Tel un château de carte, l’entreprise de manipulation orchestrée par BBC, de connivence avec une partie de l’opposition sénégalaise, s’est subitement effondrée.
Les allégations contenues dans le reportage de la télévision anglaise, intitulé : «Sénégal, un scandale à 10 milliards de dollars » n’ont pas tenu deux semaines. Les adversaires du Président Macky Sall qui ont cru trouver l’occasion rêvée pour prendre leur revanche après la débâcle de la Présidentielle, ont très vite déchanté.
Depuis que le procureur de la République s’est saisi de l’affaire, la prudence est de mise chez ceux-là même qui ont crié, sur tous les toits que le Sénégal a perdu 6000 milliards de francs Cfa (10 milliards de dollars) dans l’attribution, à Petro Tim, du bloc Saint Louis Offshore Profond ; les mêmes ont affirmé que le Président Macky Sall n’avait pas à confirmer le décret d’approbation en faveur de Frank Timis ; ou qu’il y avait un conflit d’intérêt parce que la présence de son frère, Aliou Sall, avait motivé en son temps, la décision du chef de l’Etat.
Mais, quand le Procureur de la République s’est saisi de l’affaire, tout a été relativisé. Les affirmations sur le manque à gagner de l’Etat du Sénégal se sont muées en supputations sur la somme de 146 millions de F Cfa (250 000 dollars) qu’aurait reçue Aliou Sall à travers sa société Agritrans. Pour glisser, quelques heures plus tard, dans l’amalgame entre un rapport «négligé» de l’Inspection générale d’Etat (IGE) et un rapport de présentation du ministère des Mines, qualifié de faux par un ancien Premier ministre, qui l’avait pourtant contresigné. Des déclarations à l’emporte-pièce, visant à installer la confusion dans l’esprit des Sénégalais pour une affaire de gestion de nos ressources naturelles qui n’en est pas véritablement une.
La sortie du Procureur de la République a, au moins, l’avantage de calmer les ardeurs et de remettre de l’ordre. L’appel à témoin de Serigne Bassirou GUEYE a fait réfléchir les plus téméraires qui pensaient, qu’avec la calomnie, et la médisance, ils pouvaient déstabiliser le Sénégal. Il s’agit désormais, pour eux, d’apporter les preuves de leurs allégations. Mais tous savent que leur entreprise de manipulation a été dévoyée au grand jour.
LE FAUX PRETEXTE DE LA BBC
L’enquête de BBC n’est en fait, qu’un prétexte. Un simple alibi agité par une bande de mafieux soucieux de défendre des intérêts crypto personnels, de connivence avec des politiciens emplis de haine, pour donner l’impression que le Sénégal est frappé par la malédiction du pétrole. Que nenni !
Le documentaire de la chaine anglaise présente des limites professionnelles pour réussir à emballer l’opinion. Il est tendancieux et uniquement à charge. C’est une mise en scène dans laquelle on a tenté de mettre une affaire privée sur le dos de l’Etat du Sénégal.
L’on pouvait pourtant se suffire aux réponses servies par le Directeur général de BP Sénégal qui assure que Frank Timis n’aura même pas 1% de ce que le Sénégal pourrait gagner dans ces contrats.
Mieux, comment peut-on affirmer que notre pays a perdu 6000 milliards de F Cfa dans une transaction qui ne concerne que des entreprises privées, et en faire le titre d’une enquête ? Et pourtant, les parts de l’Etat du Sénégal concernant ce dossier, sont restées intactes.
Telle est la volonté de son Excellence le Président de la République, Monsieur Macky SALL, qui a placé la protection des intérêts des Sénégalais au cœur de sa gouvernance.
Depuis l’adoption en 2015 par référendum, de nouvelles modifications dans la constitution, le peuple sénégalais a un droit de propriété sur les ressources.
D’autre part, afin de développer l’expertise nationale et de favoriser l’emploi des Sénégalais dans le secteur pétrolier et gazier, le Président de la République a créé l’Institut National du Pétrole et du Gaz (INPG).
Dans le but d’anticiper sur une gestion transparente des ressources naturelles, le Sénégal a intégré l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITE) en 2013, bien avant les découvertes de gaz et de pétrole.
Une organisation dont le Conseil d’administration a reconnu le Sénégal comme premier pays africain ayant fait des progrès satisfaisants dans la mise en œuvre des normes ITE.
Depuis septembre 2016, tous les contrats miniers et pétroliers sont systématiquement publiés en ligne, en plus de la création du comité d’orientation stratégique du Pétrole et du Gaz au sein duquel le chef de l’Etat compte accueillir l’opposition et la société civile.
