Face à l'opposition croissante concernant l'installation d'une banque dans la Grande Mosquée du Point E, le président de l'Association Solidarité Musulmane, El Hadji Malick Fall a tenu à apporter des éclaircissements sur le processus qui a conduit à cette décision. Lors d'une déclaration ferme, il a souligné que cette initiative ne représentait pas une dérive, mais un choix fondé sur la transparence et la conformité avec les principes de la finance islamique. Selon lui, la demande de location d'un espace pour une banque islamique avait d'abord été soumise au collège des imams de la mosquée, qui l'avait validée après plusieurs séances de travail approfondies. "Le collège des imams a travaillé sur cette question, et nous avons choisi la banque islamique car elle respecte les principes de la finance conforme à la charia," a-t-il précisé, ajoutant que cette banque était la seule à avoir satisfait aux critères stricts définis par la mosquée.
Il a également réfuté les accusations selon lesquelles cette initiative serait incompatible avec les enseignements de l'Islam, rappelant que la finance islamique, en l'occurrence, respecte scrupuleusement les principes de la charia. "Il est impossible de dire que la finance islamique ne respecte pas la charia," a insisté le président, en soulignant que de nombreuses institutions financières musulmanes dans des pays comme l'Arabie Saoudite pratiquent cette forme de banque sans qu'il n'y ait de controverses. Il a annoncé qu'une conférence ouverte, avec la présence d'experts en charia, de représentants de la banque islamique et de la mosquée, sera organisée afin d’éclaircir davantage la situation et d'ouvrir le débat à tous les membres de la communauté.
Enfin, le président de Solidarité Musulmane a réaffirmé la solidarité du bureau de l'association et du collège des imams concernant cette décision, en menaçant de recourir aux voies légales si les opposants persistaient à ternir l'image de la mosquée. "Nous allons jusqu'au bout de ce projet, et n'excluons pas de faire appel à la justice pour défendre la légitimité de notre démarche," a-t-il conclu, appelant à une fin de la polémique qui, selon lui, met en péril l'harmonie de la communauté musulmane du Point E.
Il a également réfuté les accusations selon lesquelles cette initiative serait incompatible avec les enseignements de l'Islam, rappelant que la finance islamique, en l'occurrence, respecte scrupuleusement les principes de la charia. "Il est impossible de dire que la finance islamique ne respecte pas la charia," a insisté le président, en soulignant que de nombreuses institutions financières musulmanes dans des pays comme l'Arabie Saoudite pratiquent cette forme de banque sans qu'il n'y ait de controverses. Il a annoncé qu'une conférence ouverte, avec la présence d'experts en charia, de représentants de la banque islamique et de la mosquée, sera organisée afin d’éclaircir davantage la situation et d'ouvrir le débat à tous les membres de la communauté.
Enfin, le président de Solidarité Musulmane a réaffirmé la solidarité du bureau de l'association et du collège des imams concernant cette décision, en menaçant de recourir aux voies légales si les opposants persistaient à ternir l'image de la mosquée. "Nous allons jusqu'au bout de ce projet, et n'excluons pas de faire appel à la justice pour défendre la légitimité de notre démarche," a-t-il conclu, appelant à une fin de la polémique qui, selon lui, met en péril l'harmonie de la communauté musulmane du Point E.