"Nous courons un risque de dérapage car les politiques ne doivent pas donner des injonctions aux juristes. Des professeurs ne doivent pas se substituer aux magistrats. Chacun doit rester dans son rôle. Attendons que l'autre camp se prononce pour savoir. Même la science n'est pas neutre d'autant plus qu'on est dans le domaine du droit qui a une dimension politique. Nous risquons d'entrer dans une logique de dérives", a d'emblée précisé Abdou Fall.
Avant de demander que tous laissent au Conseil constitutionnel le soin de jouer son rôle.
Interpellé sur l'éventualité d'une invalidation de la candidature de Wade, il dit : "On ne va pas aller au combat avec un plan B et un plan C. Nous on a un candidat qui s'appelle Abdoulaye Wade. La candidature de Wade sera validé. C'est sur cette hypothèse que je travaille."
Avant de demander que tous laissent au Conseil constitutionnel le soin de jouer son rôle.
Interpellé sur l'éventualité d'une invalidation de la candidature de Wade, il dit : "On ne va pas aller au combat avec un plan B et un plan C. Nous on a un candidat qui s'appelle Abdoulaye Wade. La candidature de Wade sera validé. C'est sur cette hypothèse que je travaille."