Même s’il y a d’un côté ceux qui approuvent le dialogue national sur la justice convoqué par le Chef de l’État et son Premier ministre ce 28 mai, il faut aussi savoir qu’il y en a qui le décrient. Parmi lesquels, figure le Président du Bloc National des Démocrates / Xel ak Koom, Dr Cheikh Tidiane Seck qui a fondu d’un communiqué reçu à Dakaractu. Le libéral lève un paradoxe sur cet appel à une concertation nationale sur des réformes judiciaires.
« Il est étonnant de voir les plus grands pourfendeurs de la justice et de l’État de droit, que sont le Président Faye et son Premier Ministre, qui ont tous les deux injurié et défié la justice de notre République, être les acteurs de cette foire de l’hypocrisie pompeusement appelée Dialogue National. Ce sont des repris de justice (accusés ou condamnés de graves crimes) qui vont décider de l’avenir de notre justice. Forfait ne peut être plus grand et plus dangereux pour la démocratie sénégalaise. La seule reforme dont la justice a besoin est d’être libérée de la mainmise du politique sur le judiciaire », a indiqué le Dr Seck. Le responsable politique poursuit en fondant sa logique sur des faits couverts du manteau de l’impunité.
« L’ancien Président s’est ligué avec l’actuel pour tordre le cou à l’État de droit en avalisant la loi d’amnistie du 13 février 2024 qui est un exemple de légalisation de l’impunité. Il en est de même ‘’des forts soupçons de corruption de certains membres du Conseil Constitutionnel’’ qui sont en passe d’être noyés dans la masse des reformes de la justice. Le seul et unique objectif de ce dialogue qui grèvera le budget national, est de transformer le Conseil Constitutionnel en Cour Constitutionnelle; deal déjà négocié entre hommes politiques qui ont soutenu la coalition Diomaye Président. Preuve, si besoin en était, que la justice demeure sous le joug du politique. », a déclaré Cheikh Tidiane Seck qui propose une justice libre au Sénégal comme dans tout état de droit.
« La seule proposition que je fais à ce pseudo dialogue est de laisser la justice à elle-même pour qu’elle se modernise et qu’elle s’applique les changements nécessaires pour regagner la confiance des sénégalais », a-t-il souligné. Au préalable, le libéral estime que le Sénégal est véritablement à un tournant décisif de son histoire politique où la justice devrait être l’arbitre incontestable et certainement incontesté dans un État de droit.
« Son fonctionnement ne devrait pas souffrir des caprices de nouveaux dirigeants immatures. La justice est universelle, anonyme, impersonnelle et générale », fera remarquer le président du BND / Xel ak Koom, Cheikh Tidiane Seck.
« Il est étonnant de voir les plus grands pourfendeurs de la justice et de l’État de droit, que sont le Président Faye et son Premier Ministre, qui ont tous les deux injurié et défié la justice de notre République, être les acteurs de cette foire de l’hypocrisie pompeusement appelée Dialogue National. Ce sont des repris de justice (accusés ou condamnés de graves crimes) qui vont décider de l’avenir de notre justice. Forfait ne peut être plus grand et plus dangereux pour la démocratie sénégalaise. La seule reforme dont la justice a besoin est d’être libérée de la mainmise du politique sur le judiciaire », a indiqué le Dr Seck. Le responsable politique poursuit en fondant sa logique sur des faits couverts du manteau de l’impunité.
« L’ancien Président s’est ligué avec l’actuel pour tordre le cou à l’État de droit en avalisant la loi d’amnistie du 13 février 2024 qui est un exemple de légalisation de l’impunité. Il en est de même ‘’des forts soupçons de corruption de certains membres du Conseil Constitutionnel’’ qui sont en passe d’être noyés dans la masse des reformes de la justice. Le seul et unique objectif de ce dialogue qui grèvera le budget national, est de transformer le Conseil Constitutionnel en Cour Constitutionnelle; deal déjà négocié entre hommes politiques qui ont soutenu la coalition Diomaye Président. Preuve, si besoin en était, que la justice demeure sous le joug du politique. », a déclaré Cheikh Tidiane Seck qui propose une justice libre au Sénégal comme dans tout état de droit.
« La seule proposition que je fais à ce pseudo dialogue est de laisser la justice à elle-même pour qu’elle se modernise et qu’elle s’applique les changements nécessaires pour regagner la confiance des sénégalais », a-t-il souligné. Au préalable, le libéral estime que le Sénégal est véritablement à un tournant décisif de son histoire politique où la justice devrait être l’arbitre incontestable et certainement incontesté dans un État de droit.
« Son fonctionnement ne devrait pas souffrir des caprices de nouveaux dirigeants immatures. La justice est universelle, anonyme, impersonnelle et générale », fera remarquer le président du BND / Xel ak Koom, Cheikh Tidiane Seck.