Drogue au sein de la police ? Oui mais pas uniquement !
Je vais saisir la balle au rebond pour mettre à nouveau les pieds dans le plat !
Une affaire de drogue secoue actuellement notre police nationale comme a pu le constater tout un chacun. Mais il n’y a pas que la drogue ! Je dispose d’éléments probants indiquant que notre police, notre justice (par le biais de l’ancien procureur Ousmane Diagne) et l’État du Sénégal (à travers la personne du président Abdoulaye Wade) – bref, l’ensemble de l’appareil d’État – se sont employés à protéger (et peut-être même promouvoir) des réseaux de prostitution.
Tout le monde a en souvenir que le commissaire Arona Sy avait fait une prise de 200 millions sur un gang d’agresseurs peu avant les dernières élections présidentielles (2012) et s’était alors exprimé à la télévision en se plaignant du fait que les populations se terrait dans le silence quand elles étaient témoins ou avaient des soupçons d’activités illicites plutôt que de dénoncer les faits et de les porter à la connaissance des autorités policières afin qu’elles puissent les poursuivre.
Comment s’explique par suite le fait qu’ayant personnellement dénoncé, par voie de justice, et en apportant des éléments de preuve, l’existence présumée de réseaux de prostitution s’employant à recruter y compris parmi les femmes mariées le commissaire Arona Sy, notre justice à travers le procureur de la République d’alors (M. Ousmane Diagne) et l’État du Sénégal (à travers cette fois la personne de son ancien président Monsieur Abdoulaye Wade) n’ait rien trouvé de mieux à faire que de tenter de m’intimider et de me contraindre au silence ?
Arona Sy qui pourtant se plaignait à la télévision du silence des populations face aux délits divers ou supposés dont elles étaient témoins dans l’espace social a subitement oublié qu’il les avait publiquement invitées à dénoncer toute activité suspecte et a émis la note de service n° 593/SU du 9 juillet 2011 à mon intention pour me faire taire.
Et sa réaction faisait suite à l’ampliation au président Wade – en date du 11 juillet 2011 – de la lettre datée du même jour que j’adressais au procureur Ousmane Diagne dans la cadre d’une affaire de proxénétisme et coups et blessures pour laquelle j’avais déposé plainte. Le parquet a alors émis le soit-transmis n° 6028 du même jour (11/07/2011) adressé au commissaire central pour qu’il m’intimide donc et me contraigne au silence. La boucle est ainsi bouclée : présidence, parquet, commissariat central !
Ce qui achève de prouver aux yeux de l’observateur perspicace que l’appareil d’État était sous Wade mis à contribution pour protéger les délinquants et réseaux mafieux contre les honnêtes citoyens.
Je m’en suis offusqué auprès du président Wade dans le courrier daté du 7 septembre 2011, après un rappel des faits ci-dessus exposés, dans les termes suivants :
« J’en [des faits précédemment exposés] conclut donc logiquement que la police nationale sénégalaise, contrairement à la mission qui est la sienne, protège et encourage la délinquance et les délinquants. »
J’ai également dénoncé à travers deux articles parus dans la presse (Walf-Grand Place et Libération) l’implication négative de hautes personnalités de l’appareil d’État - ce par quoi il faut entendre l’ancien procureur Ousmane Diagne, le commissaire Mbaye Séye de Dieuppeul , les commandants Kandji et Sanokho qui ont servi ou servent toujours à la brigade de la Foire – dans la protection desdits réseaux. Protection qui s’est faite en recourant à la falsification de pv d’audition sur ordre du procureur d’alors M. Ousmane Diagne dont tout le monde aura observé que le Tribunal de Dakar aura été victime d’un incendie peu avant son départ du Parquet et d’un vol d’ordinateurs peu après la seconde alternance et donc le départ de Wade !
Dans le même temps, le parquet ne donnait aucune suite à mes plaintes pour proxénétisme et coups et blessures ; et ce malgré les éléments de preuve que je lui avait fourni.
Tous ces faits attestent de la dégradation avancée de nos institutions dont l’action a sous Wade été dévoyée et détournée pour servir le mal et ses suppôts !
Alors oui ! Le recyclage de la drogue sévit dans notre police, mais il n’y a pas que cela ! Il faut ajouter la protection de réseaux de prostitution et de ceux qui les entretiennent (proxénètes) par l’institution précitée donc mais également par le représentant d’alors du Ministère public au Tribunal (M. le Procureur Ousmane Diagne) et l’ancien chef de l’État, le Président Abdoulaye Wade !
Je fournis ci-jointes les copies des différents courriers assorties de leurs tampons et invite mes compatriotes sénégalais à se mobiliser pour dire non à l’immoralité et à l’instrumentalisation de nos institutions pour servir le grand banditisme !
Mobilisons-nous pour demander des poursuites et sanctions contre ceux qui ont fauté dans l’exercice de leurs fonctions ainsi que les changements appropriés dans le fonctionnement de nos institutions !
