L’affaire Farba Ngom connaît un nouveau rebondissement. L’ex-député, visé par une enquête pour blanchiment d’argent à hauteur de 125 milliards de francs CFA selon un rapport de la CENTIF, a officiellement reçu une convocation pour une comparution devant la Division des Investigations Criminelles (DIC). Son avocat, Me Doudou Ndoye, qui l’a accompagné ce lundi pour récupérer le document, dénonce une procédure floue et une tentative d’humiliation visant à nuire à l’image de son client.
Une convocation, mais toujours aucune clarté sur les accusations
Dans une déclaration à la presse, Me Ndoye a exprimé son étonnement et son indignation face aux conditions dans lesquelles cette convocation a été délivrée. « Notre client, Farba Ngom, que nous assistons, a reçu une convocation. Nous, ses avocats, l’avons accompagné pour la réception. Il ira répondre ce jeudi pour une comparution », a-t-il déclaré.
Cependant, un élément crucial pose problème : le manque de précisions sur les faits reprochés à son client. « Ce qu’on lui reproche, on ne le sait toujours pas. Cela n’a pas été écrit là où cela doit l’être, et nous ne l’avons pas vu comme nous devrions le voir », a dénoncé l’avocat.
Pour Me Ndoye, cette situation interroge sur le respect des principes fondamentaux d’un État de droit. « Est-ce vraiment normal, dans un pays démocratique, qu’un citoyen soit convoqué sans savoir précisément ce qui lui est reproché ? », s’est-il insurgé.
Un acharnement contre Farba Ngom ?
Au-delà du flou juridique, l’avocat pointe du doigt une manœuvre qui viserait à nuire à l’image de l’ex-député. « Ils essayent de l’humilier depuis des mois », a-t-il martelé, laissant entendre que cette affaire pourrait être motivée par des considérations politiques.
Cette déclaration renforce la perception d’une affaire à double lecture : d’un côté, une enquête judiciaire sur des soupçons graves, et de l’autre, une potentielle instrumentalisation judiciaire pour affaiblir une figure politique influente.
Alors que Farba Ngom doit se présenter ce mercredi devant la DIC, la suite de cette procédure sera scrutée de près. La justice devra clarifier les accusations pour dissiper tout doute sur une éventuelle volonté de persécution politique. En attendant, la défense de l’ex-député se dit prête à faire face et à démonter point par point ce qu’elle considère comme une cabale dirigée contre son client.
Une convocation, mais toujours aucune clarté sur les accusations
Dans une déclaration à la presse, Me Ndoye a exprimé son étonnement et son indignation face aux conditions dans lesquelles cette convocation a été délivrée. « Notre client, Farba Ngom, que nous assistons, a reçu une convocation. Nous, ses avocats, l’avons accompagné pour la réception. Il ira répondre ce jeudi pour une comparution », a-t-il déclaré.
Cependant, un élément crucial pose problème : le manque de précisions sur les faits reprochés à son client. « Ce qu’on lui reproche, on ne le sait toujours pas. Cela n’a pas été écrit là où cela doit l’être, et nous ne l’avons pas vu comme nous devrions le voir », a dénoncé l’avocat.
Pour Me Ndoye, cette situation interroge sur le respect des principes fondamentaux d’un État de droit. « Est-ce vraiment normal, dans un pays démocratique, qu’un citoyen soit convoqué sans savoir précisément ce qui lui est reproché ? », s’est-il insurgé.
Un acharnement contre Farba Ngom ?
Au-delà du flou juridique, l’avocat pointe du doigt une manœuvre qui viserait à nuire à l’image de l’ex-député. « Ils essayent de l’humilier depuis des mois », a-t-il martelé, laissant entendre que cette affaire pourrait être motivée par des considérations politiques.
Cette déclaration renforce la perception d’une affaire à double lecture : d’un côté, une enquête judiciaire sur des soupçons graves, et de l’autre, une potentielle instrumentalisation judiciaire pour affaiblir une figure politique influente.
Alors que Farba Ngom doit se présenter ce mercredi devant la DIC, la suite de cette procédure sera scrutée de près. La justice devra clarifier les accusations pour dissiper tout doute sur une éventuelle volonté de persécution politique. En attendant, la défense de l’ex-député se dit prête à faire face et à démonter point par point ce qu’elle considère comme une cabale dirigée contre son client.
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