A l’image du premier match, avec l’incursion du président Macky Sall dans les vestiaires, la zone mixte a tardé à recevoir ses clients. Têtes baissées, le moral dans les chaussettes, la plupart des joueurs ont refusé de parler à la presse, nationale comme internationale. Kara Mbodj ouvre le défilé des sourds-muets. « Souma wakhé dou bakh, bayi léne ma dem », souffle Diafra Sakho.
Soit le même phrasé lancé par le défenseur de Anderlecht. Sans surprise, Idrissa Gana Guèye continue son boycott depuis le début de la phase finale. « La presse m’a assez attaqué, je ne donnerai rien », assène le milieu défensif d’Everton.
30 minutes plus tard, Mbaye Niang et Youssou Sabaly, le genou bandé, s’excusent de ne pouvoir réagir. « Gay yi bal lène ma d », signale ensuite Sadio Mané.
« La tristesse se lit sur les visages. Personne ne veut parler. Qu’on le dise ou pas, c’est très dur », tempère Cheikh Ndoye, milieu de terrain.
Les fédéraux, tout comme le ministre des Sports Matar Ba, évitent également la zone mixte. Comme le reste de la troupe, ils passent par une autre porte.
Soit le même phrasé lancé par le défenseur de Anderlecht. Sans surprise, Idrissa Gana Guèye continue son boycott depuis le début de la phase finale. « La presse m’a assez attaqué, je ne donnerai rien », assène le milieu défensif d’Everton.
30 minutes plus tard, Mbaye Niang et Youssou Sabaly, le genou bandé, s’excusent de ne pouvoir réagir. « Gay yi bal lène ma d », signale ensuite Sadio Mané.
« La tristesse se lit sur les visages. Personne ne veut parler. Qu’on le dise ou pas, c’est très dur », tempère Cheikh Ndoye, milieu de terrain.
Les fédéraux, tout comme le ministre des Sports Matar Ba, évitent également la zone mixte. Comme le reste de la troupe, ils passent par une autre porte.