Le Syndicat national des travailleurs du pétrole et du gaz du Sénégal (SNTPGS) réclame l’envoi d’une mission de l’inspection du travail et de la sécurité sociale dans les unités du Groupe DIPROM/Touba Oil, a appris l’APS dimanche de source syndicale.
A l’issue de sa réunion extraordinaire, samedi à Dakar, le SNTPGS déplore ‘’des licenciements ciblés concernant pour le moment 15 travailleurs congressistes dont trois délégués du personnel qui venaient de faire leur entrée’’ dans son nouveau Bureau exécutif national.
‘’La situation est d’autant plus troublante qu’en si peu de temps il parvient à bouleverser tout l’ordre et toute la configuration du secteur du pétrole’’, ajoute le syndicat dans un communiqué.
‘’Actuellement, il arrive dans le gaz avec plus de 35% du marché (…). Les autorités viennent de lui octroyer (…) les parts de l’Etat dans le capital de SENSTOCK dont il détient 65%’’, poursuit la même source.
Constitué de capitaux sénégalais notamment, DIPROM/Touba Oil compte plus de 1.500 employés. Ce groupe a bousculé les ordres traditionnels dans le secteur en s’imposant devant les majors, des multinationales.
Par ailleurs, le syndicat a souligné les conflits sociaux ‘’qui pourrissent’’ ou la détérioration du climat social dans le secteur, citant notamment à la Société africaine de raffinage (SAR), à Shell-Sénégal et à la SMCADY.
A l’issue de sa réunion extraordinaire, samedi à Dakar, le SNTPGS déplore ‘’des licenciements ciblés concernant pour le moment 15 travailleurs congressistes dont trois délégués du personnel qui venaient de faire leur entrée’’ dans son nouveau Bureau exécutif national.
‘’La situation est d’autant plus troublante qu’en si peu de temps il parvient à bouleverser tout l’ordre et toute la configuration du secteur du pétrole’’, ajoute le syndicat dans un communiqué.
‘’Actuellement, il arrive dans le gaz avec plus de 35% du marché (…). Les autorités viennent de lui octroyer (…) les parts de l’Etat dans le capital de SENSTOCK dont il détient 65%’’, poursuit la même source.
Constitué de capitaux sénégalais notamment, DIPROM/Touba Oil compte plus de 1.500 employés. Ce groupe a bousculé les ordres traditionnels dans le secteur en s’imposant devant les majors, des multinationales.
Par ailleurs, le syndicat a souligné les conflits sociaux ‘’qui pourrissent’’ ou la détérioration du climat social dans le secteur, citant notamment à la Société africaine de raffinage (SAR), à Shell-Sénégal et à la SMCADY.