Le gouvernement du Sénégal a vidé tout le passif des arrêtés relatifs aux examens professionnels, des décisions de nomination, des arrêtés de catégorisation des établissements. Il s'agit pour cette rencontre du 16 Juillet, de 21 arrêtés dont 2783 enseignants bénéficiaires. S'y ajoutent 26 arrêtés signés le 30 mai qui impactent principalement 4030 enseignants. Au total 47 arrêtés signés par le ministre Moustapha Guirassy pour 6813 enseignants bénéficiaires, 100 jours après sa nomination. De plus, 145 décisions de nomination ont été aussi signées pour 2890 enseignants bénéficiaires, trois (3) actes de régularisation d'indemnités compensatoires de surcharge horaire pour 100 bénéficiaires et deux (2) arrêtés de catégorisation des établissements.
"Nous sommes très satisfaits du respect de cet engagement qui est de vider tout ce passif qui est extrêmement important pour la carrière des enseignants", a déclaré le ministre de l'éducation nationale qui estime par ailleurs qu'il y a beaucoup d'autres chantiers qui restent. Ainsi, il précise que, "l'engagement que nous avons encore pris, c'est que très vite que nous passions à une dématérialisation et une digitalisation des processus pour que les enseignants ne puissent plus rencontrer certaines difficultés qui impactent négativement leur carrière", a-t-il dit. Mardi lors de la cérémonie de présentation des arrêtés et décision de nomination aux syndicats.
Ainsi, dira-t-il, "nous appelons les syndicats ici représentés, nous appelons les différents acteurs de la société civile, les partenaires techniques financiers à œuvrer pour mettre l'enseignant au cœur du processus de transformation. C'est extrêmement important. Sinon nous ne pourrons pas avancer", a lancé le ministre estimant que la rupture et la transformation que veut le nouveau gouvernement passeront forcément par l'école. Et, poursuit-il, "cette école est entre les mains de l'enseignement donc les enjeux sont de taille. La carrière de l'enseignant devient de plus en plus sacrée", a fait valoir Moustapha Guirassy. "Nous allons faire un clin d'œil au ministre de l'urbanisme. Nous comptons former une délégation avec le syndicat et le ministère pour aller le rencontrer et pour poser la question du logement parce que c'est lié à la motivation. Il y a beaucoup de départs à partir de certaines zones surtout de la périphérie et si dans le programme de logement de l'État nous arrivons à négocier avec le collègue en question pour prendre en charge ces dimensions-là nous réglerons une bonne partie des problèmes, des enseignants, des problèmes de l'école", a promis le ministre de l'éducation pour mieux accompagner l'école qui est au cœur du processus de transformation.
"Nous sommes très satisfaits du respect de cet engagement qui est de vider tout ce passif qui est extrêmement important pour la carrière des enseignants", a déclaré le ministre de l'éducation nationale qui estime par ailleurs qu'il y a beaucoup d'autres chantiers qui restent. Ainsi, il précise que, "l'engagement que nous avons encore pris, c'est que très vite que nous passions à une dématérialisation et une digitalisation des processus pour que les enseignants ne puissent plus rencontrer certaines difficultés qui impactent négativement leur carrière", a-t-il dit. Mardi lors de la cérémonie de présentation des arrêtés et décision de nomination aux syndicats.
Ainsi, dira-t-il, "nous appelons les syndicats ici représentés, nous appelons les différents acteurs de la société civile, les partenaires techniques financiers à œuvrer pour mettre l'enseignant au cœur du processus de transformation. C'est extrêmement important. Sinon nous ne pourrons pas avancer", a lancé le ministre estimant que la rupture et la transformation que veut le nouveau gouvernement passeront forcément par l'école. Et, poursuit-il, "cette école est entre les mains de l'enseignement donc les enjeux sont de taille. La carrière de l'enseignant devient de plus en plus sacrée", a fait valoir Moustapha Guirassy. "Nous allons faire un clin d'œil au ministre de l'urbanisme. Nous comptons former une délégation avec le syndicat et le ministère pour aller le rencontrer et pour poser la question du logement parce que c'est lié à la motivation. Il y a beaucoup de départs à partir de certaines zones surtout de la périphérie et si dans le programme de logement de l'État nous arrivons à négocier avec le collègue en question pour prendre en charge ces dimensions-là nous réglerons une bonne partie des problèmes, des enseignants, des problèmes de l'école", a promis le ministre de l'éducation pour mieux accompagner l'école qui est au cœur du processus de transformation.