Un atelier sur la propriété intellectuelle s’est ouvert ce mercredi 18 septembre 2024. Avec comme thème central « l’adaptation des organismes de gestion collective aux contraintes liés à l’exploitation à l’ère du numérique », les 17 États membres de l’organisation africaine de la propriété intellectuelle se sont réunis à Dakar pour un échange approfondi pendant deux jours (18 et 19 septembre 2024).
Conscient des opportunités qu’offre le numérique aux artistes, il conviendrait d’apprendre aux organismes de gestion collective (OGC) plutôt que les laisser en marge. Selon le directeur général adjoint de l’organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI),Mondésir Oualou Panouala, C’est dans ce contexte que l’Organisation Africaine de propriété intellectuelle (OAPI)qui s’occupe à la fois de la propriété industrielle mais également de la pauvreté industrielle artistique à la suite d’une autre conférence qui avait eu lieu en décembre 2023 choisi Dakar pour abriter une autre conférence dont le prolongement thématique qui avait été abordé lors de la précédente.
Celui-ci fait savoir que 17 pays responsables de l’OGC ont été invités et parmi certains responsables au niveau des ministères des arts et de la culture ont été conviés pour pouvoir échanger pendant deux jours sur cette thématique et accoucher les idées nécessaires à l’appel de ses objectifs. De son point de vue, « le numérique est arrivé et nous impose de nouveau mode de fonctionnement et de nouveau modèle de captation de flux financier c’est-à-dire qu’il y a beaucoup d’argent à gagner pour les artistes en allant sur le numérique » le modèle traditionnel qui permettait d’aller collecter, percevoir de l’argent devient de plus en plus inefficace »
A son niveau, Talla SAMB, représentant le ministre de l’Industrie et du commerce révèle que la cérémonie consiste à parler de la problématique de la gouvernance des OGC et de la problématique de droit par rapport à l’exploitation en ligne et contenu culturel protégé et du domaine public. Car, les artistes ont un accès plus large par rapport au public mais au nouvel économique tel qu’il génère par cette exploitation en ligne, la publicité ciblée et le téléchargement mais le fait aussi que le numérique consiste à préserver des patrimoines culturels avec la numérisation du musée, la numérisation des œuvres d’arts.
D’après lui, les acteurs doivent tirer davantage de profit par rapport à cette exploitation en ligne mais une chose c’est d’être formé par rapport à cette exploitation en ligne mais une autre chose c’est d’avoir le droit de maîtriser le droit par rapport à cette exploitation. C’est ainsi qu’il rassure en disant que le gouvernement ne ménagera aucun effort pour accompagner ces organismes de gestion collective afin de leur permettre d’encadrer les acteurs culturels afin d’exploiter à leur profit les avantages. Au terme de cet atelier, il est attendu des recommandations et une certaine maîtrise des concepts par rapport à la problématique de droit, par rapport à l’exploitation en ligne des contenus culturels. Et pour se faire, les acteurs devront s’approprier de ses dispositions afin d’éviter certaines erreurs et certaines malveillances et tirer davantage profit de cette exploitation.
Aly Bathily, directeur général de la SODAV dira que le numérique a bouleversé tous les secteurs d’activité à fortiori le secteur de la culture parce qu’on sait actuellement que le commerce est bien culturel, se fait principalement via les plateformes. Ce qu’on appelle le phénomène de la plateformisation mais cela a également plusieurs impacts d’un point de vue juridique. Même s’il y’a des principes immuables des droits d’auteurs et droits voisins, il y’a nécessité quand même de réviser certaines dispositions pour pouvoir les adapter au business model de ce nouvel environnement qui a créé un nouveau paradigme économique mais également au niveau même des OGC au plan technique, il y a nécessité de moderniser les moyens de travail. Pour lui, le numérique a permis aux créateurs, aux éditeurs, aux producteurs de se rendre compte de ce qui se fait ailleurs et de se rendre compte également qu’ils peuvent bénéficier d’une manne financière assez conséquente mais cela repose sur des standards en matière de gouvernance, c’est-à-dire tout se repose sur la transparence.
