La demi-finale de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) entre la République démocratique du Congo et la Côte d'Ivoire, qui a eu lieu le mercredi 7 février, a été l'occasion pour la sélection congolaise de protester contre le génocide qui sévit dans leur pays.
Les joueurs de l'équipe nationale congolaise de football ont profité de l'hymne national pour exprimer leur indignation et sensibiliser le monde aux atrocités qui se déroulent dans l'est du Congo, pris en étau entre les forces rebelles du M23 et le gouvernement congolais. Un geste symbolique fort a été réalisé par le capitaine Chancel Mbemba et ses coéquipiers, avec un doigt sur la bouche et un autre pointé vers la tête, pour dénoncer les massacres de masse dans l'est du Congo, dans un silence presque général.
« C'est visible pour tout le monde, les massacres à l'est du Congo. Mais tout le monde se tait. Utilisez la même énergie que vous dépensez pour parler de la CAN afin de mettre en lumière ce qui se passe chez nous. Il n'y a pas de petits gestes », a dénoncé Cédric Bakambu, attaquant de la RDC, sur les réseaux sociaux.
Principalement composé de Tutsis et bénéficiant du soutien du Rwanda, le M23 fait l'objet de nombreuses accusations de violence à l'encontre des populations civiles, émanant d'organisations non gouvernementales telles que Human Rights Watch, de la Cour pénale internationale et du gouvernement américain souligne le média Cnews.
Ces joueurs ont donc saisi l'occasion de la demi-finale de la CAN pour attirer davantage l'attention sur la crise humanitaire et les violences qui sévissent dans l'est du Congo, dans l'espoir de mobiliser la communauté internationale et d'obtenir une aide pour mettre fin à cette situation tragique.
Les joueurs de l'équipe nationale congolaise de football ont profité de l'hymne national pour exprimer leur indignation et sensibiliser le monde aux atrocités qui se déroulent dans l'est du Congo, pris en étau entre les forces rebelles du M23 et le gouvernement congolais. Un geste symbolique fort a été réalisé par le capitaine Chancel Mbemba et ses coéquipiers, avec un doigt sur la bouche et un autre pointé vers la tête, pour dénoncer les massacres de masse dans l'est du Congo, dans un silence presque général.
« C'est visible pour tout le monde, les massacres à l'est du Congo. Mais tout le monde se tait. Utilisez la même énergie que vous dépensez pour parler de la CAN afin de mettre en lumière ce qui se passe chez nous. Il n'y a pas de petits gestes », a dénoncé Cédric Bakambu, attaquant de la RDC, sur les réseaux sociaux.
Principalement composé de Tutsis et bénéficiant du soutien du Rwanda, le M23 fait l'objet de nombreuses accusations de violence à l'encontre des populations civiles, émanant d'organisations non gouvernementales telles que Human Rights Watch, de la Cour pénale internationale et du gouvernement américain souligne le média Cnews.
Ces joueurs ont donc saisi l'occasion de la demi-finale de la CAN pour attirer davantage l'attention sur la crise humanitaire et les violences qui sévissent dans l'est du Congo, dans l'espoir de mobiliser la communauté internationale et d'obtenir une aide pour mettre fin à cette situation tragique.
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