Mais déjà, son Excellence Monsieur le Président de la République a initié des débats publics de partage sur les hydrocarbures en présence des partis de l’opposition et de membres de la société civile.
Plus que tous les discours, les réalisations du Président Macky Sall sont assez édifiantes pour enrayer toute entreprise de manipulation.
Diplômé de l’institut des sciences de la terre (IST) de Dakar et de l’Ecole nationale supérieure du pétrole et des moteurs (ENSPM) de l’Institut français du Pétrole (ISP), le Président Macky SALL est suffisamment avisé sur les questions liées aux ressources naturelles. Ingénieur géologue de formation, il a dirigé la division banque des données de la Société des Pétroles du Sénégal (Petrosen), avant d’en être le Directeur général, de 2000 à 2001. Le Président Macky SALL a été Conseiller spécial du président de la République chargé de l’Energie et de Mines, puis Ministre des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique de 2002 à 2003.
Autant d’expertises et d’expériences d’un homme de devoir, mises à contribution dans la gestion de notre Pétrole et de notre Gaz. C’est dire que le Sénégal n’a rien à envier à aucun pays africain en matière de transparence dans la gestion de ses ressources naturelles.
En février 2019, la même opposition radicale, interviewée dans le documentaire de BBC, avait tenté vainement de faire de la question du pétrole son cri de ralliement. Mal lui en a pris, snobée par les électeurs qui n’ont même pas daigné lui offrir le minimum de parrains pour se présenter à la Présidentielle. Ni Abdou Mbaye, ni Mamadou Lamine Diallo encore moins Thierno Alassane Sall n’ont pu concocter le minimum de signatures nécessaires à leur candidature. Au même moment, l’ouvrage rédigé par Ousmane Sonko est resté anecdotique aux yeux des populations.
Les Sénégalais ont épousé la politique du Président Macky SALL qu’ils ont réélu dès le premier tour avec près de 60%.
Ils ne peuvent donc s’engager dans une nouvelle campagne électorale, moins de quatre mois seulement après la Présidentielle.
De la même manière qu’ils n’accepteront pas que le Sénégal soit la Libye ou l’Irak de forces obscures prêtes à toutes les aventures pour assouvir des désirs personnels. Et tout Sénégalais qui porte le combat de ces comploteurs n’est ni plus ni moins qu’un ennemi du peuple.
Par Cheikh BAKHOUM
Responsable politique APR Grand Yoff`
Membre de la Convergence des Cadres Républicains (CCR)
Les allégations contenues dans le reportage de la télévision anglaise, intitulé : «Sénégal, un scandale à 10 milliards de dollars » n’ont pas tenu deux semaines. Les adversaires du Président Macky Sall qui ont cru trouver l’occasion rêvée pour prendre leur revanche après la débâcle de la Présidentielle, ont très vite déchanté.
Depuis que le procureur de la République s’est saisi de l’affaire, la prudence est de mise chez ceux-là même qui ont crié, sur tous les toits que le Sénégal a perdu 6000 milliards de francs Cfa (10 milliards de dollars) dans l’attribution, à Petro Tim, du bloc Saint Louis Offshore Profond ; les mêmes ont affirmé que le Président Macky Sall n’avait pas à confirmer le décret d’approbation en faveur de Frank Timis ; ou qu’il y avait un conflit d’intérêt parce que la présence de son frère, Aliou Sall, avait motivé en son temps, la décision du chef de l’Etat.
Mais, quand le Procureur de la République s’est saisi de l’affaire, tout a été relativisé. Les affirmations sur le manque à gagner de l’Etat du Sénégal se sont muées en supputations sur la somme de 146 millions de F Cfa (250 000 dollars) qu’aurait reçue Aliou Sall à travers sa société Agritrans. Pour glisser, quelques heures plus tard, dans l’amalgame entre un rapport «négligé» de l’Inspection générale d’Etat (IGE) et un rapport de présentation du ministère des Mines, qualifié de faux par un ancien Premier ministre, qui l’avait pourtant contresigné. Des déclarations à l’emporte-pièce, visant à installer la confusion dans l’esprit des Sénégalais pour une affaire de gestion de nos ressources naturelles qui n’en est pas véritablement une.
La sortie du Procureur de la République a, au moins, l’avantage de calmer les ardeurs et de remettre de l’ordre. L’appel à témoin de Serigne Bassirou GUEYE a fait réfléchir les plus téméraires qui pensaient, qu’avec la calomnie, et la médisance, ils pouvaient déstabiliser le Sénégal. Il s’agit désormais, pour eux, d’apporter les preuves de leurs allégations. Mais tous savent que leur entreprise de manipulation a été dévoyée au grand jour.
