Dernière minute: Idrissa Seck: "Je n'ai rien à dire à Serigne Mbacké Ndiaye"


Mardi 21 Février 2012




1.Posté par Tah! le 21/02/2012 18:36
IDRISSA SECK: Voilà un homme à qui Wade avait prédestiné et prédisposé d’un destin présidentiel mais que sa foi, sa sagesse et son refus de devenir Franc-maçon vont se retourner contre lui. Comme lui-même ne cesse de l’invoquer dans le Coran, "Dieu n’aime pas le Traître " et lui que les libéraux en font croire l’exacte illustration alors que non, lui qui n’a unique projet que de devenir Président dans les règles de sa religion «en incitant aux réfléchis les paroles divines,  juste pour se démarquer  de certains qui se prétendent ex  franc-maçon» donc lui les adeptes de Wade ne l’aiment surtout pas par ce que c’est un musulman mais aussi un pratiquant;
 Ce qu'il devra comprendre c’est que la manière aussi religieuse qu’il a tendance à vouloir démystifier son vieux concepteur politique Wade en jouant la carte de la sincérité et de la franchise jusque au sein du Comité Directeur, est signe de bravoure et de charisme quant à l’énergie que les libéraux insoucieux de l'avenir du Sénégal confirment de jour en jour à son encontre.
Nous invitons tous les sénégalais épris de dignité, de véracité et de patriotisme à s’opposer à Wade qui n’a pas hésité à se servir des biens publics pour créer un achat de conscience majeur au Sénégal, ce Wade vieux et malade aux sournois objectifs qui se sert de  son pouvoir de chef d'État et du mutisme des constitutionnalistes pour prendre le Sénégal en otage avec une nouvelle candidature décriée depuis l'international.
 Ce Président "roi" qui manipule les institutions pour imposer sa candidature, a osé même donné 4 ministéres à son fils.
Nous persistons à dire que ce Président fini est un démon qui sait manipuler l’opinion publique, nous ne devons plus le laisser gouverner après 2012.
Les Libéraux du Sénégal que nous sommes devront à Wade à chaque fois que nécessaire apporter la réplique à la hauteur de son insistance à se présenter en 2012.
 Ce Président fini ne doit plus imposer son terrorisme gagnant du temps pour imposer la monarchie, en faisant sa comédie politique, lorsqu’il exhibe son ingérence de la témérité en jouant au jeune athlète avec tout ce qu’en pensent les sénégalais jusque dans les allées du Safak Marwa.
 Maître Wade a "certes" réalisé dans le Sénégal ce que personne n’a osé ambitionner, mais nous n’avons pas le droit de laisser Wade et ses fous aux si petits CV prendre en otage notre République.
Nous servons quoi à Maître Abdoulaye Wade? A rien si ce n'est de ne jamais lui dire la vérité sur la réalité que vivent les pauvres sénégalais!!!
 Notre Président de la République représentait une fierté pour la communauté libérale que nous sommes, mais depuis qu'il veut se maintenir au pouvoir, il mérite le laxisme de son entourage jusqu’à ce qu’on les assimile à des trouillards.
Les petits calculs d'intérêt doivent cesser, Idrissa Seck est l'homme qui peut gérer la continuité du Parti Démocratique Sénégalais.
 Nous devons mouiller le maillot pour que personne ne manque de respect à nos institutions, le vieux d’entre tous les candidats et le reposer chez lui à Point E la veille des élections juste avant la prière du «Takoussan».

2.Posté par Tah! le 21/02/2012 18:36
Quelques raisons pour justifier le choix sur Idrissa Seck. 

1. Le seul homme politique à avoir eu le courage depuis l’indépendance d’injecter dans une stratégie exogène de « Big Push » qu’il a nommé » grappe de convergence » la masse de 40 milliards dans une région autre que Dakar. Le Sénégal ne se limite pas à Dakar. Regardez, les 360 milliards que Karim Wade a dépensé rien qu’à Dakar avec l’ANOCI auraient suffis pour transformer 9 régions du Sénégal à l’image de Thiès (360 milliards = 40 milliards X 9). C'est-à-dire toutes les régions du Sénégal hormis Dakar et Thiès (qui ont été déjà servies). Un développement se doit d’être équilibré du point de vue territorial. 


