Le président de Demain C’est Maintenant a émis une analyse sur le programme du régime actuel. Spécifiquement à la page 78 ou il est noté le développement des pôle-régions. Dans cette réflexion, Mamadou Ibra Kane, qui se plaît de lire le PROJET pour être en cohérence avec sa position liée au sujet: la création de "pôles-région" comme socle d'une véritable politique de décentralisation économique à laquelle adhère son mouvement « Demain c’est maintenant »
Que dites-vous du découpage, j'allais dire du charcutage du Fouta (Matam) en 2 entités distinctes entre le Waalo et le Ferlo dans « LE PROJET » qui constitue le programme de Pastef et du président Bassirou Diomaye Faye ? Après l'évocation du Baawol, du Kayoor, du Siin-Saalum, du Bundu, du Waalo, de Kasamäs, de Ndakaaru... ne faudrait-il pas avoir la même démarche pour le Fuuta ? Ou à la limite, conserver la région naturelle du Fleuve Sénégal (de Saint-Louis à Bakel) ? S’interroge le président de Demain c’est Maintenant qui estime qu’Ousmane Sonko, originaire de la région naturelle de Kasamäs, meurtrie par 42 ans de rébellion séparatiste née d'un mépris socioculturel, ne peut pas et ne doit pas, en tant que chargé de conduire la politique de la Nation définie par le président de la République, cautionner un tel découpage quand bien même « LE PROJET » serait bien intentionné.
Mamadou Ibra Kane n’ose, dès lors, qu’espérer qu'il s'agisse juste d'une erreur qui sera vite corrigée. Il considère que l’idée de création de "pôles-région de développement économique" est une bonne chose en soi. Il faut cependant « la challenger davantage pour la rendre meilleure et conforme à nos réalités historiques, géographiques, politiques et socioculturelles ».
Mamadou Ibra Kane profite de cette tribune, pour saluer les visites rendues par le Président Faye aux Khalifes généraux des mourides et des tidianes tout en l'invitant à ne pas s'arrêter en si bon chemin... « Nos guides religieux comme nous l'avons déjà écrit, sont des éducateurs, des régulateurs sociaux, des soupapes de sécurité et des partenaires privilégiés pour toute politique publique. Permettez enfin que je me réjouisse de la décision du chef de l'Etat de consacrer ses premiers déplacements à l'étranger à nos voisins de la Mauritanie et de la Gambie. Les autres suivront sans doute » a-t-il conclu.
Que dites-vous du découpage, j'allais dire du charcutage du Fouta (Matam) en 2 entités distinctes entre le Waalo et le Ferlo dans « LE PROJET » qui constitue le programme de Pastef et du président Bassirou Diomaye Faye ? Après l'évocation du Baawol, du Kayoor, du Siin-Saalum, du Bundu, du Waalo, de Kasamäs, de Ndakaaru... ne faudrait-il pas avoir la même démarche pour le Fuuta ? Ou à la limite, conserver la région naturelle du Fleuve Sénégal (de Saint-Louis à Bakel) ? S’interroge le président de Demain c’est Maintenant qui estime qu’Ousmane Sonko, originaire de la région naturelle de Kasamäs, meurtrie par 42 ans de rébellion séparatiste née d'un mépris socioculturel, ne peut pas et ne doit pas, en tant que chargé de conduire la politique de la Nation définie par le président de la République, cautionner un tel découpage quand bien même « LE PROJET » serait bien intentionné.
Mamadou Ibra Kane n’ose, dès lors, qu’espérer qu'il s'agisse juste d'une erreur qui sera vite corrigée. Il considère que l’idée de création de "pôles-région de développement économique" est une bonne chose en soi. Il faut cependant « la challenger davantage pour la rendre meilleure et conforme à nos réalités historiques, géographiques, politiques et socioculturelles ».
Mamadou Ibra Kane profite de cette tribune, pour saluer les visites rendues par le Président Faye aux Khalifes généraux des mourides et des tidianes tout en l'invitant à ne pas s'arrêter en si bon chemin... « Nos guides religieux comme nous l'avons déjà écrit, sont des éducateurs, des régulateurs sociaux, des soupapes de sécurité et des partenaires privilégiés pour toute politique publique. Permettez enfin que je me réjouisse de la décision du chef de l'Etat de consacrer ses premiers déplacements à l'étranger à nos voisins de la Mauritanie et de la Gambie. Les autres suivront sans doute » a-t-il conclu.