Dr Papa Gora Demba Thiam
thiampapagora@yahoo.fr
Je vais saisir la balle au rebond pour mettre à nouveau les pieds dans le plat !
Une affaire de drogue secoue actuellement notre police nationale comme a pu le constater tout un chacun. Mais il n’y a pas que la drogue ! Je dispose d’éléments probants indiquant que notre police, notre justice (par le biais de l’ancien procureur Ousmane Diagne) et l’État du Sénégal (à travers la personne du président Abdoulaye Wade) – bref, l’ensemble de l’appareil d’État – se sont employés à protéger (et peut-être même promouvoir) des réseaux de prostitution.
Tout le monde a en souvenir que le commissaire Arona Sy avait fait une prise de 200 millions sur un gang d’agresseurs peu avant les dernières élections présidentielles (2012) et s’était alors exprimé à la télévision en se plaignant du fait que les populations se terrait dans le silence quand elles étaient témoins ou avaient des soupçons d’activités illicites plutôt que de dénoncer les faits et de les porter à la connaissance des autorités policières afin qu’elles puissent les poursuivre.
Comment s’explique par suite le fait qu’ayant personnellement dénoncé, par voie de justice, et en apportant des éléments de preuve, l’existence présumée de réseaux de prostitution s’employant à recruter y compris parmi les femmes mariées le commissaire Arona Sy, notre justice à travers le procureur de la République d’alors (M. Ousmane Diagne) et l’État du Sénégal (à travers cette fois la personne de son ancien président Monsieur Abdoulaye Wade) n’ait rien trouvé de mieux à faire que de tenter de m’intimider et de me contraindre au silence ?
Arona Sy qui pourtant se plaignait à la télévision du silence des populations face aux délits divers ou supposés dont elles étaient témoins dans l’espace social a subitement oublié qu’il les avait publiquement invitées à dénoncer toute activité suspecte et a émis la note de service n° 593/SU du 9 juillet 2011 à mon intention pour me faire taire.
Et sa réaction faisait suite à l’ampliation au président Wade – en date du 11 juillet 2011 – de la lettre datée du même jour que j’adressais au procureur Ousmane Diagne dans la cadre d’une affaire de proxénétisme et coups et blessures pour laquelle j’avais déposé plainte. Le parquet a alors émis le soit-transmis n° 6028 du même jour (11/07/2011) adressé au commissaire central pour qu’il m’intimide donc et me contraigne au silence. La boucle est ainsi bouclée : présidence, parquet, commissariat central !
Ce qui achève de prouver aux yeux de l’observateur perspicace que l’appareil d’État était sous Wade mis à contribution pour protéger les délinquants et réseaux mafieux contre les honnêtes citoyens.
Je m’en suis offusqué auprès du président Wade dans le courrier daté du 7 septembre 2011, après un rappel des faits ci-dessus exposés, dans les termes suivants :
« J’en [des faits précédemment exposés] conclut donc logiquement que la police nationale sénégalaise, contrairement à la mission qui est la sienne, protège et encourage la délinquance et les délinquants. »
J’ai également dénoncé à travers deux articles parus dans la presse (Walf-Grand Place et Libération) l’implication négative de hautes personnalités de l’appareil d’État - ce par quoi il faut entendre l’ancien procureur Ousmane Diagne, le commissaire Mbaye Séye de Dieuppeul , les commandants Kandji et Sanokho qui ont servi ou servent toujours à la brigade de la Foire – dans la protection desdits réseaux. Protection qui s’est faite en recourant à la falsification de pv d’audition sur ordre du procureur d’alors M. Ousmane Diagne dont tout le monde aura observé que le Tribunal de Dakar aura été victime d’un incendie peu avant son départ du Parquet et d’un vol d’ordinateurs peu après la seconde alternance et donc le départ de Wade !
Dans le même temps, le parquet ne donnait aucune suite à mes plaintes pour proxénétisme et coups et blessures ; et ce malgré les éléments de preuve que je lui avait fourni.
Tous ces faits attestent de la dégradation avancée de nos institutions dont l’action a sous Wade été dévoyée et détournée pour servir le mal et ses suppôts !
Alors oui ! Le recyclage de la drogue sévit dans notre police, mais il n’y a pas que cela ! Il faut ajouter la protection de réseaux de prostitution et de ceux qui les entretiennent (proxénètes) par l’institution précitée donc mais également par le représentant d’alors du Ministère public au Tribunal (M. le Procureur Ousmane Diagne) et l’ancien chef de l’État, le Président Abdoulaye Wade !
Je fournis ci-jointes les copies des différents courriers assorties de leurs tampons et invite mes compatriotes sénégalais à se mobiliser pour dire non à l’immoralité et à l’instrumentalisation de nos institutions pour servir le grand banditisme !
Mobilisons-nous pour demander des poursuites et sanctions contre ceux qui ont fauté dans l’exercice de leurs fonctions ainsi que les changements appropriés dans le fonctionnement de nos institutions !
Dr Papa Gora Demba Thiam
thiampapagora@yahoo.fr