Au delà de son aspect misérabiliste, l’Afrique est un continent qui regorge de ressources humaines et naturelles suffisantes pour son développement et pour le bien-être de ses populations. Comment améliorer sa condition actuelle, telle est la préoccupation de ses décideurs et gouvernants. L’association panafricaine Africa femmes Performantes (AFP) regroupant les femmes leaders de 16 pays africain, veut apporter une solution à travers le dynamisme de son réseau. Elles sont issues de tous les secteurs d’activités et affichent divers expériences : Juristes, fonctionnaires internationales, businesswomen, écrivaines, anciennes ministres, présidentes d’ONG, etc . Elles sont réunies à Abidjan depuis le 26 novembre dernier à l’occasion du 6 ème congrès international de la femme africaine sous le thème : la femme africaine face au défi de la paix, du développement durable et de la coopération Sud-Sud.
Mode alternatif de gestion des conflits en entreprises, gestion de l’entreprise axée sur les normes OHADA et l’initiation à l’environnement industriel, tels sont les thèmes des formations qui ont permis à ces femmes de renforcer leurs capacités à travers des formateurs de renom dont le professeur Tahiri Mohammed, président de la chaire de l’innovation à l’Université Hassan 2 de Casablanca. L’Edition de cette année veut surtout mettre l’accent sur la coopération Sud Sud car L’AFP se veut un modèle en la matière, essentiellement entre pays africains. Ces femmes africaines leaders sont donc venues échanger leurs connaissances et bonnes pratiques et développer des réseaux d’affaires entre elles. ‘‘La coopération Sud sud est un puissant moteur de renforcement des capacités. Si elle est bien conçue et correctement mise en œuvre, elle peut s’avérer plus innovante et plus durable qu’une assistance technique Nord-Sud’’ explique Innocence N’tap N’diaye, ancienne ministre Sénégalaise du travail, présidente de l’ONG Réseau des femmes innocentes (RFI). Avec les connaissances acquises et les réseaux créés, les femmes AFP pourront contribuer aux changements qui ont lieux dans leurs nations respectives. ‘‘Actuellement, il y a une prise de conscience au niveau des africains. Les priorités des Etats aujourd’hui sont l’intégration régionale, la monnaie commune, la libre circulation des biens et des hommes, le développement économique et social des populations.
Les femmes ne veulent pas rester à l’écart, elles voudraient être impliquées dans cette révolution qui est en train de s’opérer en Afrique d’où l’existence d’Africa femmes performantes’’ justifie à son tour Marie Akono Atangane, présidente d’ONG au Cameroun.
L’AFP est dirigé par la femme d’affaire camerounaise Patricia Secke, résident aux Etats-Unis. Le congrès des femmes performantes est organisé selon un concept inédit de rendez-vous d’affaires englobant la formation professionnelle, les rencontres B2B et la valorisation du travail des femmes à l’échelle continental. Cette année l’invité d’honneur était la nigériane Regina Amadi Njoku, fonctionnaire international à la retraite et PDG de la société Gracefields multi options au Nigeria.
Marius Nouza
Mode alternatif de gestion des conflits en entreprises, gestion de l’entreprise axée sur les normes OHADA et l’initiation à l’environnement industriel, tels sont les thèmes des formations qui ont permis à ces femmes de renforcer leurs capacités à travers des formateurs de renom dont le professeur Tahiri Mohammed, président de la chaire de l’innovation à l’Université Hassan 2 de Casablanca. L’Edition de cette année veut surtout mettre l’accent sur la coopération Sud Sud car L’AFP se veut un modèle en la matière, essentiellement entre pays africains. Ces femmes africaines leaders sont donc venues échanger leurs connaissances et bonnes pratiques et développer des réseaux d’affaires entre elles. ‘‘La coopération Sud sud est un puissant moteur de renforcement des capacités. Si elle est bien conçue et correctement mise en œuvre, elle peut s’avérer plus innovante et plus durable qu’une assistance technique Nord-Sud’’ explique Innocence N’tap N’diaye, ancienne ministre Sénégalaise du travail, présidente de l’ONG Réseau des femmes innocentes (RFI). Avec les connaissances acquises et les réseaux créés, les femmes AFP pourront contribuer aux changements qui ont lieux dans leurs nations respectives. ‘‘Actuellement, il y a une prise de conscience au niveau des africains. Les priorités des Etats aujourd’hui sont l’intégration régionale, la monnaie commune, la libre circulation des biens et des hommes, le développement économique et social des populations.
Les femmes ne veulent pas rester à l’écart, elles voudraient être impliquées dans cette révolution qui est en train de s’opérer en Afrique d’où l’existence d’Africa femmes performantes’’ justifie à son tour Marie Akono Atangane, présidente d’ONG au Cameroun.
L’AFP est dirigé par la femme d’affaire camerounaise Patricia Secke, résident aux Etats-Unis. Le congrès des femmes performantes est organisé selon un concept inédit de rendez-vous d’affaires englobant la formation professionnelle, les rencontres B2B et la valorisation du travail des femmes à l’échelle continental. Cette année l’invité d’honneur était la nigériane Regina Amadi Njoku, fonctionnaire international à la retraite et PDG de la société Gracefields multi options au Nigeria.
Marius Nouza