La énième grogne de ses clients est visiblement la goutte d’eau de trop. Les pèlerins pour le Hajj de l'édition 2024 sont outrés par les retards répétés des vols d’Air Sénégal depuis vendredi et les multiples cafouillages avec la compagnie. Visiblement, cette situation semble également irriter les nouvelles autorités. En effet, le directeur général d’Air Sénégal serait dans le collimateur de ces autorités qui, devraient certainement enregistrer amèrement les regrets manifestés par les pèlerins. Cette compagnie récidiviste, pendant ces derniers mois, a été fortement décriée par les clients qui ont toujours espéré une meilleur qualité de service.
L’on se rappelle des dernières bourdes de la compagnie comme le supplice que les passagers de la compagnie nationale Air Sénégal à l'aéroport de Cap Skirring ont connu et qui devaient rallier Dakar en décembre 2023 avec un retard de plus de 24h de leur vol.
Mais également, le plus récent, ces passagers devant rejoindre leurs familles à Bamako et qui finalement, faute de disponibilité de vols, se sont contentés des services de Transair. Les passagers se sont foncièrement indignés de la prise en charge de Air Sénégal qui n’a pas également pu assurer leur accompagnement après la sortie de piste du vol qu’elle leur avait affrété. Bref, une prise en charge défaillante qui est à l’image de son directeur général dont l’avenir à la tête de la compagnie ne semble plus tenir qu’à un fil...
L’on se rappelle des dernières bourdes de la compagnie comme le supplice que les passagers de la compagnie nationale Air Sénégal à l'aéroport de Cap Skirring ont connu et qui devaient rallier Dakar en décembre 2023 avec un retard de plus de 24h de leur vol.
Mais également, le plus récent, ces passagers devant rejoindre leurs familles à Bamako et qui finalement, faute de disponibilité de vols, se sont contentés des services de Transair. Les passagers se sont foncièrement indignés de la prise en charge de Air Sénégal qui n’a pas également pu assurer leur accompagnement après la sortie de piste du vol qu’elle leur avait affrété. Bref, une prise en charge défaillante qui est à l’image de son directeur général dont l’avenir à la tête de la compagnie ne semble plus tenir qu’à un fil...