Abdoul Aziz Ndiaye, ancien des industries chimiques du Sénégal a procédé à un déballage sur la gestion des ICS. Selon l'ancien employé de Senchim une filiale des ICS, depuis 2014 les ICS sont sous contrôle du groupe Indien "Indorama" qui possède une filiale en Inde pour les engrais ( Indorama India Private Limited). Le capital est ainsi repartie: Indorama 78%, gouvernement du Sénégal 15%, IFFCO 6.78%, gouvernement de l'Inde 0.22%, lit-on dans un document transmis à la presse.
Sur le plan financier, les ICS n'apportent rien au Sénégal. Les ICS ne paient ni d'impôts sur le revenu, ni TVA, ni droits de Douane, ni redevance minière. L'ics doit 200 milliards au Sénégal, révèle cet ancien employé qui a brandi un document.
Les membres du conseil national des dirigeants d'entreprises du Sénégal SN CNDES (INNOVATION-CROISSANCE) et du groupe secteur privé et développement ( GSPD), des membres des Industries Chimiques du Sénégal (ICS) qui ont décidé de mettre à nu les tares de cette industrie controlée par les indiens.
Ainsi, il ajoute que l'acide phosphorique produit à Darou est acheté par le partenaire traditionnel et client des ICS.
Sur le plan agricole, les ICS ne servent à rien. L'usine de Mbao capable de produire 250.000 tonnes par an, ne satisfait pas actuellement l'agriculture sénégalaise qui a besoin annuellement de 150.000 tonnes...
Sur le plan financier, les ICS n'apportent rien au Sénégal. Les ICS ne paient ni d'impôts sur le revenu, ni TVA, ni droits de Douane, ni redevance minière. L'ics doit 200 milliards au Sénégal, révèle cet ancien employé qui a brandi un document.
Les membres du conseil national des dirigeants d'entreprises du Sénégal SN CNDES (INNOVATION-CROISSANCE) et du groupe secteur privé et développement ( GSPD), des membres des Industries Chimiques du Sénégal (ICS) qui ont décidé de mettre à nu les tares de cette industrie controlée par les indiens.
Ainsi, il ajoute que l'acide phosphorique produit à Darou est acheté par le partenaire traditionnel et client des ICS.
Sur le plan agricole, les ICS ne servent à rien. L'usine de Mbao capable de produire 250.000 tonnes par an, ne satisfait pas actuellement l'agriculture sénégalaise qui a besoin annuellement de 150.000 tonnes...