2. Le Sénégal compte en valeur relative par rapport à la population globale le plus grand nombre de diplômés de hauts niveaux dans les pays avancés. Il est clair que le développement n’est plus essentiellement tributaire des dotations en ressources naturelles, minières ou industrielles, mais du capital humain (dans les pays développés les secteurs tertiaires et quaternaires représentent jusqu’à 70% du PIB). Les secteurs primaires et secondaires se disputent les 30% restants. C’est dans le tertiaire et le quaternaire que l’on retrouve les services, les NTIC, l’innovation, la créativité etc. Et le Sénégal dispose d’un avantage comparatif par rapport aux autres pays Africains Subsahariens. Ce qui signifie que la solution est pour le Sénégal de mettre de côté toutes considérations d’ordre ethnique, clanique ou confrérique et de privilégier la compétence à tous les niveaux. Après analyse des contenus de discours des acteurs politiques, force est de constater qu’Idrissa Seck est le chantre d’une telle démarche. 


3. Après plusieurs mois de détention, personne n’a entendu de sa part des propos démesurés : insultes, diffamation, tortuosité, agression envers journaliste ou autre venant de sa part et témoignant de son sens de la responsabilité. 

4. Idrissa Seck n’a aussi pas vendu son âme durant les périodes difficiles pour se tailler les faveurs du chef. En effet, il n’a pas changé d’obédience confrérique, ni épousé une fille de guide religieux (ce qui constitue de la corruption politique). 



3.Posté par Tah! le 21/02/2012 18:38
Idrissa Seck, pour que nul n’en ignore
 
 
Nous assistons de plus en plus à un concours implicite de médisance et d’attaques stériles contre la personne d’Idrissa Seck. Si d’aucuns portent des cagoules pour défendre une chapelle, d’autres profitent de ce méli mélo pour faire prévaloir une posture dite intellectuelle mais totalement dénuée d’objectivité et de démarche scientifique. On se fait un film et on le raconte. Idrissa Seck est l’homme politique qui prend moins d’initiatives parce que se concentrant sur la recherche de solutions mais il demeure l’un des plus critiqués et parfois avec une agressivité surprenante. La raison est simple : ils savent tous qu’il peut y arriver. Pour contrer son cheminement ils s’attaquent à ses piliers fondamentaux ; Sa constance dans la démarche et son attachement aux valeurs libérales et républicaines.
Cependant les faits sont là et ils sont sacrés. Le fait de les déformer ou de chercher à les insérer dans un contexte autre que leur contexte de production démontre toute la détermination des adversaires d’Idrissa Seck à mettre hors course un candidat sérieux à la magistrature suprême.  Pour que nul n’en ignore, son objectif est unique : défendre les intérêts du Sénégal et de l'Afrique, non ceux d'un clan ou d'une famille. Pour y arriver il est prêt à des sacrifices. Il a toujours rappelé que « le destin personnel des hommes, même d’Etat, est une insignifiance au regard des intérêts supérieurs d’une Nation » Son engagement pour servir son peuple transcende les personnes même si des personnes peuvent jalonner son parcours et y jouer un rôle quelconque. Le 7 février 2006, après plus de 7 mois de prise d’otage, devant la prison de Rebeuss, Idrissa Seck annonçait déjà être armé d’esprit de dépassement pour servir son pays. Il l’avait déclaré en ces termes « C’est avec une conscience calme que je suis entré dans cette épreuve, c’est avec une conscience calme que j’en sors et je convoite de Dieu la sérénité, l’endurance, la capacité de dépassement qu’exige la mission que je me suis assignée : servir le Sénégal. Car rien ne me pèse plus lourd que les difficultés auxquelles notre pays est confronté et rien ne fera obstacle à mon ambition et à ma volonté de le servir ». Un esprit de dépassement dont l’humanité a toujours eu besoin pour éteindre les feus de tension, mettre fin aux guerres et aux conflits, réconcilier les peuples.
 
