Le Dr Cheikh Dieng, directeur général de l’Office national de l’assainissement du Sénégal (Onas) s’est rendu ce mercredi avec ses équipes à Mbao où se déroulent les travaux du projet de dépollution de la baie de Hann. Une visite des installations modernes d’épuration et de traitement des eaux usées mais surtout industrielles qui avaient un impact nocif sur la zone côtière et marine avec des conséquences connues sur la pollution de la baie de Hann et sur la mortalité de l’ensemble de la faune. En effet, ce projet ouvre une perspective de restauration de l’intégrité environnementale, mais également, de la qualité de vie des populations.
« Depuis la zone de Thiaroye, nous avons une zone de rejet d’eau industrielle extrêmement polluée qui sera traitée, mais aussi du développement de l’économie circulaire. Aussi, nous avons un système de collecte des eaux usées au profit de 2.000 ménages sur 15 km de réseau secondaire et en aval, les eaux traitées seront rejetées en mer. Ce que nous avons vu est rassurant », a indiqué le directeur général de l’Onas.
Ce projet a vu l’implication de partenaires stratégiques notamment l’Agence Française de Développement (AFD), l’Agence Néerlandaise Invest International Public Project, l’Union Européenne et la China Development Bank ( CDB). Ils ont contribué au financement du projet de dépollution de la Baie de Hann dont le montant s’élève à 94, 129 milliards de francs CFA.
L’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) a la charge de l’exécution de ce projet dont les premiers ouvrages commencent à sortir de terre.
Une station d’une capacité de 25.000 m³/jour
À Mbao, la construction de la station de traitement des eaux usées d’une capacité de 25.000m³/jour est en cours. Les contours des différents ouvrages se précisent. Cette station aura la particularité de traiter des eaux industrielles. Elle sera l’une des stations les plus performantes en Afrique de l’Ouest au regard de sa capacité de rabattement de la charge de pollution.
Sur un autre front, à Hann-Montagne, les travaux de construction de l’intercepteur des stations de pompage avancent. La dépollution a franchi un cap. La restauration de l’une des plus belles baies au monde se fera avec un intercepteur principal d’un peu plus de 14 km, avec des diamètres variant entre 500 mm et 1200 mm, 7 stations de pompage, un émissaire marin de 3 km de diamètre 1000 mm, un réseau secondaire de 15 km pour le raccordement des industriels, 30 km de réseau secondaire, l’assainissement du canal 6 ainsi que l’assainissement du Port de Dakar.
Après la mise en service des différents ouvrages, plus de 500.000 personnes verront leur cadre de vie transformé dans les communes de Hann-Bel Air, Dalifort, Thiaroye Sur Mer, Mbao, Guinaw Rail Sud, Guinaw Rail Nord, sans oublier la zone du Port Autonome de Dakar.
« Depuis la zone de Thiaroye, nous avons une zone de rejet d’eau industrielle extrêmement polluée qui sera traitée, mais aussi du développement de l’économie circulaire. Aussi, nous avons un système de collecte des eaux usées au profit de 2.000 ménages sur 15 km de réseau secondaire et en aval, les eaux traitées seront rejetées en mer. Ce que nous avons vu est rassurant », a indiqué le directeur général de l’Onas.
Ce projet a vu l’implication de partenaires stratégiques notamment l’Agence Française de Développement (AFD), l’Agence Néerlandaise Invest International Public Project, l’Union Européenne et la China Development Bank ( CDB). Ils ont contribué au financement du projet de dépollution de la Baie de Hann dont le montant s’élève à 94, 129 milliards de francs CFA.
L’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) a la charge de l’exécution de ce projet dont les premiers ouvrages commencent à sortir de terre.
Une station d’une capacité de 25.000 m³/jour
À Mbao, la construction de la station de traitement des eaux usées d’une capacité de 25.000m³/jour est en cours. Les contours des différents ouvrages se précisent. Cette station aura la particularité de traiter des eaux industrielles. Elle sera l’une des stations les plus performantes en Afrique de l’Ouest au regard de sa capacité de rabattement de la charge de pollution.
Sur un autre front, à Hann-Montagne, les travaux de construction de l’intercepteur des stations de pompage avancent. La dépollution a franchi un cap. La restauration de l’une des plus belles baies au monde se fera avec un intercepteur principal d’un peu plus de 14 km, avec des diamètres variant entre 500 mm et 1200 mm, 7 stations de pompage, un émissaire marin de 3 km de diamètre 1000 mm, un réseau secondaire de 15 km pour le raccordement des industriels, 30 km de réseau secondaire, l’assainissement du canal 6 ainsi que l’assainissement du Port de Dakar.
Après la mise en service des différents ouvrages, plus de 500.000 personnes verront leur cadre de vie transformé dans les communes de Hann-Bel Air, Dalifort, Thiaroye Sur Mer, Mbao, Guinaw Rail Sud, Guinaw Rail Nord, sans oublier la zone du Port Autonome de Dakar.