Le secteur créatif africain déborde de talents et d'innovations, mais des inégalités entre les sexes empêchent souvent les jeunes femmes de réaliser leur plein potentiel. Pour s'attaquer à ce problème, le Laboratoire de Recherches Économiques et Monétaires (LAREM) de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar et l'Institut Supérieur des Arts et des Cultures (ISAC) lancent le projet "Behind the Scenes", coordonné par l'International Center of Research on Women (ICRW).
Ce projet ambitieux, soutenu par la Fondation Mastercard, vise à identifier et à surmonter les obstacles qui limitent la participation des jeunes femmes dans le secteur créatif africain. Couvrant sept pays - le Kenya, l'Éthiopie, le Ghana, le Nigeria, le Rwanda, le Sénégal et l'Ouganda - le projet repose sur une approche collaborative impliquant des experts de haut niveau, des jeunes chercheurs, et des partenaires clés.
Au Sénégal, le LAREM et l'ISAC joueront un rôle central dans la mise en œuvre du projet. Ils travailleront en étroite collaboration avec un Comité Consultatif National (CCN) composé de jeunes créatifs, d'associations professionnelles, de responsables gouvernementaux et d'acteurs de l'industrie créative. Ce comité veillera à ce que le projet reste aligné sur les besoins et les réalités locales.
Le projet a récemment recruté 13 jeunes chercheurs, dont 10 sont des femmes et un vit avec un handicap. Cette équipe diversifiée apporte des compétences en recherche, en études de genre et en analyse culturelle, garantissant ainsi une approche globale pour atteindre les objectifs du projet.
Venue représenter le ministre, secrétaire d’État à la culture, à l’aide créative et au patrimoine culturel, à l’occasion de la cérémonie de lancement de ce projet qui s’est déroulé aujourd’hui, la directrice des arts, Mme Khoudia Diagne, a marqué autant d’importance à ce rendez-vous qu’elle juge historique.
« Nous savons aujourd’hui tout ce que l’industrie créative apporte dans les pays et il est important aujourd’hui qu’au niveau du Sénégal où il y a beaucoup de créativité, et beaucoup de contenus que nous arrivons à estimer, de voir ce que réellement ce secteur apporte dans l’économie donc c’est pour ça que nous accueillons vraiment avec plaisir ce projet, qui, au-delà de chercher réellement l’impact de ce que fait la femme dans le secteur des ICC, mais aussi de ce que font les acteurs culturels en général.
Ce sera une grande première car des esquisses d’études ont été menées, mais celle-là vraiment, permettra de quantifier la valeur de l’économie créative. C’est une première et nous sommes preneur et je le disais tout à l’heure le ministère de la culture est prêt à accompagner cette initiative là et apporter tout le soutien nécessaire pour sa réussite », assure la directrice...
Ce projet ambitieux, soutenu par la Fondation Mastercard, vise à identifier et à surmonter les obstacles qui limitent la participation des jeunes femmes dans le secteur créatif africain. Couvrant sept pays - le Kenya, l'Éthiopie, le Ghana, le Nigeria, le Rwanda, le Sénégal et l'Ouganda - le projet repose sur une approche collaborative impliquant des experts de haut niveau, des jeunes chercheurs, et des partenaires clés.
Au Sénégal, le LAREM et l'ISAC joueront un rôle central dans la mise en œuvre du projet. Ils travailleront en étroite collaboration avec un Comité Consultatif National (CCN) composé de jeunes créatifs, d'associations professionnelles, de responsables gouvernementaux et d'acteurs de l'industrie créative. Ce comité veillera à ce que le projet reste aligné sur les besoins et les réalités locales.
Le projet a récemment recruté 13 jeunes chercheurs, dont 10 sont des femmes et un vit avec un handicap. Cette équipe diversifiée apporte des compétences en recherche, en études de genre et en analyse culturelle, garantissant ainsi une approche globale pour atteindre les objectifs du projet.
Venue représenter le ministre, secrétaire d’État à la culture, à l’aide créative et au patrimoine culturel, à l’occasion de la cérémonie de lancement de ce projet qui s’est déroulé aujourd’hui, la directrice des arts, Mme Khoudia Diagne, a marqué autant d’importance à ce rendez-vous qu’elle juge historique.
« Nous savons aujourd’hui tout ce que l’industrie créative apporte dans les pays et il est important aujourd’hui qu’au niveau du Sénégal où il y a beaucoup de créativité, et beaucoup de contenus que nous arrivons à estimer, de voir ce que réellement ce secteur apporte dans l’économie donc c’est pour ça que nous accueillons vraiment avec plaisir ce projet, qui, au-delà de chercher réellement l’impact de ce que fait la femme dans le secteur des ICC, mais aussi de ce que font les acteurs culturels en général.
Ce sera une grande première car des esquisses d’études ont été menées, mais celle-là vraiment, permettra de quantifier la valeur de l’économie créative. C’est une première et nous sommes preneur et je le disais tout à l’heure le ministère de la culture est prêt à accompagner cette initiative là et apporter tout le soutien nécessaire pour sa réussite », assure la directrice...