La posture d’Idrissa Seck face à sa famille politique demeure constante. Elle ne varie pas. Idrissa Seck veut ramener sa famille politique sur le chemin du vrai sopi, du vrai changement au bénéfice du peuple souverain.  « On a dévié du chemin ! C'est ma responsabilité de veiller à l'unité, au renforcement, mais surtout au retour à ces valeurs fondamentales de ma famille politique. ». Disait-il. Il veut sauver sa famille politique du risque de non participation à la compétition électorale de 2012 suite à un possible carton rouge constitutionnel à 29 jours du scrutin délivré par un conseil de 5 sages qui ne sauraient être en désaccord avec toute la communauté nationale et internationale de constitutionnalistes. Voilà tout le sens de son intervention sur rfi.
 
Cependant, même en défendant sa famille, Il ne fera pas de compromission avec les principes et valeurs. Il ne fera pas de compromission avec la vérité. Il ne se donnera pas, cependant, de limites en sacrifices pour le bonheur de son peuple, pour que ce peuple jouisse d’une tabaski loli. Une belle tabaski en période de moissons abondantes. Son retour au PDS, en dehors du fait qu’il découle d’un choix stratégique assumé et constant, entre dans ce même objectif : Défendre les intérêts du peuple.  Il n’a pas manqué de le répéter lors de sa conférence de presse du 12 Janvier 2009, en ces termes « Mon choix a été dicté par les difficultés du pays. Je suis animé par l’esprit de travail pour l’intérêt du Sénégal. Notre intention est de régler les problèmes du Sénégal (…) Mon apport sera de donner toutes mes compétences pour résoudre les difficultés du pays, avec ma liberté de lui dire ce que je trouve utile et non ce qui lui plait» Sa conduite politique est un choix assumé en toutes circonstances. « Ma conduite politique ne dépend pas de Wade. Elle dépend de moi, de ma foi en Dieu d'abord, de ma foi en l'individu, aux Sénégalais, de mon attachement aux valeurs libérales… » Disait-il en rendant visite au journaliste de la rfm, Kambel Dieng, le mercredi 8 Juin 2008. Les faits sont là. Sa posture est constante : vérité et courage. Approuver le convenable, condamner le blâmable. Quels qu'en soient les auteurs. Quand il était avec Wade il avait dit non à la loi Ezzan, non au défilé des journalistes et hommes politiques à la Dic, non à un projet de dévolution monarchique du pouvoir. Quand il a été en dehors des sphères de décision il s’est offusqué de la dissolution des collectivités locales, de l’agression barbare des journalistes comme kambel etc. Comme il l’a lui-même révélé « notre posture est invariable ; nous approuvons tout ce qui est convenable, nous condamnons tout ce qui blâmable. Quand j'étais avec Wade, c'était mon comportement ; aujourd'hui que je ne suis plus avec lui, ça reste mon comportement »   
 
Les films fictions peuvent défiler dans les têtes mais les faits sont là. Ils contredisent les propos malveillants et parfois incorrects de personnes en mal de popularité qui veulent profiter de l’aura d’Idrissa Seck pour se faire un nom. La critique est aisée.

4.Posté par Torodo le 21/02/2012 18:39
Serigne mbacke ndiaye ,idy nait pas ton negal,bokoulene doussa nawlais,serigne setile sa masse,idy dou mook yaw mook sa baye wade la

5.Posté par Atika le 21/02/2012 18:40
Tah,
Résume toi sinon personne ne va te lire.
Maintenant que le Voleur avoue ne pas avoir de programme, je te conseille de soutenir Niass ou Macky

6.Posté par pathe le 21/02/2012 18:45
Merci TAh pr cette brillante analyse, Atika va jouer ailleurs fii c'est le milieu des grands...Idy4president

7.Posté par Torodo le 21/02/2012 18:47
Merci tah we love you,god bless you congratulation man

8.Posté par Torodo le 21/02/2012 18:54
Atika tu nas pas dargument tu dit ke DES bêtise ,idy voleur,idy guewel,trouve DES argument comme tah c sa qui nous font avance,idy a etait acuser par wakh wakheet en compliciter avec ton macky le menteur bii lamder,bii kaute,idy a etait blanchit par la justice,demande a macky il n'attaque jamais idy,kou weet kham sa baye

9.Posté par gayemoolo le 21/02/2012 18:55
de grace CYS faudra preciser l heure exacte de publication de tes dernieres minutes.ca fait bizarre de retrouver 24 heures apres avec cet etiquette DERNIERE MINUTE;



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