« Le jour de l’accident m’a trouvé au pays. Depuis que la rumeur s’est répandue dans la soirée, toute la nation a retenu son souffle. C’était un choc national de perdre notre président. Grâce à lui que les relations diplomatiques tendues entre l’Iran et certains voisins comme l’Arabie Saoudite, le Bahreïn, l’Irak sont revenues à la normale » témoignent des Iraniens basés à Dakar.
Toutefois, Ebrahim Raïssi est considéré comme un rassembleur, un pacificateur voire marabout. Il était pressenti pour succéder au guide spirituel, l’Ayatollah Khomeiny. « Depuis 45 ans de révolution islamique, c’est la première fois que nous vivons cette situation qui nous a sonnés» témoignent-t-ils.
Les Perses vivants à Dakar confient qu’ils ont perdu un vrai guide. Toutefois, ils ont tenu aussi malgré cette douleur à manifester leur soutien et solidarité au peuple palestinien. Nulle occasion ne pouvait s’offrir à eux pour dénoncer l’action militaire sur les territoires palestiniens.
Toutefois, ils ont tenu à remercier les amis et collaborateurs Sénégalais qui les ont accompagnés et assistés dans ces moments de douleurs profondes.
Ces Perses de Dakar attendent les résultats de l’enquête ouverte. Et certains, ils pointent du doigt accusateur les ennemis de l’Iran.
Toutefois, Ebrahim Raïssi est considéré comme un rassembleur, un pacificateur voire marabout. Il était pressenti pour succéder au guide spirituel, l’Ayatollah Khomeiny. « Depuis 45 ans de révolution islamique, c’est la première fois que nous vivons cette situation qui nous a sonnés» témoignent-t-ils.
Les Perses vivants à Dakar confient qu’ils ont perdu un vrai guide. Toutefois, ils ont tenu aussi malgré cette douleur à manifester leur soutien et solidarité au peuple palestinien. Nulle occasion ne pouvait s’offrir à eux pour dénoncer l’action militaire sur les territoires palestiniens.
Toutefois, ils ont tenu à remercier les amis et collaborateurs Sénégalais qui les ont accompagnés et assistés dans ces moments de douleurs profondes.
Ces Perses de Dakar attendent les résultats de l’enquête ouverte. Et certains, ils pointent du doigt accusateur les ennemis de l’Iran.