La diva de la musique sénégalaise, Coumba Gawlo Seck, a encore réitéré son désir d’aller chaque année à la rencontre du public lougatois. Depuis sept ans, c’est devenue une tradition pour la chanteuse d’organiser dans cette région du Sénégal, un concert au lendemain de la Tabaski. Elle était en spectacle avant-hier, au terrain de basket Yacine Boubou. Le stade avait du mal à contenir le public venu nombreux assister à ce rendez-vous inédit avec la star. Les nombreux fans sont venus applaudir la diva à la voix d’or. En ouverture du spectacle, elle a servi Woy rek ma war (je ne fais que chanter), un titre qui fait partie de son dernier opus.
Très vite, cette chanson a emballé le public et l’ambiance est montée d’un cran. L’orchestre était aussi dans son meilleur jour, pour merveilleusement accompagner Coumba Gawlo dans ses reprises.
La diva a aussi chanté Sama bidew qui signifie mon étoile. Et puisque le hasard fait bien les choses, il y avait beaucoup d’étoiles dans le ciel ce jour-là. Ce qui a donné à cet instant du spectacle un cachet spécial à la chanson. D’ailleurs Coumba Gawlo n’a pas manqué de lancer : «Que chacun choisisse une étoile et qu’il discute avec elle jusqu’à la fin du morceau.» Avec Dieureguéne dieuf, une autre reprise très connue du public, elle a dit merci aux spectateurs pour leur communion de chœur. Ce qui a toutefois fait le charme de la soirée, c’est le tube phare mbeuguéle le niou dioylo (l’amour nous fait pleurer). Cette chanson a tenu en haleine les mélomanes. Coumba Gawlo à travers cette chanson, a réaffirmé son désir d’amour envers les communautés. A ce sujet, elle a aussi raconté une anecdote à ses fans. Cette anecdote parlait d’un jeune homme qui était amoureux d’une jeune fille, mais la jeune fille ne croyait pas à son amour. Et finalement, le garçon s’est senti impuissant et à décidé de ne plus lui en parler. Mais plus tard, ce fut au tour de la jeune fille de courir après le jeune homme. Une histoire qui au final donne comme leçon : l’amour nous fait pleurer, nous fait rêver, nous fait rire et nous fait danser. Ce ne sera pas le seul morceau qui traite de sentiment. La diva a aussi enchaîné avec Topma. Cette reprise a fait danser plus d’un sur la scène. C’est avec Ma djin, la chanson dédiée aux guerriers, qu’elle a clôturé le concert et sur un rythme de la nouvelle danse youza.
Autre point fort de la soirée, la prestation des artistes locaux. Coumba Gawlo a offert la chance aux jeunes artistes de se faire connaître du public lougatois. En effet, plus d’une quinzaine d’artistes se sont succédé sur le podium. Des rappeurs ainsi que des mbalaxmen ont défilé pour montrer leur savoir-faire et remercier Coumba G. Seck de leur avoir donné l’opportunité de se faire connaître. Il y avait entre autres : Mallé Mbaye et son choriste qui est un lougatois Bass Samb alias Lil wayne, Tapha Seck, Vieux Ndiaye… Ce fut un beau concert. Mais la mauvaise organisation et l’étroitesse du cadre ont été le seul bémol de cette soirée riche en spectacle qu’il faudra d’ailleurs corriger à l’avenir. N’eut été la présence massive des sapeurs-pompiers qui durant tout le spectacle ont évacué les fans qui tombaient en syncope, l’on aurait pu certainement voir de nombreux spectateurs suffoquer à mort. Amsata Guèye, par ailleurs présidente du fan club de la chanteuse en est consciente. Non seulement elle a déploré l’absence du service médical, vu l’ampleur de l’évènement, mais elle compte tout mettre en œuvre pour que le prochain passage de Coumba Gawlo à Louga soit mieux organisé.
Ndeweuneul : Cadeau ou étrenne offert pendant la fête de la Tabaski.
( LE Quotidien )
Très vite, cette chanson a emballé le public et l’ambiance est montée d’un cran. L’orchestre était aussi dans son meilleur jour, pour merveilleusement accompagner Coumba Gawlo dans ses reprises.
La diva a aussi chanté Sama bidew qui signifie mon étoile. Et puisque le hasard fait bien les choses, il y avait beaucoup d’étoiles dans le ciel ce jour-là. Ce qui a donné à cet instant du spectacle un cachet spécial à la chanson. D’ailleurs Coumba Gawlo n’a pas manqué de lancer : «Que chacun choisisse une étoile et qu’il discute avec elle jusqu’à la fin du morceau.» Avec Dieureguéne dieuf, une autre reprise très connue du public, elle a dit merci aux spectateurs pour leur communion de chœur. Ce qui a toutefois fait le charme de la soirée, c’est le tube phare mbeuguéle le niou dioylo (l’amour nous fait pleurer). Cette chanson a tenu en haleine les mélomanes. Coumba Gawlo à travers cette chanson, a réaffirmé son désir d’amour envers les communautés. A ce sujet, elle a aussi raconté une anecdote à ses fans. Cette anecdote parlait d’un jeune homme qui était amoureux d’une jeune fille, mais la jeune fille ne croyait pas à son amour. Et finalement, le garçon s’est senti impuissant et à décidé de ne plus lui en parler. Mais plus tard, ce fut au tour de la jeune fille de courir après le jeune homme. Une histoire qui au final donne comme leçon : l’amour nous fait pleurer, nous fait rêver, nous fait rire et nous fait danser. Ce ne sera pas le seul morceau qui traite de sentiment. La diva a aussi enchaîné avec Topma. Cette reprise a fait danser plus d’un sur la scène. C’est avec Ma djin, la chanson dédiée aux guerriers, qu’elle a clôturé le concert et sur un rythme de la nouvelle danse youza.
Autre point fort de la soirée, la prestation des artistes locaux. Coumba Gawlo a offert la chance aux jeunes artistes de se faire connaître du public lougatois. En effet, plus d’une quinzaine d’artistes se sont succédé sur le podium. Des rappeurs ainsi que des mbalaxmen ont défilé pour montrer leur savoir-faire et remercier Coumba G. Seck de leur avoir donné l’opportunité de se faire connaître. Il y avait entre autres : Mallé Mbaye et son choriste qui est un lougatois Bass Samb alias Lil wayne, Tapha Seck, Vieux Ndiaye… Ce fut un beau concert. Mais la mauvaise organisation et l’étroitesse du cadre ont été le seul bémol de cette soirée riche en spectacle qu’il faudra d’ailleurs corriger à l’avenir. N’eut été la présence massive des sapeurs-pompiers qui durant tout le spectacle ont évacué les fans qui tombaient en syncope, l’on aurait pu certainement voir de nombreux spectateurs suffoquer à mort. Amsata Guèye, par ailleurs présidente du fan club de la chanteuse en est consciente. Non seulement elle a déploré l’absence du service médical, vu l’ampleur de l’évènement, mais elle compte tout mettre en œuvre pour que le prochain passage de Coumba Gawlo à Louga soit mieux organisé.
Ndeweuneul : Cadeau ou étrenne offert pendant la fête de la Tabaski.
( LE Quotidien )