Le ministre sénégalais des Affaires étrangères, Madické Niang, a fait part vendredi d’"évènements malheureux" parlant de la mort du guide libyen Mouammar Kadhafi, tué jeudi à Syrte, tout en souhaitant le retour à la normale en Libye.
‘’Les évènements sont malheureux et personne ne peut s’en réjouir’’, a-t-il déclaré, en marge de l’ouverture de la table ronde ministérielle de la 42ème réunion de l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN).
Le ministre d’Etat sénégalais a rappelé que le Sénégal, par le biais du président Abdoulaye Wade, a tout fait pour éviter la situation tragique qui est arrivée au défunt chef d’Etat libyen.
‘’Aujourd’hui, ce qui reste à faire, c’est de souhaiter que la Libye puisse s’acheminer vers une démocratie avérée et qu’il y ait une situation de réconciliation des Libyens’’, a-t-il indiqué.
Ancien alliée de Mouammar Kadhafi en Afrique, le Sénégal a été le premier pays d’Afrique subsaharienne à reconnaître le Conseil national de transition (CNT), qui a mis fin par un soulèvement armé, à 42 ans de règne de Kadhafi.
Le président Wade avait rendu visite aux dirigeants du CNT, dans leur fief de Benghazi, où s’adressant indirectement à Mouammar Kadhafi, Me Wade lui demandait de quitter le pouvoir "dans l’intérêt du peuple libyen". "Plus tôt tu partiras, mieux ça vaudra", avait-il notamment dit.
( APS )
‘’Les évènements sont malheureux et personne ne peut s’en réjouir’’, a-t-il déclaré, en marge de l’ouverture de la table ronde ministérielle de la 42ème réunion de l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN).
Le ministre d’Etat sénégalais a rappelé que le Sénégal, par le biais du président Abdoulaye Wade, a tout fait pour éviter la situation tragique qui est arrivée au défunt chef d’Etat libyen.
‘’Aujourd’hui, ce qui reste à faire, c’est de souhaiter que la Libye puisse s’acheminer vers une démocratie avérée et qu’il y ait une situation de réconciliation des Libyens’’, a-t-il indiqué.
Ancien alliée de Mouammar Kadhafi en Afrique, le Sénégal a été le premier pays d’Afrique subsaharienne à reconnaître le Conseil national de transition (CNT), qui a mis fin par un soulèvement armé, à 42 ans de règne de Kadhafi.
Le président Wade avait rendu visite aux dirigeants du CNT, dans leur fief de Benghazi, où s’adressant indirectement à Mouammar Kadhafi, Me Wade lui demandait de quitter le pouvoir "dans l’intérêt du peuple libyen". "Plus tôt tu partiras, mieux ça vaudra", avait-il notamment dit.
( APS )