La 6ème édition du Gingembre Littéraire, organisée par l'association ContinentPremier, s'annonce comme un espace unique de réflexion autour du sport, de la cohésion sociale et de la mémoire collective, les 22 et 23 novembre prochains à l’Institut Français de Dakar. Cet événement marque une première pour le Sénégal et se déroule dans la dynamique de la Biennale de Dakar et en prévision des Jeux Olympiques de la Jeunesse 2026, soulignant ainsi l’importance croissante du sport comme vecteur d’unité et de paix dans le pays.
Sous le thème « Sport et Cohésion Sociale », dix-sept intellectuels et spécialistes de divers horizons animeront des panels pour explorer le rôle du sport comme facteur de rapprochement et de cohésion dans une société de plus en plus globalisée. Ce rassemblement sera couronné par un concert de l’artiste Cheikh Lô, en faveur de la paix et de la fraternité, une première dans l’histoire de l'événement.
Après Dakar, le Gingembre Littéraire se déplacera à Ziguinchor, où une grande table ronde prévue le 26 novembre à l’Alliance française se penchera sur « La parenté à plaisanterie : L’exemple des Diolas et des Sérères pour la promotion et l’ancrage de l’unité nationale ». Cette thématique met en lumière un modèle culturel unique en Afrique de l’Ouest, où la parenté à plaisanterie favorise les liens sociaux et l’harmonie entre les communautés. En Casamance, l'exemple Diola-Sérère sera évoqué par quatre intervenants, dont deux grandes figures féminines, que les organisateurs n’ont pas encore dévoilées.
Par ailleurs, répondant à la demande des étudiants de l’Université Assane Seck de Ziguinchor, ContinentPremier a invité l’écrivain Boubacar Boris Diop, le 25 novembre, pour un discours inaugural sur « L’écriture romanesque et les langues nationales ». Diop, fervent défenseur des langues africaines, interrogera l'importance de la littérature écrite en langues locales et la richesse de l'expression culturelle africaine.
Dans le prolongement, un panel d'universitaires et d’associations locales discutera autour de « Matérialités de la conscience collective : Perceptions du musée-mémorial et ritualités autour de la mort en Casamance ». Ce débat se focalisera sur le mémorial du Joola, monument érigé en hommage aux victimes de la tragédie maritime de 2002, et ses résonances dans la conscience collective.
Sous le thème « Sport et Cohésion Sociale », dix-sept intellectuels et spécialistes de divers horizons animeront des panels pour explorer le rôle du sport comme facteur de rapprochement et de cohésion dans une société de plus en plus globalisée. Ce rassemblement sera couronné par un concert de l’artiste Cheikh Lô, en faveur de la paix et de la fraternité, une première dans l’histoire de l'événement.
Après Dakar, le Gingembre Littéraire se déplacera à Ziguinchor, où une grande table ronde prévue le 26 novembre à l’Alliance française se penchera sur « La parenté à plaisanterie : L’exemple des Diolas et des Sérères pour la promotion et l’ancrage de l’unité nationale ». Cette thématique met en lumière un modèle culturel unique en Afrique de l’Ouest, où la parenté à plaisanterie favorise les liens sociaux et l’harmonie entre les communautés. En Casamance, l'exemple Diola-Sérère sera évoqué par quatre intervenants, dont deux grandes figures féminines, que les organisateurs n’ont pas encore dévoilées.
Par ailleurs, répondant à la demande des étudiants de l’Université Assane Seck de Ziguinchor, ContinentPremier a invité l’écrivain Boubacar Boris Diop, le 25 novembre, pour un discours inaugural sur « L’écriture romanesque et les langues nationales ». Diop, fervent défenseur des langues africaines, interrogera l'importance de la littérature écrite en langues locales et la richesse de l'expression culturelle africaine.
Dans le prolongement, un panel d'universitaires et d’associations locales discutera autour de « Matérialités de la conscience collective : Perceptions du musée-mémorial et ritualités autour de la mort en Casamance ». Ce débat se focalisera sur le mémorial du Joola, monument érigé en hommage aux victimes de la tragédie maritime de 2002, et ses résonances dans la conscience collective.
L'initiateur du Gingembre Littéraire, El Hadji Gorgui Wade Ndoye, journaliste accrédité aux Nations Unies, a souligné l'importance de cette réflexion pour les familles des disparus, confrontées à la douleur d’une perte sans sépulture traditionnelle, dans un contexte de croyances et de rituels inachevés.
Rappelons que le Gingembre Littéraire prône ainsi le vivre-ensemble et la paix universelle, dans le respect de la dignité et de la souveraineté des peuples, faisant de chaque édition un rendez-vous pour réfléchir à l’unité nationale et à l'identité africaine.
Rappelons que le Gingembre Littéraire prône ainsi le vivre-ensemble et la paix universelle, dans le respect de la dignité et de la souveraineté des peuples, faisant de chaque édition un rendez-vous pour réfléchir à l’unité nationale et à l'identité africaine.