Le président élu américain Donald Trump a choisi Twitter pour sa première réaction à la mort du père de la Révolution cubaine Fidel Castro, sans évoquer ses réserves face au réchauffement historique des relations entre Washington et La Havane.
« Fidel Castro est mort ! », a-t-il écrit laconique sur le réseau social, sa plateforme de communication favorite, peu après 8 heures, heure locale en Floride (15 heures, heure française), où il passe en famille le week-end prolongé de Thanksgiving.
Dans un second temps, Trump a fait savoir que Castro était « un dictateur brutal qui a opprimé son propre peuple » et qu’il fera « tout » pour contribuer à la liberté du peuple cubain.
Cuba est engagée dans un dégel historique avec les Etats-Unis depuis fin 2014, mais Donald Trump a affiché des réserves sur ce rapprochement, affirmant qu’il ferait « tout pour obtenir un accord solide » avec La Havane.
Le magnat de l’immobilier, qui prendra ses fonctions le 20 janvier 2017, a également déclaré qu’il était pour l’instant opposé à la suppression de l’embargo financier et commercial imposé à l’île depuis 1962. Sa levée dépend du Congrès qui, contrôlé par les Républicains, y est opposé.
« Toutes les concessions que Barack Obama a faites au régime de Castro l’ont été à travers des ordonnances présidentielles, ce qui signifie que le prochain président peut revenir dessus et je le ferai sauf si le régime de Castro répond à nos demandes, pas mes demandes, nos demandes », avait déclaré Donald Trump en septembre lors d’un discours de campagne, avant l’élection du 8 novembre qui lui a donné la victoire. « Vous savez ce que sont ces demandes. Ces demandes porteront sur les libertés religieuses et politiques pour le peuple cubain et la libération des prisonniers politiques », avait ajouté le républicain.
« Fidel Castro est mort ! », a-t-il écrit laconique sur le réseau social, sa plateforme de communication favorite, peu après 8 heures, heure locale en Floride (15 heures, heure française), où il passe en famille le week-end prolongé de Thanksgiving.
Dans un second temps, Trump a fait savoir que Castro était « un dictateur brutal qui a opprimé son propre peuple » et qu’il fera « tout » pour contribuer à la liberté du peuple cubain.
Cuba est engagée dans un dégel historique avec les Etats-Unis depuis fin 2014, mais Donald Trump a affiché des réserves sur ce rapprochement, affirmant qu’il ferait « tout pour obtenir un accord solide » avec La Havane.
Le magnat de l’immobilier, qui prendra ses fonctions le 20 janvier 2017, a également déclaré qu’il était pour l’instant opposé à la suppression de l’embargo financier et commercial imposé à l’île depuis 1962. Sa levée dépend du Congrès qui, contrôlé par les Républicains, y est opposé.
« Toutes les concessions que Barack Obama a faites au régime de Castro l’ont été à travers des ordonnances présidentielles, ce qui signifie que le prochain président peut revenir dessus et je le ferai sauf si le régime de Castro répond à nos demandes, pas mes demandes, nos demandes », avait déclaré Donald Trump en septembre lors d’un discours de campagne, avant l’élection du 8 novembre qui lui a donné la victoire. « Vous savez ce que sont ces demandes. Ces demandes porteront sur les libertés religieuses et politiques pour le peuple cubain et la libération des prisonniers politiques », avait ajouté le républicain.