Le ministre de l’Hydraulique et de l’assainissement, le Dr Cheikh Tidiane Dièye, a formulé des recommandations fortes pour la dépollution de la baie de Hann. Il a abordé cette question lors d’une réunion cruciale tenue le 9 janvier 2025 pour l’avenir de la conduite du Projet de dépollution de la baie de Hann.
Sous la présence du directeur général de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), Séni Diène et des partenaires, des échanges fructueux ont eu lieu par un état des lieux de la mise en œuvre présenté par le coordonnateur du Projet, Alioune Niang et le directeur de l’assainissement Oumar Sène qui a soulevé des contraintes.
À ce titre, le ministre de tutelle a fait des propositions dont la tenue mensuelle des réunions. Une première réunion se tiendra avant le 20 janvier 2025. Ensuite, il a suggéré la restitution instantanée des blocages et des propositions de solution pour les lever. Pour lui, « chaque partie prenante doit s’engager à mettre en œuvre les actions qui lui sont dévolues dans les délais impartis. D’ailleurs, je suggère aux délais d’ajouter dans le tableau les dates pour lever des contraintes », ajoute-t-il.
Pour ce qui est des contraintes, l’on a noté le retard dans le décaissement des décomptes, la mise à niveau des installations de la SOGAS. Selon le directeur de l’assainissement, Oumar Sène, « le retard des décomptes peut entraîner une démobilisation des entreprises qui poursuivent les travaux malgré ce retard. C’est un projet important, nous devons lever les contraintes pour avancer dans sa mise en œuvre », dira-t-il.
En réponse à ces retards observés sur les travaux, Alpha Diagne du ministère de l’Economie et des finances a donné les raisons en 2024. Il souligne que cela n’était pas spécifique au projet de dépollution de la baie de Hann. « Nous commençons à voir le bout du tunnel. Nous allons accélérer le processus. Actuellement, les projets ne doivent pas avoir une durée de vie qui dépasse 5 ans », a-t-il affirmé...
Sous la présence du directeur général de l’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS), Séni Diène et des partenaires, des échanges fructueux ont eu lieu par un état des lieux de la mise en œuvre présenté par le coordonnateur du Projet, Alioune Niang et le directeur de l’assainissement Oumar Sène qui a soulevé des contraintes.
À ce titre, le ministre de tutelle a fait des propositions dont la tenue mensuelle des réunions. Une première réunion se tiendra avant le 20 janvier 2025. Ensuite, il a suggéré la restitution instantanée des blocages et des propositions de solution pour les lever. Pour lui, « chaque partie prenante doit s’engager à mettre en œuvre les actions qui lui sont dévolues dans les délais impartis. D’ailleurs, je suggère aux délais d’ajouter dans le tableau les dates pour lever des contraintes », ajoute-t-il.
Pour ce qui est des contraintes, l’on a noté le retard dans le décaissement des décomptes, la mise à niveau des installations de la SOGAS. Selon le directeur de l’assainissement, Oumar Sène, « le retard des décomptes peut entraîner une démobilisation des entreprises qui poursuivent les travaux malgré ce retard. C’est un projet important, nous devons lever les contraintes pour avancer dans sa mise en œuvre », dira-t-il.
En réponse à ces retards observés sur les travaux, Alpha Diagne du ministère de l’Economie et des finances a donné les raisons en 2024. Il souligne que cela n’était pas spécifique au projet de dépollution de la baie de Hann. « Nous commençons à voir le bout du tunnel. Nous allons accélérer le processus. Actuellement, les projets ne doivent pas avoir une durée de vie qui dépasse 5 ans », a-t-il affirmé...