"ISIL (acronyme anglais de l'EI), et tous les autres extrémistes se propagent maintenant comme un cancer partout dans le monde", a déclaré le secrétaire général aux médias, à l'occasion d'une conférence internationale à Genève sur la prévention de l'extrémisme violent.
L'accent sur la prévention
Mais, a-t-il dit, "nous devons mettre la prévention à l'avant-plan de nos efforts. Des preuves existent montrant que la riposte sécuritaire et militaire ne peut à elle seule faire échec à ce fléau".
Lors de cette conférence, qui a réuni une trentaine de ministres et vice-ministres, M. Ban a appelé les Etats à mettre sur pied des politiques nationales fondées sur les quelque 70 recommandations du plan d'action contre l'extrémisme violent présenté par l'ONU en janvier.
Ces recommandations sont souvent assez vagues ou déjà mises en oeuvre dans divers pays. Elles vont d'actions pour lutter contre la radicalisation des jeunes à des "programmes de réadaptation" des étrangers enrôlés dans des groupes djihadistes, en passant par une "police de proximité".
Appel à la tolérance
Les dirigeants religieux sont appelés à prêcher la tolérance et les fournisseurs d'internet, outil de prédilection de la propagande extrémiste, sont simplement "invités à appuyer les initiatives de prévention".
M. Ban a indiqué qu'il allait mettre sur pied "un groupe d'action de haut niveau mobilisant tout le système des Nations unies" pour mettre en oeuvre les "efforts" demandés par le plan d'action et a appelé les Etats à "une coopération internationale accrue".
Respect des libertés citoyennes
"Nous devons rester vigilants pour que la lutte que nous menons contre le terrorisme respecte la liberté d'expression, la liberté des citoyens", a déclaré pour sa part le chef de la diplomatie belge, Didier Reynders.
"Le respect des droits de l'Homme, c'est non seulement une façon efficace de lutter contre le terrorisme, mais c'est une façon aussi de ne pas céder face aux terroristes, de ne pas leur laisser gagner du terrain", a-t-il ajouté.
L'accent sur la prévention
Mais, a-t-il dit, "nous devons mettre la prévention à l'avant-plan de nos efforts. Des preuves existent montrant que la riposte sécuritaire et militaire ne peut à elle seule faire échec à ce fléau".
Lors de cette conférence, qui a réuni une trentaine de ministres et vice-ministres, M. Ban a appelé les Etats à mettre sur pied des politiques nationales fondées sur les quelque 70 recommandations du plan d'action contre l'extrémisme violent présenté par l'ONU en janvier.
Ces recommandations sont souvent assez vagues ou déjà mises en oeuvre dans divers pays. Elles vont d'actions pour lutter contre la radicalisation des jeunes à des "programmes de réadaptation" des étrangers enrôlés dans des groupes djihadistes, en passant par une "police de proximité".
Appel à la tolérance
Les dirigeants religieux sont appelés à prêcher la tolérance et les fournisseurs d'internet, outil de prédilection de la propagande extrémiste, sont simplement "invités à appuyer les initiatives de prévention".
M. Ban a indiqué qu'il allait mettre sur pied "un groupe d'action de haut niveau mobilisant tout le système des Nations unies" pour mettre en oeuvre les "efforts" demandés par le plan d'action et a appelé les Etats à "une coopération internationale accrue".
Respect des libertés citoyennes
"Nous devons rester vigilants pour que la lutte que nous menons contre le terrorisme respecte la liberté d'expression, la liberté des citoyens", a déclaré pour sa part le chef de la diplomatie belge, Didier Reynders.
"Le respect des droits de l'Homme, c'est non seulement une façon efficace de lutter contre le terrorisme, mais c'est une façon aussi de ne pas céder face aux terroristes, de ne pas leur laisser gagner du terrain", a-t-il ajouté.