LE FAUX PRETEXTE DE LA BBC
L’enquête de BBC n’est en fait, qu’un prétexte. Un simple alibi agité par une bande de mafieux soucieux de défendre des intérêts crypto personnels, de connivence avec des politiciens emplis de haine, pour donner l’impression que le Sénégal est frappé par la malédiction du pétrole. Que nenni !
Le documentaire de la chaine anglaise présente des limites professionnelles pour réussir à emballer l’opinion. Il est tendancieux et uniquement à charge. C’est une mise en scène dans laquelle on a tenté de mettre une affaire privée sur le dos de l’Etat du Sénégal.
L’on pouvait pourtant se suffire aux réponses servies par le Directeur général de BP Sénégal qui assure que Frank Timis n’aura même pas 1% de ce que le Sénégal pourrait gagner dans ces contrats.
Mieux, comment peut-on affirmer que notre pays a perdu 6000 milliards de F Cfa dans une transaction qui ne concerne que des entreprises privées, et en faire le titre d’une enquête ? Et pourtant, les parts de l’Etat du Sénégal concernant ce dossier, sont restées intactes.
Telle est la volonté de son Excellence le Président de la République, Monsieur Macky SALL, qui a placé la protection des intérêts des Sénégalais au cœur de sa gouvernance.
Depuis l’adoption en 2015 par référendum, de nouvelles modifications dans la constitution, le peuple sénégalais a un droit de propriété sur les ressources.
D’autre part, afin de développer l’expertise nationale et de favoriser l’emploi des Sénégalais dans le secteur pétrolier et gazier, le Président de la République a créé l’Institut National du Pétrole et du Gaz (INPG).
Dans le but d’anticiper sur une gestion transparente des ressources naturelles, le Sénégal a intégré l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITE) en 2013, bien avant les découvertes de gaz et de pétrole.
Une organisation dont le Conseil d’administration a reconnu le Sénégal comme premier pays africain ayant fait des progrès satisfaisants dans la mise en œuvre des normes ITE.
Depuis septembre 2016, tous les contrats miniers et pétroliers sont systématiquement publiés en ligne, en plus de la création du comité d’orientation stratégique du Pétrole et du Gaz au sein duquel le chef de l’Etat compte accueillir l’opposition et la société civile.
Mais déjà, son Excellence Monsieur le Président de la République a initié des débats publics de partage sur les hydrocarbures en présence des partis de l’opposition et de membres de la société civile.
Plus que tous les discours, les réalisations du Président Macky Sall sont assez édifiantes pour enrayer toute entreprise de manipulation.
Diplômé de l’institut des sciences de la terre (IST) de Dakar et de l’Ecole nationale supérieure du pétrole et des moteurs (ENSPM) de l’Institut français du Pétrole (ISP), le Président Macky SALL est suffisamment avisé sur les questions liées aux ressources naturelles. Ingénieur géologue de formation, il a dirigé la division banque des données de la Société des Pétroles du Sénégal (Petrosen), avant d’en être le Directeur général, de 2000 à 2001. Le Président Macky SALL a été Conseiller spécial du président de la République chargé de l’Energie et de Mines, puis Ministre des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique de 2002 à 2003.
Autant d’expertises et d’expériences d’un homme de devoir, mises à contribution dans la gestion de notre Pétrole et de notre Gaz. C’est dire que le Sénégal n’a rien à envier à aucun pays africain en matière de transparence dans la gestion de ses ressources naturelles.
En février 2019, la même opposition radicale, interviewée dans le documentaire de BBC, avait tenté vainement de faire de la question du pétrole son cri de ralliement. Mal lui en a pris, snobée par les électeurs qui n’ont même pas daigné lui offrir le minimum de parrains pour se présenter à la Présidentielle. Ni Abdou Mbaye, ni Mamadou Lamine Diallo encore moins Thierno Alassane Sall n’ont pu concocter le minimum de signatures nécessaires à leur candidature. Au même moment, l’ouvrage rédigé par Ousmane Sonko est resté anecdotique aux yeux des populations.
Les Sénégalais ont épousé la politique du Président Macky SALL qu’ils ont réélu dès le premier tour avec près de 60%.
Ils ne peuvent donc s’engager dans une nouvelle campagne électorale, moins de quatre mois seulement après la Présidentielle.
De la même manière qu’ils n’accepteront pas que le Sénégal soit la Libye ou l’Irak de forces obscures prêtes à toutes les aventures pour assouvir des désirs personnels. Et tout Sénégalais qui porte le combat de ces comploteurs n’est ni plus ni moins qu’un ennemi du peuple.
Par Cheikh BAKHOUM
Responsable politique APR Grand Yoff`
Membre de la Convergence des Cadres Républicains (CCR)