles restent, sous le nouveau régime climatique, un mécanisme d’orientations et d’affinement des politiques d’adaptation, d’atténuation et de déploiement des énergies renouvelables, en particulier dans les pays africains ».
« Les CDN sont une opportunité pour les États africains de renforcer leur action climatique et de mettre en cohérence l’agenda climat avec les agendas politiques préexistants, comme celui du développement et des Objectifs de Développement Durable » a ajouté le SG, notant que l’atelier de Dakar pour les pays africains francophones, revêt donc une importance toute particulière notamment pour la mise en cohérence dans les lignes directrices qui devront guider l’élaboration des CDN.
Une bonne maitrise des concepts, des enjeux et de la portée de la Contribution Déterminée au niveau National (CDN) sont donc nécessaires pour atteindre les objectifs de l’Accord de Paris et ainsi augmenter son niveau d’ambition a dit pour sa part Jean pierre Ndoutoum directeur de l'IFDD (institut de la francophonie pour le développement durable). Il a en outre émis le souhait que cette rencontre de deux jours soit un cadre de partage d’expériences entre pays francophones de la région, de sorte que ceux qui sont plus avancés dans ce processus inspirent les autres pays et dégager ensemble des pistes de coopération.