On connaît désormais les noms exacts de toutes les victimes du crash d’un bimoteur de Sénégal Air. En effet, il s’agit de Mohamed Addad, Hichem Berkani, Youssouph Diedhiou, Yahya Mamadou Diop, Arsène Kongolo, Cheikh Ahmed Tidiane Niang et de la Française Céline Pirat.
Dans un mail, le docteur Massamba Diop, fondateur de Sos Medecins, a tenu à rendre hommage aux victimes. «Nous tenons à rendre un hommage à des hommes au destin exceptionnel qui auront dédié leur vie à sauver celles des autres. Discrètement, inlassablement, ils étaient tous les trois portés par le même engagement, la même passion, cette indéfectible volonté de porter secours, de donner toutes ses chances à la vie, de défier une fatalité à laquelle ils refusaient de se résoudre sans avoir tout tenté», écrit-il.
Non sans ajouter : «Cheikh Ahmed Tidiane Niang, 45 ans, partenaire des premières heures, aura consacré toute sa carrière à Sos Médecins. Plus de 19 années entièrement dédiées à garantir une prise en charge optimale des patients. Engagé, résolu et passionné, il aura partagé avec Sos Médecin et les patients durant toutes ces années, son enthousiasme, sa rigueur professionnelle, sa passion pour les urgences.»
Le Docteur Massamba Diop ajoute : «Docteur Yahya Mamadou Diop, 42 ans, médecin réanimateur talentueux aura accompagné Sos Médecins pendant 10 années. Son professionnalisme, son expertise, son perfectionnisme, sa ténacité, son sens de l’engagement auront marqué sa carrière et serviront assurément d’exemples pour les générations futures. Une vie professionnelle entièrement tournée vers les autres, empreinte d’altruisme.»
«Youssouph Diedhiou, 27 ans, jeune infirmier suivait les pas de Cheikh Niang depuis un an au sein de Sos Médecins en vue de devenir aussi chevronné et qualifié. Carrière naissante, mais prometteuse, il témoignait d’une détermination associée à une joie de vivre qui l’aurait indiscutablement conduit vers la réussite», informe le président de Sos Médecins qui, la mort dans l’âme, affirme : «Nous avons perdu non seulement des collègues, mais des amis et des frères. Un long compagnonnage nous unissait et c’est terrible de les perdre. Il n’y a pas de mots pour décrire notre détresse. Nous pensons que le vrai hommage que nous pouvons leur rendre c’est exercer notre profession dans la rigueur et dans le professionnalisme à l’instar de ce qu’ils étaient.»
Dans un mail, le docteur Massamba Diop, fondateur de Sos Medecins, a tenu à rendre hommage aux victimes. «Nous tenons à rendre un hommage à des hommes au destin exceptionnel qui auront dédié leur vie à sauver celles des autres. Discrètement, inlassablement, ils étaient tous les trois portés par le même engagement, la même passion, cette indéfectible volonté de porter secours, de donner toutes ses chances à la vie, de défier une fatalité à laquelle ils refusaient de se résoudre sans avoir tout tenté», écrit-il.
Non sans ajouter : «Cheikh Ahmed Tidiane Niang, 45 ans, partenaire des premières heures, aura consacré toute sa carrière à Sos Médecins. Plus de 19 années entièrement dédiées à garantir une prise en charge optimale des patients. Engagé, résolu et passionné, il aura partagé avec Sos Médecin et les patients durant toutes ces années, son enthousiasme, sa rigueur professionnelle, sa passion pour les urgences.»
Le Docteur Massamba Diop ajoute : «Docteur Yahya Mamadou Diop, 42 ans, médecin réanimateur talentueux aura accompagné Sos Médecins pendant 10 années. Son professionnalisme, son expertise, son perfectionnisme, sa ténacité, son sens de l’engagement auront marqué sa carrière et serviront assurément d’exemples pour les générations futures. Une vie professionnelle entièrement tournée vers les autres, empreinte d’altruisme.»
«Youssouph Diedhiou, 27 ans, jeune infirmier suivait les pas de Cheikh Niang depuis un an au sein de Sos Médecins en vue de devenir aussi chevronné et qualifié. Carrière naissante, mais prometteuse, il témoignait d’une détermination associée à une joie de vivre qui l’aurait indiscutablement conduit vers la réussite», informe le président de Sos Médecins qui, la mort dans l’âme, affirme : «Nous avons perdu non seulement des collègues, mais des amis et des frères. Un long compagnonnage nous unissait et c’est terrible de les perdre. Il n’y a pas de mots pour décrire notre détresse. Nous pensons que le vrai hommage que nous pouvons leur rendre c’est exercer notre profession dans la rigueur et dans le professionnalisme à l’instar de ce qu’ils étaient.»