A l'issue de cette rencontre les acteurs établiront un plan d’action et une feuille de route pour les perspectives.
Conscient des opportunités qu’offre le numérique aux artistes, il conviendrait d’apprendre aux organismes de gestion collective (OGC) plutôt que les laisser en marge. Selon le directeur général adjoint de l’organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI),Mondésir Oualou Panouala, C’est dans ce contexte que l’Organisation Africaine de propriété intellectuelle (OAPI)qui s’occupe à la fois de la propriété industrielle mais également de la pauvreté industrielle artistique à la suite d’une autre conférence qui avait eu lieu en décembre 2023 choisi Dakar pour abriter une autre conférence dont le prolongement thématique qui avait été abordé lors de la précédente.
Celui-ci fait savoir que 17 pays responsables de l’OGC ont été invités et parmi certains responsables au niveau des ministères des arts et de la culture ont été conviés pour pouvoir échanger pendant deux jours sur cette thématique et accoucher les idées nécessaires à l’appel de ses objectifs. De son point de vue, « le numérique est arrivé et nous impose de nouveau mode de fonctionnement et de nouveau modèle de captation de flux financier c’est-à-dire qu’il y a beaucoup d’argent à gagner pour les artistes en allant sur le numérique » le modèle traditionnel qui permettait d’aller collecter, percevoir de l’argent devient de plus en plus inefficace »
A son niveau, Talla SAMB, représentant le ministre de l’Industrie et du commerce révèle que la cérémonie consiste à parler de la problématique de la gouvernance des OGC et de la problématique de droit par rapport à l’exploitation en ligne et contenu culturel protégé et du domaine public. Car, les artistes ont un accès plus large par rapport au public mais au nouvel économique tel qu’il génère par cette exploitation en ligne, la publicité ciblée et le téléchargement mais le fait aussi que le numérique consiste à préserver des patrimoines culturels avec la numérisation du musée, la numérisation des œuvres d’arts.
D’après lui, les acteurs doivent tirer davantage de profit par rapport à cette exploitation en ligne mais une chose c’est d’être formé par rapport à cette exploitation en ligne mais une autre chose c’est d’avoir le droit de maîtriser le droit par rapport à cette exploitation. C’est ainsi qu’il rassure en disant que le gouvernement ne ménagera aucun effort pour accompagner ces organismes de gestion collective afin de leur permettre d’encadrer les acteurs culturels afin d’exploiter à leur profit les avantages. Au terme de cet atelier, il est attendu des recommandations et une certaine maîtrise des concepts par rapport à la problématique de droit, par rapport à l’exploitation en ligne des contenus culturels. Et pour se faire, les acteurs devront s’approprier de ses dispositions afin d’éviter certaines erreurs et certaines malveillances et tirer davantage profit de cette exploitation.
Aly Bathily, directeur général de la SODAV dira que le numérique a bouleversé tous les secteurs d’activité à fortiori le secteur de la culture parce qu’on sait actuellement que le commerce est bien culturel, se fait principalement via les plateformes. Ce qu’on appelle le phénomène de la plateformisation mais cela a également plusieurs impacts d’un point de vue juridique. Même s’il y’a des principes immuables des droits d’auteurs et droits voisins, il y’a nécessité quand même de réviser certaines dispositions pour pouvoir les adapter au business model de ce nouvel environnement qui a créé un nouveau paradigme économique mais également au niveau même des OGC au plan technique, il y a nécessité de moderniser les moyens de travail. Pour lui, le numérique a permis aux créateurs, aux éditeurs, aux producteurs de se rendre compte de ce qui se fait ailleurs et de se rendre compte également qu’ils peuvent bénéficier d’une manne financière assez conséquente mais cela repose sur des standards en matière de gouvernance, c’est-à-dire tout se repose sur la transparence.
A l'issue de cette rencontre les acteurs établiront un plan d’action et une feuille de route pour les perspectives.